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  • « On va vers un tsunami » : le cri d’alarme de Michel-Édouard Leclerc qui panique face à l’inflation dans ses magasins

    Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2022

     

    « On va vers un tsunami » c’est le cri d’alarme de Michel-Édouard Leclerc qui a mis en garde contre une inflation « à deux chiffres » dans la grande distribution, mardi 8 novembre.

    Dans le secteur alimentaire, la hausse des prix s’établit à 17,74 % pour les conserves de légumes, à 15,08 % pour les huiles ou encore à plus de 20 % pour le café. Et la situation pourrait encore s’aggraver selon le patron des centres Leclerc. Il pointe un risque accru en raison des négociations à venir avec les industriels et producteurs, imposées par la loi Egalim. « Mes collaborateurs me rapportent qu’il n’y a aucune demande de hausse inférieure à deux chiffres », prévient-il, insistant :

    « On va vers un tsunami ! »

     

     

     
  • « L’inflation actuelle n’est pas liée à la guerre en Ukraine, c’est de la spéculation »

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2022

    « C’est pipeau, a-t-il déclaré. L’huile de tournesol qui manque ici aujourd’hui ou qu’on envoie les gens chercher, c’est des graines qui ont été récoltées l’année dernière. Donc c’est de la spéculation, au mieux de l’anticipation et il n’y a pas de raison de laisser les prix partir comme ça à la hausse. »

    Convaincu d’avoir tenu un « discours préventif de l’inflation qui arrivait » bien avant les autres, Michel-Édouard Leclerc estime s’être « fait pas mal rentré dedans » à l’époque. Aujourd’hui, pour tenter d’endiguer le phénomène, il a décidé de créer « un bouclier ».

    […]

    Il souligne le fait que cet épisode d’inflation est différent des précédents qu’a pu connaître la France car, selon lui, cela ne se limite pas à quelques produits.

    « C’est tout le fond de rayon qui bouge, de 2 centimes à 20 centimes, quelques fois à 2 euros. Donc il est important d’installer des facteurs de stabilité pour que les consommateurs puissent garder confiance dans nos enseignes. »

     

    Lire l’article entier sur cnews.fr

  • Michel-Édouard Leclerc, lui aussi, disposé à emmerder les non-vaccinés ?

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    On ne peut longtemps chasser le naturel, il revient au galop. La chose est connue depuis la nuit des temps. Aussi bien, tout Président qui assure à ses concitoyens qu’il « a changé » ne saurait être pris au sérieux. C’est bidon.

    Le naturel du président de la République n’a pas tardé à reprendre le dessus. Le 31 décembre, il dégoulinait de bienveillance, la France chevillée au cœur : soyons « épris de liberté, d’universel, de créativité », nous a-t-il dit. « Restons unis, bienveillants, solidaires (sic). » Il l’a juré craché sur le tapis : dans les mois qui viennent, « quelles que soient ma place et les circonstances, je continuerai à vous servir. De la France, notre patrie, nul ne saura déraciner mon cœur. » On en aurait pleuré d’émotion… et dès le lendemain matin, il avait viré le drapeau français de l’Arc de Triomphe !

    Le 31 décembre 2021, Emmanuel Macron assurait aussi avoir « appris à aimer les Français », et le 4 janvier, il confiait au Parisien : « Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale. » Et de préciser, au cas où l’on n’aurait pas bien compris la nature de son amour incommensurable : cette « toute petite minorité, on la réduit, pardon de le dire comme ça, en l’emmerdant encore davantage […] Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout. »

    Toutefois, il faut le reconnaître, le Président aurait tort de se gêner puisqu’il est soutenu dans sa démarche par nombre de Français tout prêts à envoyer leurs voisins au goulag. On ne compte plus, en effet, les propositions telles « soumettre les allocations chômage à la vaccination »« faire payer les soins aux malades non vaccinés atteints de Covid », leur demander de « préciser s’ils veulent ou non être réanimés », etc. Les idées ne manquent pas puisqu’on rabâche à longueur de journée que lesdits non-vaccinés mettent la nation en péril.

    À ce propos, une phrase a frappé ce matin mon oreille délicate. Parlant de ces non-vaccinés qui encombreraient les services de réanimation, un médecin qui s’exprimait sur les ondes a parlé « des non-vaccinés… enfin, ceux qui n’ont pas leur schéma vaccinal complet ». Faut-il croire alors que sont comptabilisés comme non-vaccinés ceux qui n’ont pas reçu leur troisième dose ? Au point où l’on en est, tout est possible.

    Dans la série des tracasseries et privations de liberté destinées à « emmerder » les Français, le gouvernement compte beaucoup sur le passe vaccinal appelé à succéder, dans les prochains jours, au passe sanitaire. Si les députés finissent par le voter, ce qui hélas ne tardera sans doute pas, il va falloir beaucoup monde pour le mettre en place. Déjà, il semble que l’on puisse compter sur le roi de la grande distribution, l’illustre Michel-Édouard Leclerc, patron des magasins du même nom.

    Interrogé sur CNews, mardi matin, Michel-Édouard Leclerc s’est exprimé clairement : « D’abord, on applique la loi. Nous saurons faire, nous sommes dans une stratégie volontariste et donc nous appliquerons le passe sanitaire, les jauges, la réglementation qu’on attend de nous. On n’en fait pas un plat. » Et comme Laurence Ferrari lui demandait ce que feraient les non-vaccinés si les préfets imposent le passe vaccinal aux grandes surfaces, il a répondu : « Ils ne viendront pas. »

    Des milliers d’internautes lui ont répondu, notamment sur Twitter. La teneur générale se résume ainsi : « C’est pas grave, vacciné ou non, on ira ailleurs faire nos courses ! »

    Chez les commerçants du groupe Super U, par exemple ? Dont le patron, Dominique Schelcher, refuse d’imposer un passe sanitaire à ses clients comme à ses collaborateurs ?

    Marie Delarue

    Source : http://bvoltaire.fr