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la rochelle

  • La Rochelle : un antifa condamné pour avoir asséné un coup de couteau au visage d’un homme noir qui l’aurait traité de “facho de blanc”

    Publié par Guy de Laferrière le 27 décembre 2022

    La Rochelle : un skinhead antiraciste condamné pour un coup de couteau

    Un skinhead antiraciste jugé pour avoir asséné un coup de couteau au visage d’un homme noir. La rue et l’alcool font toujours preuve d’imagination en matière de faits divers. L’affaire n’en est pas moins grave : la victime, défigurée – le couteau a transpercé la joue -, porte un masque à l’audience du tribunal judiciaire, où son agresseur arrive escorté par les policiers jeudi 22 décembre.

    Âgé de 24 ans, le crâne rasé, celui-ci semble effondré sous le poids de son geste. À chaque question du président Gérald Faucou, une seule réponse : « Je ne me souviens pas. » Les policiers ont dû lui passer à plusieurs reprises les images d’une caméra de surveillance, montrant la rixe nocturne dans la rue Verdière, le 5 décembre, conclue par le coup de couteau, pour qu’il réalise. Il était fortement alcoolisé ce soir-là.

    La raison de la bagarre ? La victime, un homme aux dreadlocks qui passait par-là à vélo, alcoolisé lui aussi, ne sait plus trop non plus. Quelques mots déplacés autour d’une cigarette ? La compagne du skinhead assure que le passant a traité ce dernier de « facho de blanc ». Impossible de vérifier les dires, mais les images et les conséquences sont là.

     

    www.sudouest.fr via fdesouche

  • La Rochelle : les quatre martyrs oubliés de la Révolution française.

    Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2021

    La salle du corps de garde de La Rochelle (au premier plan, porte rouge), tour de la Chaîne, où eut lieu le massacre. © Crédit photo : Xavier Léoty

    HISTOIRE - Le 21 mars 1793, quatre hommes d’Église réfractaires à la Révolution étaient arrêtés et conduits à La Rochelle. Ils devaient être débarqués pour l’île de Ré quand les émeutiers, avec à leur tête Darbelet, les ont massacrés. Cet article a été publié le 10 octobre 2012 dans nos colonnes.

    On connaissait les prêtres réfractaires de l’île Madame, ceux du couvent des Carmes à Paris, tous « bienheureux martyrs » des sans-culottes. Mais on ignorait que La Rochelle avait également payé son écot au bain de sang révolutionnaire. Reprenant les données d’un ouvrage de l’avocat Claudy Valin paru en 1992 (1), Rodolphe Huguet, guide dans les tours de La Rochelle et passionné d’histoire, s’est replongé dans cet épisode pour le moins barbare du passé rochelais pour le raconter, en 2012, dans le bulletin de l’« Association des bienheureux martyrs de 1792 », créée par les familles des victimes afin de perpétuer leur mémoire.

    Procédure judiciaire

    Et il n’épargne aucun détail dans sa relation des faits commis à la tour de la Chaîne il y a 228 ans : « Sans protection, les prêtres sont alors massacrés et coupés en morceaux par les émeutiers qui se partagent des lambeaux de chair humaine. Les têtes des prisonniers sont promenées au bout de fourches. Les corps mutilés sont traînés dans les rues de la ville, derrière une charrette. Un dénommé Albert récupère deux des têtes pour les mettre à fumer dans sa cheminée… »

    Les quatre hommes d’Église ainsi transformés en vulgaire viande le 21 mars 1793 (six mois après les exécutions du couvent des Carmes) s’appellent Charles Cornuault, Jean-Michel Ogeard, Christophe Violleau et Louis Hulé. Réfractaires à la Révolution, ils ont été arrêtés, conduits à La Rochelle, et devaient être embarqués pour l’île de Ré quand les émeutiers, menés par un ultra du nom de Darbelet, ont forcé leur escorte. C’est dans le corps de garde de la tour de la Chaîne qu’ils ont finalement été tués avec la délicatesse décrite plus haut.

    Le lendemain, le même Darbelet est à la tête d’un nouvel attroupement à l’arrivée d’un bateau avec trois autres prêtres. Deux subissent le même sort que ceux de la veille, les pères Dauche et Vergé. Leurs corps sont découpés en morceaux et exposés sur le quai.

