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ménard

  • Robert Ménard veut imposer la vaccination obligatoire, y compris aux enfants ! Il faudra s’en souvenir !

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2021

    Robert Ménard, maire de Béziers, vient une fois de plus de rappeler à tous qu’il fait partie de ce qu’il faut appeler « l’opposition contrôlée », c’est-à-dire des gens chargés de faire illusion auprès des électeurs, de faire croire qu’ils sont du camp national, alors qu’ils sont en vérité résolument du côté du Système. Robert Ménard n’est pas un nationaliste. Robert Ménard est un mondialiste qui accapare un électorat de droite nationale. Robert Ménard n’est pas du côté du peuple français, il est du côté de Big Pharma et de la tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire. Les propos qu’il a tenus hier matin sur CNews ne valent pas mieux que ceux de Christophe Barbier.

    Il faut définitivement perdre toute illusion sur ce genre de personnages.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1466311280717934597

     

  • Robert Ménard est un antifa comme un autre.

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    En mai dernier, Ménard inaugurait à Béziers une stèle à la mémoire de Giacomo Matteotti, député socialiste que la vulgate antifasciste dit avoir été assassiné sur ordre de Mussolini.
    Le voilà qui rend hommage aux "victimes de la répression franquiste" c'est a dire aux communistes et aux anarchistes qui, dans les années 30, plongèrent l'Espagne dans le chaos et la terreur rouge et noire.
    Robert Ménard est un antifa comme un autre.
    JFT.
    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’Orange 4G 15:24 Robert Ménard 1h・ 85 ans, un coup d' état fasciste plongeait nos amis espagnols dans la pire des guerres civiles. Pensées aux centaines de milliers de victimes de la répression franquiste et ceux qui ont dù refaire leur vie en France, notamment à Béziers. Votre commentaire... GIF 9 et 9 et 9 et’
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Suite à la surprenante inauguration d'un monument à la gloire de "l'anti-fasciste" Giacomo Matteotti à Béziers

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2021

    synthesenationale

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    Mise au point de Julien Langella dans le journal Présent.
     
    Le 27 mai, le maire de Béziers a inauguré le buste de Giacomo Matteotti, député socialiste assassiné en 1924. Et on peut dire que Robert Ménard, repoussoir « fasciste » pour la gauche, n’y est pas allé de main morte avec ce qu’il appelle « les racailles fascistes ».
     
    « Du temps de Matteotti, affirme l’édile, le fascisme existe pour de bon. On sent son haleine fétide […] dans toute l’Europe. On entend ses bruits de bottes [et] on voit son visage dur, arrogant, bestial, méchant. » Petit-lait nécessaire de mettre autant d’emphase, tel un élève de première L achevant sa dissertation sur Guernica, contre l’ambulance la plus fusillée de l’histoire ? On n’est pas loin des « geôles fascistes » d’Abel Chemoul dans le sketch des Inconnus… « Parce que le fascisme, insiste-t-il, c’est ça : humilier l’opposant en public, faire taire les opinions dissidentes, réduire au silence ceux qui ne pensent pas correctement. »
     
    Pour d’autres, oublie Ménard, le fascisme fut un rempart contre le communisme, l’origine du décollage industriel italien, le garant de l’autorité de l’Etat face à l’anarchie dans les rues, le premier constructeur d’autoroutes en Europe, le restaurateur de l’État pontifical et le protecteur de l’Église, l’ennemi juré de la pègre, le premier droit social de la péninsule, l’assèchement des marais pontins d’où surgirent villages et champs cultivés, l’abolition de l’impôt sur les successions, la hausse très nette de la natalité (de 38 à 45 millions d’habitants)…
     
    D’autre part, l’analyse historique de Ménard reprend le catéchisme social-démocrate sans discernement : la mort de Matteotti ne fut pas la profession de foi du fascisme mais son drame à une époque où il jouissait d’une grande popularité – dont Churchill se faisait l’écho – et alors que le Duce, comme l’a rappelé Dominique Venner dans Le Siècle de 1914 (2006), recherchait la collaboration de l’opposition socialiste.
     
    On m’objectera que tout cela est secondaire et que cette inauguration est d’abord un pied de nez au politiquement correct. Le combat contre l’étouffant magistère moral de la gauche dépend-il de notre capacité à mentir sur notre histoire européenne ? L’antifascisme est-il récupérable à droite ? L’antifascisme est une stratégie consubstantielle au communisme, mise en œuvre par Staline dans les années trente pour diviser ses ennemis en détournant les conservateurs de la tentation nationaliste, les acculer à lutter avec lui contre le IIIe Reich et donner une virginité à ses agents occidentaux, rhabillés en héroïques résistants antinazis.
     
    L’antifascisme est la première cause de l’hégémonie culturelle marxiste en Occident, la matrice du « Plus jamais ça ! » qui nous paralyse depuis un demi-siècle. Le chantage à « l’extrême droite » demeure la principale intimidation médiatique et le meilleur moyen d’ostraciser un individu. A chaque fois que l’on crie au « fascisme », on remet une pièce dans le jukebox de la pensée unique. Un buste dédié à un député socialiste antifasciste : voilà la politique culturelle de la droite « décomplexée » ? Nourrir l’antifascisme, c’est creuser le tombeau de la droite et, au passage, celui de l’intelligence. Pour cela, Monsieur Ménard, nous n’avions pas besoin de vous.
     
