Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2020
Après avoir milité pour la dictature du prolétariat, voilà l’extrême-gauche, et ses insoumis si soumis genoux à terre, qui se démène pour imposer, à la manière africaine, la tyrannie des minorités colorées, Assa Traoré étant son porte-parole : « En Afrique, ils vont renverser le président, ils renversent le palais, ils rentrent dans le palais, ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France » clamait l’égérie chevelue prônant la violence de la révolution.
C’était en 2018, la sœur d’Adama Traoré hurlait son agenda politique, en réalité celui cette extrême-gauche communiste ayant reconverti son électoralisme prolétarien en démagogie immigrationniste.
La sœur d'#Adama #Traoré : "En Afrique, ils vont renverser le président, ils renversent le palais, ils rentrent dans le palais, ça se passe comme ça en #Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en #France"#maréepopulaire @EmmanuelMacron @gerardcollomb
Deux ans après, si Assa a mis de l’eau dans le vin de son discours, évitant de son prendre au président, la macronnie étant plutôt une alliée de son projet anti-France « indigéniste » et « décolonialiste », la guerre communautariste, et musulmane, visant à semer le chaos dans la société française, dont elle a aidé à la propagation est installée en France, avec un objectif : détruire l’occident et sa civilisation chrétienne et remplacer notre culture par la charia multiculturelle.
Les violences à Dijon et à Nice entre bandes rivales ethniques et musulmanes, auxquelles la forces de polices françaises ont du mal à mettre un terme, dans un pays où le « vivre-ensemble » a été vanté par les politiciens aux manettes depuis des décennies en sont la flagrante démonstration : des pans entiers du territoire français n’appartiennent déjà plus à la France mais au coran !
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info