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moeurs occidentales

  • Overdose LGBT

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2021

    Overdose LGBT

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    Lu dans VA :

    Homophobie, transphobie, biphobie et drapeau arc-en-ciel. Depuis hier, impossible de passer à côté. Ce lundi 17 mai marque la Journée mondiale contre l’homophobie. La célébration, progressivement installée dans les mœurs occidentales ces vingt dernières années, est censée « sensibiliser et prévenir », selon l’association SOS Homophobie. Avec une méthode simple et efficace : l’omniprésence. Les festivités n’ont pas attendu le lancement officiel de la campagne. Dimanche, lors de l’avant-dernière journée de Ligue 1, tous les joueurs ont porté leurs numéros aux couleurs du mouvement LGBT. Avant chaque match, ils posaient, tout sourire, devant une banderole au slogan risible :« Homos ou hétéros, on porte tous le même maillot. » Le football est devenu en l’espace de quelques années un terrain privilégié de la propagande LGBT : l’année dernière, la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, annonçait son intention de voir des matchs s’arrêter en cas de chant jugé homophobe dans les stades. Évidemment, le monde médiatique n’est pas en reste : le Monde s’intéresse, ce lundi, à la famille, cet « espace de violences » pour les jeunes LGBT depuis le début de la pandémie. France 3 fait l’éloge des influenceurs et de leurs engagements qui seraient une « source d’inspiration pour les LGBT+ ». Sur les réseaux sociaux, une carte du monde un peu particulière fait un tabac : elle classe les pays en fonction de leur législation par rapport à « l’orientation sexuelle ». Les militants LGBT qui la partagent vous invitent à bien choisir votre prochaine destination de vacances. On aura tout vu.

    Overdose jusqu’au RN :

     

     

    En Espagne, Francisco José Contreras, député du parti Vox, a été privé de son compte Twitter pendant 12 heures :

    “Le tweet haineux (que j’ai été obligé de supprimer) était un tweet qui disait : ′′Un homme ne peut pas tomber enceinte. Un homme n’a pas d’utérus ou d’ovaires””, a écrit Contreras. “Vous pouvez voir que c’est déjà de la biologie fasciste. La prochaine fois, j’essaierai 2 + 2 = 4.”

     
     
    Source : lesalonbeige