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  • Victoire à Réalmont (Tarn) : il n’y aura pas de migrants, le préfet du Tarn a dû reculer !

    Publié par Guy de Laferrière le 07 juin 2023

    synthesenationale

    Communiqué de la Coordination Partout Callac :

    Le préfet du Tarn vient de tenter une opération qui s’est mal terminée.

    Il a fait demander aux habitants de Réalmont et ses environs d’indiquer les logements vacants et a tout simplement proposé de les rénover et de signer un contrat d’hébergement pluriannuel après la réalisation des travaux.

    Ce que les habitants ne savaient pas c’est qu’il s’agissait pour le préfet d’aboutir au logement d’une cinquantaine de migrants, dénommés « réfugiés » alors que tout le monde sait que, dans leur immense majorité, ils ne sont nullement réfugiés.

    Ce sont les avocats de ONG qui ont trouvé ce moyen pour faire entrer aisément les migrants en France. Ce sont ces personnes qui sont placées dans des CADA pendant le temps de l’instruction de leur dossier. Mais s’ils sont déboutés, ils restent quand même en France et ne quittent pas notre pays.

    Lorsque les habitants ont découvert le pot aux roses, une mobilisation a été immédiatement organisée. Le préfet qui a tenté de tromper les habitants a interdit toute possibilité de manifester concernant ce sujet.

    La population et les élus se sont fortement agacés de tout cela – la tentative de tromperie puis l’interdiction d’exprimer le refus du projet préfectoral – et devant l’ampleur de la mobilisation populaire et des élus, le préfet a été obligé de remballer son projet.

    Cette tentative du préfet, on en retrouve de similaires dans une multitude de communes. Avec les mêmes travers : pas de consultation des élus, pas d’information ni de consultation de la population concernée, montage du projet en toute discrétion en s’appuyant sur des associations gavées de subventions (nos impôts) pour qui l’immigration est un business. Mais qui rapporte gros.

    Ce qui vient de se passer à Réalmont démontre que partout les populations doivent être vigilantes. Dès que des projets semblables à celui de Réalmont sont repérés, la mobilisation doit s’organiser. Mais la victoire à Réalmont démontre aussi que, comme à Callac, lorsqu’on se bat on peut gagner.

    La Coordination Partout Callac invite tous les citoyens à se mobiliser pour mettre en échec la « transition démographique » qui est en réalité l’invasion de nos campagnes, voulue par Macron.

    La Coordination Partout Callac est disponible pour aider tous les citoyens confrontés à un problème de ce genre, afin de les aider à combattre et leur faire profiter de notre expérience.

    Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac

    Site de la Coordination cliquez ici

  • « Je ne le ferai plus. Je veux rester dans votre beau pays » : un Pakistanais de 18 ans agresse sexuellement la veilleuse de nuit de son foyer à Lagarrigue (81)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Un Pakistanais de 18 ans a été condamné à 18 mois de prison ferme par le tribunal de Castres pour une agression sexuelle commise dans un foyer de Lagarrigue.

    « Je demande pardon, je ne le ferai plus, je ne pensais pas que cette erreur me conduirait devant le tribunal. Je veux rester dans votre beau pays qui m’a si bien accueilli », lâche les larmes aux yeux ce Pakistanais de 18 ans à la barre du tribunal correctionnel de Castres traduit par une interprète. Mais les juges ne se sont pas laissé attendrir par ce migrant, pourtant sans casier judiciaire, considérant qu’il « n’avait pas pris la mesure de la gravité des faits ». Il a été condamné à 30 mois de prison, dont 12 mois avec sursis probatoire durant 2 ans avec l’obligation de travailler, d’indemniser la victime, de ne pas rentrer en contact avec elle et de se soigner.

    Le jeune homme était poursuivi pour une agression sexuelle sur la veilleuse de nuit du foyer pour jeunes migrants installé dans un ancien hôtel de Lagarrigue où il est hébergé dans le cadre d’un contrat jeune majeur de l’Aide sociale à l’enfance.

    La Dépêche via fdesouche

  • Le Parti de la France s'organise dans le Tarn (81), Olivier Romain nommé délégué départemental.

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2021

    Olivier Romain, Albigeois de 52 ans, père de deux enfants, est le nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour le Tarn (81).
    Après avoir côtoyé un temps Charles Pasqua, cet infatigable travailleur, commissaire aux comptes, s’est surtout consacré à gérer la société d’expertise comptable à Albi dont il est le directeur.
    Constatant le déclin de notre pays et l’inaction des politiciens du Système, Olivier Romain a décidé de s’engager pour le combat national et a tout naturellement choisi le programme du Parti de la France qui correspond à toutes ses attentes, souhaitant le développer durablement dans son département.
    Pour le contacter : olivier.romain@proexpertise-occitane.fr
     
    Guy Jovelin - Délégué du PdF pour l'Occitanie - Membre du bureau politique du PdF
     
    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’le Parti de la France’
     
     
     
     
     
     
  • Ramadan dans le Tarn : la police a reçu la consigne de ne pas verbaliser jusqu’à 22H, pour respecter la pratique de l’aumône islamique et à partir de 5H, pour la prière

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Pendant la durée du Ramadan, les forces de l’ordre ont reçu pour consigne de la préfecture du Tarn de ne pas verbaliser les personnes qui circuleront jusqu’à 22 heures pour pratiquer l’aumône islamique et à partir de 5 heures, pour la prière du matin.

