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  • Un enseignante dans un quartier immigré de Suède : « les élèves disent que je suis sale. Par ‘sale’ ils veulent dire que je suis blanche et chrétienne », «Je pense à porter un gilet pare-balles comme d’autres le font »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Une enseignante d’une école suédoise située dans une banlieue no-go zone de la ville de Stockholm a affirmé que les élèves la traitent de “sale” parce qu’elle est blanche et chrétienne.

    L’enseignante, âgée d’une soixantaine d’années, travaille depuis des années dans une école de Järva, dans la banlieue de Stockholm, et a déclaré qu’elle était régulièrement harcelée et insultée par les élèves et que certains parents se présentent même aux réunions en portant des gilets pare-balles en raison de la prévalence de la violence armée dans la région.

    “J’ai envisagé de porter un gilet de protection. Tous les autres en ont un. Même les parents viennent aux réunions de développement avec le gilet. Ce n’est pas bizarre, l’arrêt à l’école est juste un parmi d’autres pour eux”, a déclaré l’enseignante au journal Expressen.

    L’enseignante, qui affirme que ses collègues sont tous confrontés aux mêmes problèmes, a déclaré que les élèves l’appellent souvent “sale” : “À l’école, les élèves disent que je suis sale. Par ‘sale’, ils entendent que je suis blanche et chrétienne”, et a ajouté : “Ne me touche pas, tu es sale, ils peuvent crier.”

    Selon l’enseignante, des élèves l’ont même suivie jusqu’à son domicile après qu’elle disciplina un élève de son école. “Il a commencé à me harceler plusieurs fois après que j’ai travaillé jusqu’au le soir. Je ne m’en soucie pas tant que ça, mais il m’a dit ‘faites attention’ et des choses du genre”, a-t-elle déclaré.

    “Je les ai entendus essayer de passer la porte. Ensuite, il y a eu 53 SMS sous-entendant que je devais me méfier, il y avait aussi des photos de moi. Ils ont envoyé des SMS reprenant des chansons de rap”, a-t-elle ajouté.

    Bien qu’elle doive faire face à des menaces, l’enseignante a déclaré qu’elle était bien payée et qu’elle pouvait se permettre de louer un garage pour sa voiture, dans lequel un homme garde son véhicule contre les attaques, car il est trop dangereux pour elle de prendre les transports publics dans la région.

    En 2019, le gouvernement suédois a offert des primes aux enseignants travaillant dans des zones interdites comme Järva afin de les inciter à continuer à travailler dans ces zones ou à accepter les emplois disponibles. L’enseignante qui s’est confiée à Expressen a noté que certains de ses collègues avaient démissionné au fil des ans en raison de la situation de l’école.

    Breitbart à partir d’un article du journal suédois Expressen

  • On devrait quitter Montauban

    Publié par Guy de Laferrière le 17 novembre 2022 

    On devrait quitter Montauban

    Les voyous y sont arrivés. Le lycée Bourdelle à Montauban fait l’objet d’une “surveillance très attentive” après des atteintes à la laïcité concernant le port de tenues islamistes, qui ont conduit à la protection policière d’une enseignante, a déclaré mardi le ministre de l’Éducation Pap Ndiaye. Cette élève portait au sein de l’établissement une abaya. Un professeur est sous protection.

    Des patrouilles de police effectuent des passages réguliers devant le domicile de l’enseignante et devant le lycée.  Mas selon Pap Ndiaye

    “La situation aujourd’hui est bien meilleure dans le lycée Bourdelle qu’avant les vacances”. “Nous surveillons très attentivement les choses de manière à ce que l’on revienne à la normale dans un lycée qui a connu de nombreux incidents liés à la laïcité ces derniers temps.”

    Situation bien meilleure… Il se contente de peu.

     

    Source : lesalonbeige

  • “Pourquoi nos étudiants ne savent-ils plus écrire ?” : une enseignante s’alarme du niveau catastrophique des élèves français en orthographe

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2022

    fdesouche

    ENTRETIEN – Dans son livre «Pourquoi nos étudiants ne savent-ils plus écrire?» Aude Denizot, dresse un bilan catastrophique du niveau des étudiants français. L’enseignante a imposé des cours d’orthographe à l’université.

    Après plus de 20 ans passés à corriger des copies au lycée et à l’université, Aude Denizot, professeur de droit à l’Université du Mans, a pu observer le déclin du niveau de ses étudiants en orthographe. Dans Pourquoi nos étudiants ne savent-ils plus écrire? (Enrick B éditions), l’enseignante passe en revue les causes de la baisse du niveau et identifie un coupable majeur: la photocopie. Elle démontre ainsi comment son usage abusif au détriment de la copie manuscrite réduit considérablement les progrès des jeunes Français.

    LE FIGARO ETUDIANT. Le déclin des étudiants en orthographe est-il vraiment alarmant?