    Site de Présent cliquez ici
     
    NDLR-SN : A propos de Giacomo Matteotti 
     

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    Matteotti était un politicien médiocre, un mythe inexistant a été créé. Le professeur Tiozzo, dans les deux volumes de "Matteotti sans auréole", démonte pièce par pièce la mythologie de Matteotti et de son assassinat. Extrait :
     
    "L'exécrable assassinat de Giacomo Matteotti par une poignée de fascistes a créé le mythe du grand homme politique, fin connaisseur de l'économie et capable de mettre le fascisme à genoux par la force de ses arguments. Mais quelle a été la véritable action politique de Matteotti pendant ses cinq années de présence dans l'hémicycle ?
     
    En réalité, le député socialiste est un politicien modeste, sourd à l'opinion des autres, insuffisamment préparé, agressif verbalement et plus hostile aux gouvernements dirigés par les libéraux qu'à ceux dirigés par les fascistes.
     
    Ses projets de loi et ses discours à la cour, qui suscitent souvent l'amusement des députés, sont pour la plupart déconcertants. Matteotti propose, entre autres, de taxer le vin en fonction des intentions du consommateur (voluptueux ou non), d'acheter du pain en montrant son passeport, de convaincre la population de fumer de plus en plus, de transférer les héritages directement à l'État, de bloquer la création de nouvelles universités, de démobiliser l'armée, de réduire de 80% les forces de police, de refuser le droit de vote aux femmes et de résoudre les problèmes économiques au moyen d'un patrimoine unique égal à 25% du PIB italien.
     
    Il s'est "documenté" en lisant d'obscurs journaux provinciaux et n'a jamais présenté un véritable document dans ses questions à la Chambre. Il a provoqué et insulté tous les Premiers ministres, de Nitti à Giolitti, de Bonomi à Facta, les traitant d'incompétents et de criminels.
     
    Massimo Mattolini
  • Robert Ménard considère la remigration comme une “absurdité” – Les Identitaires lui répondent

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

    Si certains se font encore des illusions au sujet de la “Convention de la droite” et de ce qui pourrait en découler, il est utile de leur préciser que Robert Ménard, lors du discours qu’il y a tenu samedi dernier, a qualifié la remigration de « bêtise absolue » et de véritable « absurdité ». Ce bon républicain n’est décidément pas prêt à rompre avec le système.

    A ce sujet, les Identitaires ont réagi par le communiqué ci-dessous :

    Cher Robert Ménard,
    vous aimez le contre-pied, le paradoxe, incarner la vox clamantis in deserto. En termes de communication, être dans la rupture. Rien d’étonnant donc qu’à la Convention de la droite du 28 septembre, vous soyez monté à la tribune pour faire la leçon à vos hôtes. Après le Vu de gauche méprisant d’Enthoven, l’assistance a eu droit à votre Vu de Béziers. À cette occasion, vous avez affirmé votre hostilité à la remigration, la déclarant « d’une bêtise absolue », une véritable « absurdité ». Mais sans doute estimez-vous qu’à des amis égarés, il convient de tenir le rude langage de la vérité. Quitte à utiliser des formules que la gauche applaudirait.
    Laissez-nous vous dire, cher Robert Ménard, que vous vous trompez. La remigration est possible. Elle l’est car nécessaire. Ce n’est pas une figure de style, mais un constat politique, dans le sens premier du mot. Ou la remigration ou la soumission/disparition. Béziers n’est pas une île. Vous pouvez transformer votre ville autant que vous voulez, refaire quatre fois le bitume des rues, ouvrir 1 000 boutiques dans le centre, faire tomber localement le chômage à 0 %, il n’en reste pas moins que votre action municipale ne changera rien à l’alternative. Sachant qu’à cette alternative, il n’en existe qu’une autre, la guerre. Nous n’en voulons pas et vous non plus.
    En 2017, nous avons publié nos 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration. C’est avec plaisir que nous allons vous en envoyer un exemplaire ; vous pourrez juger sur pièces, critiquer en détail. Vous y verrez cependant qu’il ne s’agit pas d’un manuel d’utopie mais de mesures concrètes, dont certaines ont été éprouvées avec succès dans des pays démocratiques comme l’Australie ou les États-Unis.
    Le remigration n’est pas un concept adapté de la « valise ou le cercueil ». C’est peut-être votre histoire personnelle qui vous fait redouter des violences qu’une mise en place de la remigration provoquerait. Mais les violences existent déjà et qui peut croire qu’elles n’iront pas en augmentant ? Qui peut croire que « ça va bien se passer » ? Et si vous êtes hostile à la remigration, que proposez-vous ? Concrètement ? L’assimilation, l’intégration ? Au moment où leur échec comme celui de la société multiculturelle crèvent les yeux ?
    L’homme de communication que vous êtes sait que pour faire avancer une idée, il faut qu’elle s’installe dans le débat public, qu’on la défende ou qu’on la critique. Planter des mots dans des têtes pour que pousse l’action. Mettre en pleine lumière un concept ignoré encore du plus grand nombre est donc déjà une victoire. (…)

     

    Source : medias-presse.info