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nuit de violences

  • Pontault-Combault (77) : deuxième nuit de violences près du commissariat

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2022

    Les policiers de Seine-et-Marne ont dû, une nouvelle fois, faire face à des jeunes qui tiraient des mortiers dans leur direction près du commissariat de Pontault-Combault. Les fonctionnaires ont répliqué avec des grenades lacrymogènes, des lanceurs de balles de défense, des lance-grenades Cougar – qui diffusent du gaz lacrymogène – et aussi avec des grenades de désencerclement, utilisées en cas d’assaillants rapprochés. La scène de violences a duré une heure. Personne n’a été interpellé.

    Heureusement, là encore, pas de blessés ni de dégâts matériels à déplorer. C’est vers 3 heures du matin que les premiers feux d’artifice ont été tirés en direction des forces de l’ordre, avenue de la République, par une vingtaine de personnes. La scène a duré une bonne heure, même si elle était moins dense que la précédente, avec moins de tirs de mortiers.

    La veille, c’est à peu près à la même heure que les policiers du commissariat de Pontault-Combault avaient subi les assauts de plusieurs dizaines de personnes. Toujours avenue de la République, entre l’hôtel de police et la cité de l’Ocil. Là encore, des jeunes avaient envoyé une cinquantaine de mortiers en direction des forces de l’ordre, sans compter les jets de bouteilles et de pierres. […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Nuit de violences à Oyonnax (01) : des scènes de guérilla urbaine en plein cœur de la ville, 3 policiers blessés, les habitants sous le choc (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    fdesouche

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    07/11/2020

    Les images sont impressionnantes. Des poubelles brûlées, feux d’artifice, pétards, des scènes de guérilla urbaine en plein cœur d’Oyonnax. Des voitures ont même été brûlées. Dans la soirée de vendredi d’importantes échauffourées ont opposé la police et des habitants non loin du Stade Charles-Mathon, à proximité du quartier de la Plaine, vers le cours de Verdun. La police et les pompiers sont intervenus pour éteindre les divers incendies et disperser les individus. La BAC a dû être appelé en renfort, tout comme le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Valserhône et Bourg-en-Bresse. L’heure n’est pas encore au bilan, mais beaucoup de mobiliers urbains ont été dégradés.

    La Voix de l’Ain


    Les tirs de mortiers d’artifice ont blessé trois policiers, dont l’un s’est vu prescrire 30 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT) selon l’AFP. La Brigade Anti-Criminalité de Bourg-en-Bresse est venue prêter main forte à leurs collègues. Les faits se sont déroulés à proximité du Stade Charles-Mathon, du cours de Verdun et de la rue Normandie-Niemen, dans le quartier de la Plaine.

    Selon des sources policières, ces faits pourraient s’expliquer par un contre-coup du confinement. Des petites bandes pourraient “s’amuser” le soir en créant des “provocations“, pour s’occuper.

    (…) France 3


    06/11/2020

    Les tirs de mortiers et jets de cocktails Molotov se sont multipliés, certains d’entre eux auraient visé les policiers. Leurs collègues de la BAC de Bourg-en-Bresse ont été appelés en renfort.

    Plusieurs feux, au moins six, se déclarent sur la voie publique, l’intervention des pompiers a longtemps été compliquée voire périlleuse. Plusieurs véhicules ont été calcinés, notamment à proximité du centre social ouest, et le mobilier urbain a été dégradé.

    Vers 22 heures, le harcèlement des forces de l’ordre par les tirs de feux d’artifice se poursuivait, de façon intermittente mais soutenue.

    Le Progrès