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racisme anti-blancs

  • Mélange de suprémacisme noir, de judaïsme, de racisme anti-Blancs et d’anticatholicisme : les illuminés de École israélite de la connaissance pratique universelle

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2020

    Vous avez peut-être vu sur les réseaux sociaux ces images ignobles de Noirs faisant mettre à genoux des Blancs pour leur embrasser les chaussures.

     

    Avec la mort de George Floyd et l’essor du mouvement Black Lives Matter financé par le milliardaire mondialiste George Soros, ces scènes abjectes se sont reproduites dans différentes villes des Etats-Unis et du Canada.

    Nous avons été intrigués par le logo qui apparaît sur plusieurs photos et vidéos montrant ces scènes scandaleuses. On y voit distinctement l’étoile de David, symbole judaïque. L’étoile de David apparaît d’ailleurs également sur les accoutrements des Noirs qui imposent ces humiliations à des Blancs.

    C’est ainsi que nous avons découvert que ce logo est celui de l’Israelite School of Universal Practical (USIPK).

    Cette École israélite de la connaissance pratique universelle (ISUPK) est un groupe de suprémacistes noirs basé à Upper Darby, en Pennsylvanie mais présent dans différentes villes des Etats-Unis et du Canada. Ces illuminés considèrent les noirs américains comme des descendants des douze tribus d’Israël.

    Les énergumènes de l’ISUPK ont donc développé un discours mêlant judaïsme, suprémacisme noir, racisme anti-Blancs et haine du catholicisme.

    Depuis plus de quinze ans déjà, les illuminés de l’ISUPK haranguent en pleine rue ou sur des parkings, ce qui leur est permis au nom de la liberté d’expression.

    Ils portent volontiers des accoutrements étranges en référence aux tenues du judaïsme antique.

    Ces illuminés de l’ISUPK cultivent également des attitudes guerrières qui prêteraient à rire si nous ne constations pas les humiliations de Blancs qui les accompagnent.

    Les responsables de l’ISUPK s’affublent de grades militaires et s’inventent des uniformes de pacotille, phénomène observé également en France avec la Ligue de Défense Noire Africaine.

    Il faut noter que les illuminés de l’ISUPK avaient commencé ces scènes d’humiliation des Blancs il y a déjà plusieurs années et donc bien avant la mort de George Floyd.

    On peut se poser des questions sur la santé mentale de ces individus mais il est en tout cas évident qu’ils constituent une menace pour la société et que le racialisme noir associé au racisme anti-Blancs fait de plus en plus d’émules, y compris en France.

     

    Source : medias-presse.info

  • Racialisme noir et racisme anti-Blancs : l’exemple de Globule Noir

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2020

    Les lois contre le racisme et la discrimination interdisent depuis de nombreuses années à un employeur de publier une offre d’emploi réservée aux Français. L’employeur qui diffuserait en France une offre d’emploi réservée aux Blancs serait immédiatement envoyé devant les Tribunaux.

    Pourtant, le 29 juillet dernier, le compte Twitter de Globule Noir, se décrivant comme un “groupe de soignantes racisées, luttant contre la négrophobie et les discriminations au sein des institutions hospitalières” publiait une offre d’emploi pour une infirmière à domicile “racisée” pour des soins à domicile dans le 13ème arrondissement de Paris. Et de préciser le sens de “racisée” : “#SoignantNoir“.

    L’annonce a entraîné de nombreuses réactions de mécontentement sur les réseaux sociaux et Twitter a fermé le compte de Globule Noir.

    Mais ceci témoigne du développement en France d’un communautarisme noir, foncièrement racialiste et profondément raciste anti-Blancs. Les mouvements indigénistes peuvent à présent compter sur l’effet Black Lives Matter ainsi que sur les turbulents racistes de la Ligue de Défense Noire Africaine.

    Si la France se respectait, les gens de Globule Noir devraient être identifiés et renvoyés en Afrique. D’ailleurs, l’Afrique a bien besoin de personnel soignant. Ces racialistes noirs, s’ils étaient cohérents, ne devraient pas rester un jour de plus en France. Leur peuple les accueillera à bras ouverts. Et le nôtre sera débarrassé de propagateurs de haine qui n’ont rien à faire chez nous.

     

    Source : medias-presse.info

  • Comment les partisans du « décolonialisme » mènent et gagnent leur guerre idéologique dans les universités françaises

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019

    Par  le 13/04/2019

    En quelques années, les théories intersectionnelles se sont imposées dans les amphis des sciences sociales, sur les bancs comme sur l’estrade. A tel point qu’il devient dangereux de remettre ces thèses en question.
    […]

    L’enseignant [Eric Fassin], grand invité des médias et notamment de France Culture, considère en revanche que « le racisme anti-Blancs n’existe pas pour les sciences sociales ». Son raisonnement ? Même si le caractère raciste de quelques agressions a pu être reconnu par la justice, on ne peut pas « faire comme si, quand on dit “sale Blanc”, ça résonnait avec toute une histoire ».. A la différence supposée, par exemple, de l’esclavage ou de l’apartheid pour les Noirs…

    Eric Fassin, qui n’a pas répondu à la sollicitation de Marianne, fait partie des universitaires les plus investis sur les questions intersectionnelles. Comme pour assurer une descendance à ses idées, il prend en charge un nombre impressionnant de doctorants : 10 début 2019. A l’inverse, les enseignants qui s’opposent au « décolonialisme » peuvent rapidement se retrouver persona non grata. Stéphane Dorin, qui s’était opposé à la venue de Houria Bouteldja à l’université de Limoges, en novembre 2017, affirme être depuis l’objet d’une cabale : « Le directeur de l’école doctorale m’a fait comprendre que je n’aurais plus aucun doctorant sous contrat tant qu’il sera là », ce que la direction nie vigoureusement. En décembre 2018, Stéphane Dorin a néanmoins été exclu de son laboratoire, le bourdieusien Groupe de recherches sociologiques sur les sociétés contemporaines, avant que le tribunal administratif de Limoges ne suspende la décision, en février dernier. Pour les étudiants intéressés par une carrière universitaire en sciences sociales, l’adhésion au prisme intersectionnel, voire décolonial, est désormais un préalable, à en croire un jeune docteur en science politique : « Si tu n’es pas bourdieusien, et que tu n’as pas d’appétence pour les thèmes du genre et de la race, tu n’as vraiment pas beaucoup de chances d’obtenir un poste. »
    […]

    Marianne via fdesouche