Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gendarme sanctionné

  • Un officier de gendarmerie qui refuse l’injection expérimentale est sanctionné

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

    Alors que les policiers, dont Macron a trop besoin pour réprimer les manifestations pour se les mettre à dos, sont exemptés de la « vaccination » anti-covid, les gendarmes y sont obligés. Résister à cette injonction et refuser de se faire inoculer cette injection expérimentale anti-covid à ARNm coûte cher. La tolérance de la République immigrationniste, altruiste, bien-pensante, accueillante, a ses limites…

    Ainsi, un chef d’escadron commandant la compagnie de gendarmerie de Langon, en Gironde, a été sanctionné pour avoir refusé de se faire vacciner contre le covid-19e. Il a été relevé de son commandement opérationnel et muté « sur un poste » sans « contact avec le public » à Paris.

    À la tête d’un effectif de 150 gendarmes, cet officier supérieur de 32 ans a été d’abord sanctionné de dix jours d’arrêt puis muté vers la Direction générale de la gendarmerie à Paris, « sur un poste où il n’est plus en contact avec le public » a indiqué la gendarmerie en Gironde, confirmant une information du journal Sud Ouest.

    Cette sanction liée à un refus de vaccination est « un événement rare » dans la gendarmerie car celle-ci est « peu confrontée au problème », est-il précise dans la plus part des médias qui traitent de cette affaire.

    Depuis le 15 septembre, les gendarmes affectés sur le terrain ou au contact du public doivent, comme le personnel soignant et les pompiers, être complètement vaccinés contre le Covid-19, selon une note de la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) consultée par l’AFP. Selon Sud-Ouest, un nouveau chef d’escadron de la compagnie de Langon a été nommé et prendra ses fonctions début janvier. »

    Ainsi que l’observe Le Courrier des stratèges « chez les policiers, qui n’ont pas le statut militaire, les chefs de service étaient ‘’invités à poursuivre l’incitation à la vaccination’’ des agents placés sous leur autorité, selon un courrier envoyé le 17 août aux préfets par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Jean-Benoît Albertini. Les gendarmes (et les soignants) ont apprécié le message, eux qui n’ont eu que sanctions comme échange social ! Maintenant, il sera intéressant de voir la réaction des gendarmes et militaires face à la situation de ce Chef d’Escadron… Mentionnant par ailleurs les sanctions, Emmanuel Macron nous fait comprendre que ceux qui sont chargés de punir les non-vaccinés, peuvent être justement, des non-vaccinés eux-mêmes. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info