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menacé

  • Les syndicats de police montent au créneau et menacent le gouvernement Macron de passer en résistance

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juillet 2023

    Riot police react to a petrol bomb burst, where an officer's gear caught fire, during May Day protests in Paris, France May 1, 2023 in this still image from social media video. QG media/Luc Auffret via REUTERS ATTENTION EDITORS - THIS IMAGE HAS BEEN SUPPLIED BY A THIRD PARTY. MANDATORY CREDIT

    Dans un communiqué conjoint, les deux organisations syndicales Alliance Police Nationale et l’UNSA Police dénoncent les « hordes sauvages » qui sèment le chaos et le « dictat de ces minorités violentes » qui mettent en péril la République. Elles réclament que l’ordre soit rétabli et que les interpellés soient mis hors d’état de nuire. Elles affirment également leur solidarité avec leurs collègues qui sont « au combat » contre ces « nuisibles ».

    Mais les syndicats de police ne se contentent pas de demander le calme, ils annoncent aussi qu’ils seront dans l’action une fois la situation apaisée. Ils exigent du gouvernement des mesures concrètes pour protéger juridiquement les policiers, renforcer la réponse pénale, et leur fournir des moyens conséquents. Sinon, ils menacent de passer “en résistance” et de faire valoir leur considération.

    Alliance et UNSA se disent conscients que les émeutes sont un phénomène récurrent qui reviendra si rien n’est fait. Ils appellent donc à une prise de conscience du gouvernement et à une mobilisation générale pour défendre l’Etat de droit.

     

    Le leader de la France insoumise n’a pas mâché ses mots pour critiquer les syndicats de police qui ont publié un communiqué virulent face aux émeutes. Il les accuse de vouloir provoquer une guerre civile et de tenir des propos meurtriers. Il appelle le gouvernement à reprendre le contrôle de la police et à apaiser la situation. Il met entre guillemets le mot “syndicats” pour remettre en cause leur légitimité.

     

    Le Média en 4-4-2. 

  • Bordeaux : armé d’une lame de 10 cm, un vendeur à la sauvette menace les clients d’un café ; 4 mois de prison ferme et une interdiction du territoire (ITF) de 3 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    L’homme n’a pas supporté que des clients attablés en terrasse d’un café du centre-ville de Bordeaux refusent de lui acheter une rallonge électrique. Il a brandi une lame de 10 centimètres avant de prendre la fuite. Il était jugé en comparution immédiate, ce 22 mai

    (…) « Ce jour-là, je n’étais pas dans mon état normal, assure le prévenu, qui vit à la rue. J’avais pris du diazépam [un anxiolytique, NDLR] et de la coke. Mais je n’ai pas sorti mon couteau et j’ai été insulté. »

    Le tribunal n’a pas cru sa version. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme, une interdiction du territoire de trois ans et a été maintenu en détention. Douze mois ferme avaient été requis.

    Sud Ouest via fdesouche

  • « On va vous envahir » : un migrant menace les Français en direct sur BFMTV

    Publié pa Guy de Laferrière le 05 mai 2023

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  • Viktor Orbán : la propagande LGBT est « la plus grande menace qui guette nos enfants »

    Publié par Guy de Laferrière le 24 février 2023

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a prononcé un discours sur l’état de la nation le 18 février dans lequel il a doublé l’engagement de son gouvernement à protéger les enfants de la « propagande de genre » qu’il a liée à la « pédophilie ».

    Après avoir passé une grande partie du discours à parler de la situation économique de la Hongrie et de la situation difficile que le conflit Ukraine-Russie a créé pour son pays, Orbán a terminé son discours par une salve contre « un arc-en-ciel de mots » qu’il a qualifié de « plus grande menace pour nos enfants. »

    Il a déclaré : « Disons les choses comme elles sont : la pédophilie ne se pardonne pas. Les enfants sont sacrés pour nous, et il incombe aux adultes de protéger les enfants à tout prix. »

    L’allusion a été faite en réponse à un récent scandale dans lequel un éducateur militant LGBT s’est vanté d’ avoir eu des relations sexuelles avec un adolescent de 15 ans.

    Zsolt Bite est un homme ouvertement homosexuel de près de 40 ans et s’est qualifié d’éphébophile, ce qui signifie un adulte attiré par les jeunes adolescents.

    Le Premier ministre Orbán a ajouté: « Nous ne sommes pas intéressés par le fait que le monde est devenu fou, nous ne sommes pas intéressés par les modes dégoûtantes auxquelles certaines personnes se livrent, nous ne sommes pas intéressés par les excuses et les explications que Bruxelles donne pour l’inexplicable. »

    Il a ensuite appelé les législateurs à adopter le « système de protection de l’enfance le plus strict d’Europe ».

    « La propagande de genre n’est pas seulement une câline divertissante », a-t-il poursuivi, « pas seulement un bavardage arc-en-ciel, mais la plus grande menace qui guette nos enfants. »

    Orbán a conclu en déclarant : « Nous voulons que nos enfants soient laissés seuls, car ça suffit ! Ce genre de choses n’a pas sa place en Hongrie, et surtout pas dans nos écoles. »

    Actuellement, la Hongrie possède certaines des lois de propagande anti-LGBT les plus strictes du monde occidental, l’une de ces lois interdisant la diffusion de contenu dans les écoles réputées promouvoir l’homosexualité et le genre.

     

    Source : medias-presse.info

  • Mantes-la-Jolie (78) : un homme, frère d’un dealer interpellé, appelle le commissariat et menace de mort les policiers et leurs familles

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Un homme, bien connu des services de police, a appelé à plusieurs reprises, mardi 24 janvier, le commissariat de Mantes-la-Jolie (Yvelines) pour proférer notamment des menaces de mort à l’encontre de policiers et leurs familles, a appris CNEWS de source policière. Un acte qui pourrait s’expliquer par l’interpellation du frère du suspect, la semaine précédente.

    Il a par la suite été reconnu par un policier et interpellé le lendemain des faits dans l’après-midi. Le suspect, âgé de 39 ans, est le frère d’un homme interpellé la semaine précédente lors d’une opération de police effectuée sur le point de deal dit «la centrale», dans un des quartiers de la ville, toujours selon la source policière.

    D’après cette dernière, «l’incarcération de son frère et la saisie des biens ont dû fortement contrarier» l’auteur présumé des appels. Le mis en cause est également connu des services de police depuis plusieurs années, comme ancien délinquant.

    cnews via fdesouche