    Aude DENIZOT. J’ai commencé à enseigner à l’université en 2000. Et depuis cette époque, j’observe le niveau baisser via les 400 à 500 copies que je corrige chaque année. Je vois aujourd’hui des fautes sur des points de grammaire élémentaires que je n’aurais jamais vues au début de ma carrière. Une règle aussi basique que celle du à/a est de moins en moins maîtrisée. De même, j’observe chaque année davantage de phrases incompréhensibles ou illisibles. Nombre d’élèves n’ont plus les bases. Ces dernières années nous avons imposé des cours d’orthographe à nos étudiants de licence. Nous avons été forcés de constater que malgré un travail régulier et une très bonne volonté, une partie significative ne faisait aucun progrès notable entre la première et la dernière dictée de l’année. Autrefois les élèves qui faisaient des fautes étaient souvent des élèves médiocres. Aujourd’hui on trouve des fautes élémentaires dans les copies de nos meilleurs élèves.

    (…)

    Quelles sont les autres causes du déclin du niveau en français des étudiants?

    On a souvent renoncé à l’exigence et aux exercices difficiles par peur d’ennuyer les enfants. Or c’est en étant exigeant qu’on stimule leurs cerveaux et qu’on les fait grandir. Il est ainsi dommage que les enfants ne soient sanctionnés en orthographe qu’à l’occasion des dictées, et des cours de grammaire. L’élève qui ne perd aucun point pour son orthographe dans les autres matières et ne développe pas d’automatismes et peinera toujours davantage à écrire sans faute. Par ailleurs, nous ne pouvons qu’être inquiets devant la baisse du nombre d’heures accordées à la grammaire au primaire et dans le secondaire. L’omniprésence des écrans est une cause de la baisse générale du niveau des élèves et les correcteurs orthographiques n’incitent pas à la vigilance. Cependant les écrans n’entrent pas avant le collège dans le monde scolaire. Ils ne peuvent être rendus responsables lorsque les élèves ne maîtrisent pas les règles de base apprises en primaire.

    (…) Le Figaro

  • Nîmes : un collégien en garde a vue après avoir demandé à son enseignante si elle connaissait Samuel Paty alors qu’elle le réprimandait

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2021

    Ce mardi 16 novembre, à Nîmes, un collégien Nimois qui était réprimandé par une enseignante lui a demandé si elle connaissait Samuel Paty. Ce professeur a porté plainte et le gamin a été placé en garde à vue au commissariat. Mis en cause pour acte d’intimidation, l’élève âgé de 14 ans devrait être déféré ce jeudi 18 novembre au parquet de Nîmes. 

    Une professeur d’arts plastiques du collège du Mas-de-Mingue a porté plainte ce mercredi suite aux propos tenus par l’un de ses élèves.  Mardi pendant un cours, ce professeur aurait reproché à cet élève son comportement turbulent. Alors que l’enseignante s’approchait de cet élève âgé de 14 ans, celui-ci  lui a demandé si elle connaissait Samuel Paty. L’élève a ensuite refusé de s’excuser. Il aurait expliqué qu’il n’avait pas l’intention de menacer l’enseignante.

    “Actes d’intimidation”

    Le collégien a été placé en garde à vue et entendu par les policiers à l’hôtel de police. Le mineur devait être déféré ce jeudi 18 novembre au parquet de Nîmes. Il lui est reproché des faits “d’actes d’intimidation envers une personne exerçant une mission de service public.” 

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • Suède : une enseignante pro-migrants de 70 ans étranglée à mort par son élève, un Afghan de 20 ans, qui était également son amant

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019

    Par  le 24/10/2019

    Suède – Pendant une année, l’enseignante âgée de 70 ans et l’élève afghan de 20 ans avait eu une relation amoureuse. Le jeune homme est accusé du meurtre de la septuagénaire.

    L’étudiant est arrivé en Suède en 2015. Sa demande d’asile a été refusée et il a fait appel de cette décision devant le tribunal des migrations. Le 27 juin, il a appelé la police et a avoué qu’il avait étranglé à mort une femme de 70 ans qui avait été son professeur.

    L’enseignante était à la retraite et avait eu le migrant comme élève. Elle était connue pour son militantisme en faveur des demandeurs d’asile. Lorsque la police a arrêté le jeune homme, il a déclaré qu’il « avait fait quelque chose de stupide et avait frappé quelqu’un ».

    « On commençait à s’embrasser et puis j’ai eu un peu peur et ensuite je l’ai l’étranglée », dit-il lors de son interrogatoire. La victime a été retrouvée morte dans son appartement. L’étudiant n’a fourni aucune explication supplémentaire.

    Au cours de l’enquête, il est apparu clairement que l’élève et l’enseignante formaient un couple. Cette information est confirmée par des notes que la femme a laissées avant sa mort: « Par des notes qui font référence à des dates précises, il est confirmé que la relation amicale se transforme en une relation amoureuse à la mi-2018 ».

    La septuagénaire écrit qu’elle « devrait essayer de ne pas le contacter », mais qu’il « la rend heureuse ».

    Expressen / Aftonbladet / Nyheter Idag via fdesouche