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surveillance

  • On devrait quitter Montauban

    Publié par Guy de Laferrière le 17 novembre 2022 

    On devrait quitter Montauban

    Les voyous y sont arrivés. Le lycée Bourdelle à Montauban fait l’objet d’une “surveillance très attentive” après des atteintes à la laïcité concernant le port de tenues islamistes, qui ont conduit à la protection policière d’une enseignante, a déclaré mardi le ministre de l’Éducation Pap Ndiaye. Cette élève portait au sein de l’établissement une abaya. Un professeur est sous protection.

    Des patrouilles de police effectuent des passages réguliers devant le domicile de l’enseignante et devant le lycée.  Mas selon Pap Ndiaye

    “La situation aujourd’hui est bien meilleure dans le lycée Bourdelle qu’avant les vacances”. “Nous surveillons très attentivement les choses de manière à ce que l’on revienne à la normale dans un lycée qui a connu de nombreux incidents liés à la laïcité ces derniers temps.”

    Situation bien meilleure… Il se contente de peu.

     

    Source : lesalonbeige

  • Comment le pass carbone pourrait être mis en place par la surveillance de tous nos déplacements

    Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2022

    Auteur : 

    Le pass carbone – ou le pass climatique ou énergétique – est dans les cartons. Comment les mondialistes qui nous gouvernent pourraient-ils le mettre en place ? Début d’explications avec l’économiste Philippe Herlin.

     

  • Éditorial monde de septembre : la civilisation du QR code.

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2021

    © Romée de Saint-Céran pour L'Incorrect

    Dix ans après les révélations d’Edward Snowden, l’affaire Pegasus ne nous apprend rien de nouveau. Elle confirme des pratiques courantes, y compris entre pays alliés, peu surprenantes dans le cas de régimes autoritaires comme le Maroc, mais qui mettent en lumière les tensions géopolitiques qui se multiplient autour du bassin méditerranéen et s’inscrivent dans un schéma global bien plus inquiétant.

    la civilisation du qr code,surveillanceCe que l’affaire Pegasus est venue confirmer, c’est la tendance à la privatisation des opérations et des méthodes de renseignements. Une dizaine de pays seraient clients de la société israélienne NSO Group, qui développe cette application permettant de mettre sur écoute n’importe quel smartphone. Comme le rapportent les journalistes Pierre Gastineau et Philippe Vasset : « Dans un univers pourtant peu porté sur la modestie, tout le monde s’incline devant les pirates du petit État hébreu » (Armes de déstabilisation massive. Enquête sur le business des fuites de données, Fayard). Si tout le monde s’accorde pour reconnaître l’expertise et la compétence d’Israël en matière de cyber-renseignement, l’État hébreu n’est pas le seul à se voir décerner un prix d’excellence. « Négligé par les occidentaux pendant longtemps, le secteur du cyber-renseignement privé a explosé en Inde ces dernières années », affirment également les deux auteurs qui démontrent à quel point le microcosme du cyber-renseignement rassemble acteurs étatiques et privés.

    Car l’enseignement principal du scandale Pegasus n’est pas que les États surveillent leurs concitoyens en tirant profit des nouvelles technologies. On le savait déjà avant même les révélations de Snowden. En revanche, l’affaire démontre que le cyber-renseignement, y compris quand il est au service des États, s’est largement privatisé, grâce aux technologies de communication. Les États font appel aux services de sociétés spécialisées pour la surveillance électronique mais tirent aussi parti de l’extraordinaire développement des médias sociaux pour collecter massivement les données publiques ou privées. Une pratique bien établie, dénommée OSINT par les services de renseignement occidentaux, pour « Open Source INTelligence » et qui peut être menée également par des sociétés privées pour le compte d’entités étatiques ou même par des ONG ou groupes d’investigation comme le célèbre site Bellingcat, qui se fait fort d’exploiter les données de comptes publics et les selfies maladroits publiés par des soldats syriens, yéménites, russes ou américains sur des sujets ou des théâtres d’opérations sensibles.

    Cette évolution géopolitique est le corollaire d’un mouvement de civilisation désormais impossible à endiguer. On observe depuis deux décennies l’avènement d’une civilisation dans laquelle la notion d’intimité devient caduque et où l’individu peut être identifié, labellisé, enregistré, contrôlé et étiqueté comme jamais auparavant. Des algorithmes décident d’embaucher ou de licencier les employés de grandes entreprises et cela n’est rien en regard de la fantastique opération de surveillance consentie à laquelle les réseaux sociaux soumettent des milliards d’individus. L’ironie réside d’ailleurs dans le fait qu’une bonne partie des « anti-système », des autoproclamés membres d’une dissidence fantasmée ou les opposants aux politiques dites liberticides vivent eux-mêmes en esclavage, heureux et emmurés dans leur compte Twitter, Facebook ou Instagram. L’algocratie est au service de l’ochlocratie.

    Les annonces du 12 juillet auront marqué un tournant historique et anthropologique, en faisant advenir la civilisation du QR code

    Ce consentement collectif à la surveillance de tous par tous est aggravé par la quasi-obligation pour l’ensemble de la population française de posséder son passe sanitaire muni de son QR code pour pouvoir accéder à une vie sociale. L’avènement de ce passe, dont Jean Castex jurait il y a quelques mois qu’il ne serait jamais mis en place, crée un nouveau format de document d’identification, cette fois totalement électronique et autorisant le croisement entre données d’identité et de santé. Cela n’a rien en soi d’une politique machiavélienne. Au-delà même de la question sanitaire, la mise en place du passe obligatoire n’est que la conséquence attendue d’une mécanique de gestion étatique et administrative qui échappe aux hommes. Nul ne sait où cette évolution nous mènera.