    « Dans les tours de La Rochelle, on ne parle jamais de cet épisode. »

    Deux ans plus tard, une procédure judiciaire est engagée contre les émeutiers. Mais une loi d’amnistie les absout, à l’exception de Darbelet, qui est condamné à dix ans de prison. Il effectuera onze mois. Quant aux six prêtres lapidés, s’ils ne furent pas canonisés, leur mémoire a été honorée avec ferveur dimanche dernier et pour la première fois au monastère Saint-Joseph-des-Carmes de Paris, au même titre que tous les autres « bienheureux martyrs ».

    « Dans les tours de La Rochelle, on ne parle jamais de cet épisode. C’est pourquoi j’ai voulu le ressortir du placard aux oublis. À la suite de l’article que j’ai publié dans leur bulletin, les responsables de l’Association des bienheureux martyrs de 1792 ont décidé de venir faire un pèlerinage à La Rochelle. Sans doute au printemps 2013 », expliquait Rodolphe Huguet en 2012. Pour faire poser une plaque dans la tour de la Chaîne ? L’idée est dans l’air.

    L’histoire de La Rochelle n’en finit pas d’être redécouverte.

    (1) « Autopsie d’un massacre. Les journées des 21 et 22 mars 1793 à La Rochelle », 1992, éditions Bordessoules.

    Source : https://www.sudouest.fr/

  • La Rochelle : un délinquant marocain multirécidiviste, tabasse et impose des relations sexuelles à Marie, qui voulait l’aider à obtenir un titre de séjour, il reste libre

    Publié par Guy Jovelin le 05novembre 2020

    La Rochelle : un jeune marocain condamné pour violences est interdit de séjour en Charente-Maritime

    […]

    Toute l’histoire commence à la  fin de l’été dernier. L’un et l’autre se sont rencontrés dans un camping en Vendée, alors qu’en temps normal Hamza habite à Achères dans les Yvelines (78).

    « Il est revenu avec moi à Périgny pour que je l’aide à faire ses papiers pour son titre de séjour. Il a posé son sac et s’est installé chez moi », explique la jeune femme.

    […]

    Elle évoque également les consommations d’alcool d’Hamza, ses prises de cocaïne et les rapports étranges selon elle, avec trois hommes de Cognac (Charente).

    Une ville où d’ailleurs la justice l’avait interdit de séjour quelques années plus tôt.

    […]

    Marie dépose plainte pour dénoncer les violences que lui fait subir son compagnon et les relations sexuelles qu’il lui imposait sans qu’elle soit consentante

    […]

    La procureure de la République, Caroline Fernandez ne peut passer sous silence les 19 mentions figurant au casier d’Hamza dont deux déjà pour des violences conjugales, avant de réclamer à son encontre, huit mois de prison dont quatre avec sursis et notamment une interdiction de contact.

    Le président du tribunal a porté la peine à 10 mois de prison dont quatre avec sursis et une interdiction de paraître en Charente-Maritime durant les deux années à venir.

    Un jugement prononcé avec cette injonction du magistrat, qui n’a pas ordonné de maintien en détention. « Vous prenez le premier TGV en direction d’Achères ! » 

    […]

    L’article dans son intégralité sur Actu La Rochelle via fdesouche

  • La Rochelle : des policiers refusent une interpellation par peur d’être accusés de racisme après le discours de Castaner

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2020

    Par  le 10/06/2020
    Antoine B@AntoineLaBoite

    [SOURCE POLICE] : voici le nouveau rapport type à chaque fois que les policiers nationaux ne se sentiront plus d’intervenir dans ces conditions, après les déclarations de leur ministre de tutelle.

    Voir l'image sur Twitter

    Alors qu’elle circule à moto dans l’après-midi du mardi 9 juin, une patrouille de police croise la route d’un jeune cycliste, qui crie plusieurs fois « ACAB » (acronyme pour « Alls Cops Are Bastard ») à leur hauteur. Les fonctionnaires font alors demi-tour pour demander des comptes à cet individu. Ils lui signifient que, compte tenu de la conjoncture actuelle, son comportement outrageant et provocateur est intolérable. Mais l’homme continue à insulter la patrouille en toute impunité. Finalement, les policiers le laissent partir en le saluant poliment, alors qu’ils auraient pu l’arrêter pour outrage à agent. Seulement, ils ont craint qu’une arrestation déclenche une émeute ou qu’ils soient accusés de racisme.