Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

minaret

  • Ne parlez pas de grand remplacement : il ne s’agit que de l’inauguration du minaret d’une mosquée dans l’Orne…pour l’instant.

    Publié par Guy de Laferrière le 22 décembre 2022

    Auteur : 

    Le minaret n’appellera pas à la prière cinq fois par jour…pour l’instant.

    C’est l’ambassadeur de Turquie en France lui-même qui s’est déplacé pour venir inaugurer cette nouvelle mosquée à Flers dans l’Orne. Son Excellence Refik Ali Onaner était accompagnée de madame la sénatrice Nathalie Goulet, de Yves Goasdoué, le maire et de monsieur Selcuk Bilici, président de l’amicale Franco-Turque de ce nouveau territoire conquis, cultuellement il s’entend…pour l’instant.

    En fait, la mosquée était déjà en service, mais il lui manquait la pièce maîtresse pour l’appel des musulmans à la prière : le minaret. C’est donc chose faite malgré l’opposition, entre 2003 et 2005, de la municipalité qui a cédé à la condition que ne retentisse pas dans les rues de Flers les cinq appels quotidiens du muezzin. Ce sera ainsi…pour ‘instant.

    A l’issue de son discours en turc, le représentant de la Sublime Porte a concédé quelques mots en français pour dire que « tous ensemble, avec les Français, nous parvenons toujours à réussir les projets en poursuivant les mêmes objectifs. »

    « Les mêmes objectifs », monsieur l’ambassadeur ? De tolérance,  peut-être, comme la transformation de la basilique Sainte-Sophie en mosquée à Istanbul le 10 juillet 2020 ? Et tout ce petit monde politique, déjà  en dhimmitude volontaire, croit à vos promesses qui sentent la Taqîya (1) comme la cacque sent le hareng ! Ou, alors font-ils semblant de vous croire…pour l’instant.

    Sources : Ouest-France / Actu.fr/Normandie

    (1) Taqîya pourrait se traduire en français par « dissimulation ». Un musulman peut abjurer extérieurement ses croyances, professer publiquement une autre religion, accepter d’être réputé non-musulman ou renoncer aux exigences cultuelles et législatives conformes à l’islam, tout cela s’il se trouve dans des conditions qu’il estime être de contrainte justifiant une telle attitude.

     

    Source : medias-presse.info

  • Du haut des minarets, cette chahâda qui ressemble tant à un cri de guerre

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2021

    Du haut des minarets, cette chahâda qui ressemble tant à un cri de guerre

    Bernard Antony, président de l’Agrif communique :

    La décision de madame le maire de Cologne en Allemagne d’autoriser désormais le vendredi les appels à la « prière » à haute intensité sonore, depuis le minaret de la grande mosquée a été très médiatisée.

    Ce n’est pas d’ailleurs une « première » en Europe.

    Mais cela a été commenté en considération de l’importance de l’islamisme dans cette grande ville où de nombreuses agressions sexuelles de femmes du fait de musulmans avaient été perpétrées lors d’une fête.

    Bien des commentateurs dans nos médias, ont développé l’opinion qu’il serait normal qu’en France, les appels des muezzins puissent être diffusés tout comme les sonneries des cloches de nos églises.

    Ils ont ainsi une fois encore témoigné de leur ignorance de la réalité de l’islam.

    En effet, c’est le plus souvent, avant d’autres prières extraites du Coran, la chahâda que déversent les minarets.

    Or la chahâda n’est pas une prière. Elle est la profession de foi en arabe de l’unicité divine : « Lâ ilâha illa Allâh wa- Muhammad rasûl Allâh ». En français : « Il n’y a pas d’autre Dieu que Dieu et Muhammad est son envoyé » on peut traduire encore par « prophète » ou par « messager ».  Très souvent, le muezzim (ou l’imam) continue par cette injonction qui revient maintes fois dans le Coran, donc parole d’Allah lui-même : « Obéissez à Dieu, obéissez à son envoyé ».

    Le père libanais Antoine Moussali, (prêtre de Saint Vincent de Paul) un des plus grands islamologues du siècle écoulé, et pour cela professeur d’arabe à l’université d’Alger et autres instituts de 1978 à 1994, animateur de bien des rencontres de dialogue islamo-chrétien (peu suspect d’islamophobie !) observait que la chahâda était «  comme un cri de guerre ».

    Il n’en est pas de même des cloches qui sonnent les heures, les joies et les peines.

     

    Source : lesalonbeige

  • Dijon Métropole accorde le permis de construire d’une nouvelle mosquée et d’un minaret

    Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2020

    Les services de Dijon métropole viennent d’émettre un avis favorable à la demande de permis de construire déposée par l’association dijonnaise El Imane. Le projet prévoit la construction d’une mosquée et d’un minaret dans le quartier de la Fontaine-d’Ouche.

    (…)

    Bien Public via fdesouche