Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2021
Le jour même où le président algérien rappellait que son pays "ne renoncerait jamais à sa mémoire" — ce qui, au demeurant, est légitime, même si l'Algérie ne fut un "pays" que par la grâce de l'œuvre française — Emmanuel Macron se vautrait, une fois de plus, dans la plus misérable repentance en "reconnaissant" l'assassinat après torture par nos soldats de l'avocat et militant FLN Ali Boumendjel pendant la bataille d'Alger en 1957.
Boumendjel était un agent de liaison du terrorisme fell. Les paras de la 10° DP ont fait ce qu'ils devaient faire. Nous non plus, nous ne renonceront jamais à notre mémoire.
JFT