interpellation
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Courage, on les aura !
Quatorze anciens membres de Génération Identitaire, groupe désormais dissous, ont été interpellés aujourd’hui, au vague motif de reconstitution de ligue dissoute au sein de la structure Argos.Cette association s’est notamment illustrée par son action d’éclat en septembre dernier à Cherbourg, protestant contre l’immigration incontrôlée et le laxisme judiciaire, dans le cadre de la sordide affaire de viol avec actes de barbarie sur la malheureuse Mégane. Action sans aucune violence, ayant là aussi donné lieu à une réponse disproportionnée du pouvoir.Ce prétexte, délirant et complètement fallacieux, l’est tout autant que la dissolution en elle-même du mouvement identitaire, qui n’a jamais été matériellement qualifié par la justice comme violent et armé malgré l’acharnement de la magistrature gauchiste à son encontre, et s’était même déjà vu complètement relaxé en appel.Il s’agit une fois de plus d’un signe de la fébrilité du pouvoir en place et du petit roquet Moussa Darmanin, pourtant habitué des universités d’été de l’Action Française, prêt à se parer de n’importe quelle posture pour défendre un bilan lamentable et inconséquent aussi bien à Beauvau qu’à l’Élysée.Ces courageux militants, victimes d’une persécution politique qui n’a rien à envier à ceux que nos dirigeants qualifient pourtant volontiers d’autocrates et de dictateurs à l’international, prouvent qu’il suffit parfois d’exister et de s’exprimer pour faire trembler un régime inique dans son intégralité.Le Parti de la France s’engage à gracier les prisonniers politiques victimes des lois scélérates interdisant aux Français d’exprimer leurs idées librement, et à dédommager tous ceux en ayant été victimes depuis leur promulgation.Courage, on les aura !Victor Jan de Lagillardaie - Membre du Bureau politique du Parti de la France -
Reims (51) : interpellation de quatre individus qui avaient dévalisé le coffre-fort d’un distributeur de billets au moyen d’un mini drone, 150.000 euros de butin
Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2022
C’est une grande première. À Reims (Marne), des malfrats ont réussi à subtiliser 150.000 euros dans un distributeur automatique de billets à l’aide d’un mini drone, indique une source policière au Figaro, confirmant une information du JDD. Quatre individus ont été interpellés et placés en détention provisoire dans l’attente de leur procès.
En mai dernier, les enquêteurs de la direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Reims, dans la Marne, sont chargés par le parquet d’enquêter sur le cambriolage d’une agence de la Caisse d’épargne. Pas moins de 150.000 euros ont été subtilisés dans un coffre-fort qui est utilisé par les convoyeurs pour transporter l’argent entre deux distributeurs. Aucune trace d’effraction n’est relevée, ce qui laisse supposer la complicité d’un salarié de la banque ou d’un transporteur de fonds.
Après analyse des caméras de vidéosurveillance, les enquêteurs découvrent qu’un mini-drone, téléguidé à distance, a permis d’actionner le bouton permettant l’ouverture de la porte du local technique. «Plusieurs inconnus se sont ensuite introduits dans ce local et sont parvenus à ouvrir ce coffre relais en composant un code secret, connu seulement des convoyeurs de fonds chargés de l’approvisionnement des distributeurs», a expliqué une source proche du dossier au JDD. Selon les premiers éléments de l’enquête, les individus à l’origine du cambriolage se sont aidés d’une «perche télescopique équipée d’un miroir». La totalité du cambriolage s’est déroulée en moins de dix minutes.
Quatre individus ont depuis été arrêtés, mis en examen et placés en détention provisoire. Parmi eux, l’un est un ancien «dabiste», c’est-à-dire un employé chargé de la maintenance des distributeurs. C’est cette complicité qui a permis aux mis en cause d’agir sans être inquiétés. «Leur réussite a reposé sur une faille humaine et sur la fréquence de modification pas assez régulière des codes secrets des coffres relais dans les distributeurs d’argent», souligne une source proche de l’enquête à nos confrères.
Le recours au drone est déjà utilisé dans le milieu de la délinquance. Il arrive notamment que des téléphones et accessoires, cannabis ou alcool soient livrés en prison par drone. Mais selon un haut fonctionnaire également interrogé par le JDD, cette nouvelle technique de vol est inédite en France: «Le recours à un mini-drone pour un tel fric-frac, c’est totalement inédit.
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Valence (26) : interpellation d’un jeune homme de 18 ans, soupçonné de vouloir commettre un acte terroriste imminent à l’arme blanche au nom de l’État islamique à qui il avait prêté allégeance
Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2022
Un jeune homme de 18 ans, soupçonné de vouloir commettre un acte terroriste imminent à l’arme blanche, a été interpellé dans la Drôme et mis en examen mardi à Paris.
L’individu avait été interpellé à Valence, vendredi dernier. Pour l’heure, aucune cible n’a été identifiée. Les premières investigations, confirmées par ses déclarations en garde à vue, ont démontré qu’il projetait un acte terroriste “au nom de l’organisation de l’Etat islamique à laquelle il avait prêté allégeance”.
Jusque-là, le suspect était inconnu de la justice antiterroriste. Il a été placé en détention provisoire.
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Nice : 3 policiers blessés par un Capverdien lors de son interpellation, les agents « n’ont pas osé recourir » à la clé d’étranglement
Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020
Par Koba le 16/06/2020Samedi vers 7 heures, en gare de Nice. Une femme de ménage est en pleurs sur son lieu de travail. Elle vient se plaindre auprès d’une patrouille de la brigade des chemins de fer (entité de la police aux frontières). André, son compagnon explique-t-elle, l’a déjà frappée le vendredi soir, et lui a placé un couteau sous la gorge une semaine plus tôt. Il est venu la harceler en gare pour la menacer et lui voler son téléphone. -
La Rochelle : des policiers refusent une interpellation par peur d’être accusés de racisme après le discours de Castaner
Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2020
Par Francois le 10/06/2020
Alors qu’elle circule à moto dans l’après-midi du mardi 9 juin, une patrouille de police croise la route d’un jeune cycliste, qui crie plusieurs fois « ACAB » (acronyme pour « Alls Cops Are Bastard ») à leur hauteur. Les fonctionnaires font alors demi-tour pour demander des comptes à cet individu. Ils lui signifient que, compte tenu de la conjoncture actuelle, son comportement outrageant et provocateur est intolérable. Mais l’homme continue à insulter la patrouille en toute impunité. Finalement, les policiers le laissent partir en le saluant poliment, alors qu’ils auraient pu l’arrêter pour outrage à agent. Seulement, ils ont craint qu’une arrestation déclenche une émeute ou qu’ils soient accusés de racisme.