En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Trois des cinq agresseurs d’une trentaine de rugbymen à Saint-Martin-Petit, en Lot-et-Garonne, ont comparu face au tribunal d’Agen. (…)
Les trois prévenus, Fares E, âgé de 19 ans, Imane B, une femme de 25 ans, et Sonia Y., âgée de 30 ans, comparaissaient au motif de « violence aggravée par trois circonstances », pour le jeune homme et de complicité pour ses comparses. (…)
Quelques semaines après, nous avons eu le drame de Crépol, qui a vu la mort de Thomas, un jeune rugbyman, lui aussi. Le traumatisme subi par mes clients est immense.
Bénédicte de Boussac, avocate
Peu importe la nature des armes, il y avait un pistolet, vous participiez à une agression à main armée, préméditée, en réunion. Ces faits sont passibles de 10 ans de prison.
Franck Didier, vice-procureur
Farés E. a été condamné à 12 mois de prison avec sursis, assortis d’un sursis probatoire.
Les deux femmes, sans qui les trois garçons n’auraient pas pu mener cette expédition, ont été convaincues de complicité active et ont écopé de 8 mois de prison avec sursis.
Ils devront verser 3000€ à chacune de leurs 25 victimes au titre du préjudice moral.
[NdeFDS : au sujet du reste de la bande]. L’un des deux mineurs avait comparu devant le tribunal des enfants, à Agen. Le second comparaîtra prochainement à Bordeaux. Tous deux ont tout juste quelques mois de moins que leur camarade.
À la sortie du palais de justice, les victimes et leurs familles, frustrées, avaient l’impression de n’avoir pas été prises en considération. (…)
Les forces de l’ordre traquent les petits Français qui veulent fêter le nouvel an avec des feux d’artifices. Mais qu’ils aillent donc fouiller les caves des cités « racailleuses » !
HAUCONCOURT/LUXEMBOURG – Nicolas, père de famille de 29 ans, a reçu neuf coups de couteau devant une discothèque, au nord de Metz. Sa compagne, consultante au Luxembourg, témoigne.
«C’est la première fois de ma vie que je me suis dit que j’allais mourir». Cinq jours après une soirée festive qui a tourné au cauchemar, Nicolas, 29 ans, se remet doucement d’une altercation dont il aurait pu ne pas sortir vivant. Le jeune homme de 29 ans, originaire de la région messine, a déposé plainte après avoir été poignardé à neuf reprises, vendredi dernier, devant la boîte de nuit Le Victoria, située à Hauconcourt, à une quarantaine de kilomètres de la frontière luxembourgeoise.
«Il a été touché au ventre, aux cuisses, aux fesses et à la main. Une bouteille a été cassée sur sa tête. Heureusement, aucun organe vital n’a été touché. Mais il s’est vu partir», témoigne sa compagne Jenny*, consultante au Luxembourg. Actuellement en congé parental – Nicolas et Jenny ont deux enfants de 2 ans et 6 mois – elle doit désormais s’occuper de son conjoint, «complètement dépendant», à l’heure actuelle.
(…) Nicolas assure qu’il s’est excusé, mais l’homme aurait brandi un couteau. La victime l’aurait alors frappé en réponse. En deux temps trois mouvements «entre sept et dix personnes» auraient ensuite lynché le jeune Mosellan à coups de lame et de bouteille de vodka.
(…) «C’est une agression gratuite», déplore Jenny, indiquant que Nicolas n’est pas un habitué des lieux, «au contraire des agresseurs». Dans sa plainte, la victime affirme que certains d’entre eux auraient prononcé des paroles à caractère discriminatoire – «Sale gwer» (NDLR: un terme péjoratif pour désigner les personnes blanches) -, ce qui devra être confirmé par l’enquête pour «tentative de meurtre» confiée à la gendarmerie de Maizières-lès-Metz. Sollicité, le parquet de Metz n’avait pas encore répondu, jeudi, aux questions de L’essentiel.
Nicolas devait aller aux toilettes mais il y avait tellement de monde qu’il est allé uriner sur le côté de la boîte. Quelqu’un lui a dit “tu m’as bousculé” mais même s’il pense ne pas l’avoir fait, il s’est excusé immédiatement. Sauf que l’autre individu a sorti un couteau. Nicolas lui a mis un coup mais un autre est arrivé et lui a mis un coup de gazeuse. Finalement, ils lui sont tombés à plusieurs dessus.
Dans son dépôt de plainte, auquel Lorraine Actu a eu accès, Nicolas évoque « quatre ou cinq personnes ». Le jeune homme a été passé à tabac. Il indique aux gendarmes avoir été victime d’insultes racistes : « sale blanc » ou encore « tape-le, le gwer (un mot utilisé comme une insulte raciste envers les personnes blanches) ». D’après Meggy, « Nicolas a eu un instinct de survie : il a réussi à se relever et ouvrir les portes pour se réfugier dans la boîte ».
Finalement, « avec deux amis, ils sont passés par une sortie de secours, ils ont pu prendre la voiture et ils sont partis à l’hôpital de Mercy », ajoute la jeune femme. Nicolas a reçu neuf coups de couteau et a dû se faire poser 40 points de suture. « On lui a cassé une bouteille d’alcool sur la tête et on a dû lui mettre 15 points de suture à cet endroit », précise Meggy.
Pour en finir avec cette stupide « Journée des droits des femmes », et démontrer qu'au Parti de la France, nous sommes parmi les rares à nous soucier de leur bien-être, c'est à dire de leur sécurité.
En 2020, la jeune Française avait été, devant des membres de sa famille, traînée sur près d’un kilomètre par une voiture conduite par deux racailles, jusqu’à ce que mort s’en suive, le soir où elle fêtait ses 23 ans. Le verdict est tombé : le chauffeur (Youcef Tebbal) condamné à seulement 12 ans de prison (il risquait 20 ans, 16 ans requis) et le passager (Mohamed Yelloule) à 2 ans ferme. Avec les remises de peine, le Youcef sera libérable dans 3 ans.
La vie d’une petite Française ne vaut pas grand chose pour cette justice républicaine. C’est presque la même peine qu’ont subi deux jeunes Français qui s’étaient simplement défendus face à l’agression de Clément Méric et ses amis… Et en plus les proches des deux étrangers osent déclencher une émeute dans le tribunal :