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  • MASSACRER UN CHAUFFEUR DE BUS N’EST QU’UNE INCIVILITE.

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2020

    Posté par Floris de Bonneville  Il y a 14 heures

    MASSACRER UN CHAUFFEUR DE BUS N’EST QU’UNE INCIVILITE.

    Il n’avait sans doute ni voulu se mêler aux 6000 participants de la marche blanche de mercredi soir, ni même pu écouter la vidéo de Véronique, l’épouse effondrée de Philippe qui raconte avoir promis à son mari en état de mort cérébrale «  de le venger en souhaitant que la justice donnera des peines exemplaires aux inhumains qui se sont acharnés sur lui, qui l’ont massacré ». Des inhumains actuellement mise en examen et écroués qui se prénomment : Mohamed C., Mohamed A., Moussa B. et Selim Z. Quatre individus que certains journalistes ont osé décrire comme des français marginaux.

    Philippe sera mort pour avoir voulu contrôler le ticket d’un de ces marginaux et demander à ce qu’il porte un masque…

    Incivilités à Castres, sans doute, où 5 agresseurs, selon fdesouche, ont braqué un pistolet sur la tempe d’une adolescente de 13 ans qu’ils ont violée. Incivilités aussi sans doute que celle commises par un « jeune homme très connu des services de police » et qui a heurté à 150km/h Mélanie, un gendarme chargé d’un contrôle routier. Incivilités aussi que celle subies par Thomas, 23 ans, assassiné de 8 coups de couteau par un « marginal ».

    Djebbari a raison, des incivilités comme telles, il s’en commet tous les jours, des dizaines à travers la France désormais occupée. Elles finissent dans la sinistre rubrique des faits divers de nos quotidiens régionaux, et bien rarement sur nos chaînes et radio.

    Et je crains fort qu’avec un Gérald-Moussa Daramanin, si fier de son second prénom, à la Place Beauveau, et l’avocat Dupond-Moretti place Vendôme, nos espoirs de retrouver la paix dans le pays ne sont pas prêts d’être exaucés.

    Floris de Bonneville

     

    Source : ndf

  • EN DÉFENSE DE LA POLICE

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2020

    POSTÉ LE MAI 26, 2020, 10:58

    Une certaine Camélia Jordana, chanteuse et actrice de son état, a fait des déclarations assez surréalistes le 23 mai, sur le plateau de « On n’est pas couché » (France 2), où elle était invitée par Laurent Ruquier :

    « Je parle des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau. C’est un fait. »

    Et encore : « Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic. Et j’en fais partie. Aujourd’hui, j’ai les cheveux défrisés ; quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France. »

    J’avoue que je n’avais jamais entendu parler de cette personne. Mais, si j’en crois Wikipedia, elle est la petite-fille d’immigrés algériens et son grand-père était un référent local du FLN dans le Var.

    Évidemment, cette expérience du terrorisme donne une con­naissance un peu particulière du rôle de la police.

    Mais imaginer qu’en France, des personnes se font « massacrer » par des policiers pour leur couleur de peau me semble assez difficile.

    J’aurais plutôt tendance à croire que les forces de l’ordre vont beaucoup moins que partout ailleurs dans les banlieues qui ont cessé d’être françaises.

    Les directives relatives au récent confinement montrent ainsi qu’au moins certaines « zones de non-droit » en étaient dispensées.

    Ajoutons en passant qu’il est curieux que cette jeune femme ignore que la plupart des Algériens a la peau blanche.

    En tout cas, sa sortie est pour le moins malvenue. Le syndicat de police Alliance a saisi le procureur et Christophe Castaner a condamné sans réserve ces « propos mensongers et honteux ».

    En revanche, on ne s’étonnera pas que SOS Racisme, caricature du prétendu anti-racisme, vivant grassement sur le dos du contribuable qu’elle accuse de racisme, ait volé au secours de la chanteuse et de son « analyse » (sic !).

    Ces propos sont calomnieux et mériteraient des sanctions ou des excuses publiques.

    Mais, pour éviter de telles insultes, il faudrait aussi que les politiciens cessent d’utiliser les forces de l’ordre comme une police politique.

    La progressive perte de con­fiance des Français envers leur police tient précisément à cet emploi politique et à ce sentiment (pas toujours infondé) que la police est plus dure pour les honnêtes gens que pour les voyous. Il est temps que la police française soit ramenée à sa mission initiale de protection des honnêtes gens et des libertés publiques.

     

    Source : les4verites

  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2019

    Auteur : Rédaction


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    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info