    INFO JDI. Policiers et gendarmes tarnais ont reçu la consigne de ne pas verbaliser les musulmans circulant pendant le couvre-feu dans le créneau 19 heures-22 heures et à partir de 5 heures, pendant la durée du Ramadan fixée cette année du 13 avril au 12 mai.

    Adressés aux commissariats et aux gendarmeries du département le mercredi 14 et le jeudi 15 avril, les mails que « Le Journal d’Ici » a pu consulter précisent que « les pratiquants sont autorisés par la préfecture à dispenser l’aumône (se traduisant par la livraison de nourriture à des amis, familles…) ».

    Il est également souligné que « le créneau nocturne correspond à la rupture du jeûne et il est potentiellement susceptible de générer des rassemblements sur la voie publique ou aux abord des mosquées ».

    […]

    Concernant la dérogation dès 5 heures le matin au lieu de 6 heures, horaire normal de levée du couvre-feu, la préfecture précise que son but est de permettre aux pratiquants de se rendre à la mosquée pour le première prière de la journée, fixée à 5h30, mais qu’aucune demande n’a été signalée jusqu’à présent aux autorités.

    […]

    Le week-end dernier selon la préfecture du Tarn, le forces de l’ordre ont verbalisé cent personnes pour violation du couvre-feu dans le département.

    Le JDI via fdesouche
  • Tarn : Certaines routes retrouvent leur limitation à 90 km/h

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

     
    90 km/h

    Instaurée en juillet 2018, la limitation des routes départementales à 80 km/h va être peu à peu révisée dans le Tarn.

    Jeudi 7 janvier, le président du Conseil départemental du Tarn, Christophe Ramond, a annoncé lors de ses vœux à la presse que le département allait progressivement enclencher un retour à la limite de 90 km/h. Cette volonté était affichée depuis quelque temps déjà par le président, qui devait cependant faire face à certaines contestations.

    Des conditions strictes

    La loi d’orientation des mobilités (LOM) du 24 décembre 2019, prévoit en effet, en son article 34, la possibilité pour les départements ou les maires de relever la limite de vitesse de 10km/h, à certaines conditions. Une circulaire complète le dispositif, précisant les conditions dans lesquelles le passage à 90 km/h peut être effectué.

    Lire aussi : Toulouse : la politique de transports attaqué devant la justice

    La Commission départementale de la sécurité routière (CDSR) doit être consultée pour tout changement dans la règlementation sur la vitesse. La circulaire précise que les tronçons de route concernés par un éventuel changement dans la limitation doivent faire minimum 10 kilomètres. Les membres de la CSDR devront également donner un avis défavorable si le tronçon comprend des arrêts de transports en commun, si des riverains circulent aux abords de la route, ou si des véhicules agricoles peuvent être présents. Le changement pour 90 km/h sera interdit également si la route est traversée par des pistes cyclables ou des chemins de grande randonnée.

    Des conditions très difficiles, qui rendaient a priori impossible l’application de la dérogation aux routes du Tarn. Le Conseil départemental a cependant adopté la mesure pour trois routes départementales, rejoignant la grosse trentaine de départements ayant choisi de s’opposer au pouvoir central sur le sujet.

    Pas de changement en Haute-Garonne

    Son homologue de la Haute-Garonne, Georges Méric, s’est quant à lui positionné contre l’abandon de l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h. Lors de la cérémonie de présentation des voeux, mardi 12 janvier, il a rappelé que la décision prise en 2018 par le Premier ministre de l’époque, Edouard Philippe, avait été actée « sans aucune consultation des élus locaux et avait suscité une bronca chez les habitants des secteurs périurbains et ruraux ». Cette mesure a été, entre autre, à l’origine de la révolte des Gilets jaunes.  

    Lire aussi : Les routes secondaires de Haute-Garonne « pourraient revenir à 90km/h »

    L’étude des services techniques du Département a révélé que seul « 6% du réseau routier départemental pourrait potentiellement faire l’objet d’un rehaussement de la vitesse limitée autorisée », selon les critères fixés par le gouvernement. « Le fait de relever la vitesse maximale sur ces sections n’aurait donc que très peu d’effet sur les déplacements des Hauts-Garonnaises et des Hauts-Garonnais et leurs temps de parcours », conclut le président du Département.

     

    Source : infos-toulouse