    Les annonces du 12 juillet auront marqué un tournant historique et anthropologique, en faisant advenir la civilisation du QR code, bien plus sûrement que l’affaire Pegasus, qui sera suivie, n’en doutons pas, de multiples autres scandales du même genre, qui sembleront de moins en moins scandaleux à mesure que nos sociétés seront accoutumées à la surveillance électronique, qu’elle soit étatique, opérée par des sociétés privées ou par les individus eux-mêmes. Happiness in slavery.

     

    Source : https://lincorrect.org/

  • Passe sanitaire : quelle surveillance redouter ?

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2021

    Passe sanitaire : quelle surveillance redouter ?

    Les critiques du passe sanitaire dénoncent unanimement un « danger autoritaire ». Assez justement, la CNIL elle-même présente ce danger comme « le risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de glissement, à l’avenir, et potentiellement pour d’autres considérations, vers une société où de tels contrôles deviendraient la norme et non l’exception ». Prenons un instant pour détailler ce danger et répondre à la question : de quel type de surveillance le passe sanitaire est-il l’expression ?

    Il existe déjà de nombreux « dispositifs attentatoires à la vie privée » contre la généralisation desquels nous luttons depuis des années : écoutes téléphoniques, fichage, caméras, drones, géolocalisation, logiciels espions… Pour comprendre et prévenir les dangers posés par le passe sanitaire, il faut le situer précisément au sein de cet écosystème. Certains outils de surveillance sont plus ou moins faciles à déployer, à plus ou moins grande échelle, de façon plus ou moins visible et avec des conséquences très variables. En comprenant dans quel mouvement technologique et à partir de quels outils pré-existants le passe sanitaire s’est construit, nous espérons lutter plus efficacement contre la banalisation du type de surveillance qu’il permet.

    Contrôler pour exclure

    Pour prendre du recul, décrivons de façon générale l’action que permet de réaliser le passe sanitaire : exclure de certains emplois, transports et lieux des personnes dont la situation diffère de certains critères fixés par l’État.

    Formulé ainsi, ce mode de régulation n’a rien de nouveau. C’est notamment de cette façon que l’État français traite les personnes étrangères : l’accès aux transports vers le territoire national, puis l’accès au séjour et à l’emploi sur le-dit territoire n’est permis que si la situation des personnes étrangères est conforme à des critères fixés par l’État (situation personnelle familiale et économique, pays d’origine, âge…). Le respect des critères est vérifié une première fois en amont puis se traduit par la délivrance d’un titre : visa, cartes de séjour, etc. Ensuite, la police n’a plus qu’à contrôler la possession de ces titres pour contrôler la situation des personnes, puis leur ouvrir ou leur fermer les accès correspondants. En menaçant d’exclure du territoire ou de l’emploi les personnes ne disposant pas du bon titre, l’État déploie une lourde répression – les conséquences pour les personnes exclues sont particulièrement dissuasives.

    Toutefois, jusqu’à peu, ce type de répression avait d’importantes limitations pratiques : les titres ne pouvaient être délivrés qu’avec un certain délai et à un certain coût, de nombreux policiers devaient être déployés pour les vérifier et certains policiers devaient même être spécifiquement formés pour en vérifier l’authenticité. Ces limitations expliquent sans doute en partie pourquoi ce type de répression s’est jusqu’ici centré sur des cas précis (tel que le contrôle des personnes étrangères) sans être systématiquement déployé pour gérer n’importe quelle situation que l’État souhaiterait réguler.

    Le passe sanitaire est la traduction d’évolutions techniques qui pourraient supprimer ces anciennes limites et permettre à cette forme de répression de s’appliquer à l’ensemble de la population, pour une très large diversité de lieux et d’activités. Lire la suite sur le site de la Quadrature du Net !

     

    Source : ndf

  • France : surveillance renforcée sur les armes… Légales !

    Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2020

    Un fichier supplémentaire et donc une surveillance accrue des détenteurs de fusils de famille, des chasseurs et des tireurs sportifs. Désarmer les Français honnêtes est un tropisme des gouvernements successifs.

    Trouvé sur Sputnik : « Le Service central des armes du ministère de l’Intérieur cherchant à perfectionner son suivi met en place un système d’information sur les armes, un fichier des armes à feu civiles où chacune sera immatriculée à vie, informe Le Parisien.

    Le ministère de l’Intérieur introduit son Système d’information sur les armes (SIA), une application intuitive développée par le Service central des armes afin de mieux gérer les détentions d’armes à feu, relate Le Parisien.

    Désormais chacune des armes à feu civiles, que ce soit pistolet, revolver, fusil ou carabine, sera immatriculée à vie.

    «Ainsi, leur parcours pourra-t-il être reconstitué, qu’il s’agisse de la fabrication, de la modification ou de la destruction, le tout étant visualisable en temps réel», a expliqué au quotidien Pascal Girault, chef du Service central des armes et à ce titre responsable de la mise en œuvre du nouveau système informatisé.

    Le journal indique que grâce à la mise en place du SIA, les autorités comptent pouvoir recenser des armes qui, jusqu’ici, n’avaient jamais émergé, de manière à disposer d’un état des lieux plus exhaustif qu’aujourd’hui. À ce jour, près de cinq millions d’armes sont légalement détenues en France, mais il subsiste une zone grise.

    Celle-ci concerne de nombreux fusils de chasse qui, avant 2011, pouvaient être achetés librement et dont la détention n’était pas soumise à déclaration. Il s’agit également du matériel de la Seconde Guerre mondiale conservé comme souvenir familial ou historique. »

     

    Source : contre-info