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  • Refus d’obtempérer à Trappes (78) : les policiers ouvrent le feu pour stopper le chauffard qui leur fonçait dessus

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    Des policiers ont ouvert le feu, mercredi 30 novembre 2022 à Trappes, sur une voiture qui leur fonçait dessus. Le chauffard et son passager, âgés de 25 et 26 ans, n’ont pas été touchés. Interpellés, ces habitants de Montigny-le-Bretonneux ont été placés en garde à vue pour « refus d’obtempérer » et « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique ».

    Vers 17 heures, avenue de l’Europe à Guyancourt, la brigade anticriminalité veut contrôler leur véhicule. Le conducteur ne s’arrête pas. Une course-poursuite est engagée. Il « prend tous les risques », selon une source policière, et slalome à toute vitesse au milieu de la circulation.

    Au rond-point du Pavillon bleu, à Trappes, à l’angle de la RD192, il fonce alors vers des policiers qui ont dressé un barrage. Deux tirs seront effectués par les agents. Une balle est venue se ficher dans la portière arrière gauche de la voiture. Le chauffard percutera finalement le véhicule d’un autre automobiliste, un homme de 52 ans qui ne sera pas blessé. 

    Actu.fr via fdesouche

  • Un homme égorgé à Trappes

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2022

    Un homme égorgé à Trappes

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    Michel R., 66 ans, un habitant “sans histoire” de Trappes, a été égorgé dimanche 10 juillet alors qu’il se promenait. Interpellé dans la foulée, le tueur présumé est un certain Mouhssine K., bien connu des services de police. L’enquête a été entravée par des violences urbaines encouragées par le frère du tueur présumé, Mounir K.

    La victime a reçu dix coups de couteau.

     

    Source : lesalonbeige

  • Trappes : Accusée à tort de racisme, une professeure exfiltrée. L’Éducation nationale ne l’a pas soutenue. Le père de famille auteur de la «fatwa numérique» emprisonné (MàJ : réaction de Didier Lemaire)

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2022

    17/01/22


    16/01/22

    Souhaitant intéresser ses élèves, une enseignante de Trappes (Yvelines) a fait apparaître le rappeur Soprano dans un document sur l’évolution. Un parent y a vu du racisme et partagé le cours sur Facebook, entraînant une «fatwa numérique» selon le procureur. Le parent d’élève a été condamné à de la prison, l’enseignante a été exfiltrée.

    (…)

    Le 8 décembre 2020, Stéphanie (le prénom a été changé), une professeure de SVT (sciences de la vie et de la terre) d’un collège de Trappes âgée de 34 ans, donne un cours sur l’évolution et la place de l’Homme dans le monde vivant à ses élèves de 3e C.

    Pour les intéresser l’enseignante a choisi de glisser dans la chronologie, à la case de l’homo sapiens, une figure connue des adolescents, le rappeur marseillais Soprano. Dans ses cours, on trouve aussi le footballeur Kylian Mbappé ou l’actrice Josiane Balasko.

    Une publication sur les réseaux sociaux met le feu aux poudres

    Mais une collégienne s’arrête sur une autre image à côté de celle de l’artiste, représentant un chimpanzé. De là à dire que Stéphanie compare Soprano, chanteur noir, originaire de l’archipel des Comores, à un singe, il n’y a qu’un pas, que Kamel, le père de l’élève, va franchir deux mois plus tard en publiant le tableau rapporté par sa fille sur Facebook avec ce commentaire : « Y a rien qui vous choque. Ma fille elle m’a dit papa c pas normal en cours de SVT (…) Éducation nationale de merde. FAITES TOURNE SVP ON DOIS PAS ACCEPTE » (sic).

     

    (…)

    Lors de ce procès, aucun représentant de l’Éducation nationale ne s’est déplacé et l’institution ne s’est pas constituée partie civile comme elle en avait la possibilité.

    « Dans ce genre d’affaire, l’enseignant est pris entre le marteau et l’enclume, analyse Stéphane Colmant, avocat de Stéphanie. Le marteau, ce sont les parents et l’enclume c’est l’Éducation nationale. Il y a un sentiment de déshumanisation de l’enseignant. »

    Contactée, l’académie de Versailles affirme avoir suivi ce dossier « avec beaucoup d’attention », listant cinq mesures prises, comme notamment la mutation de Stéphanie dans une autre région…

    « J’adore mon métier, j’aurais voulu accompagner mes élèves jusqu’au brevet, note Stéphanie. Mais je n’ai plus confiance dans l’institution. Il y a des sujets sensibles en SVT comme la reproduction, la puberté ou l’évolution. Si l’Éducation nationale ne protège pas ses enseignants, je vais devoir m’autocensurer. »

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Trappes, « ville perdue »

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    synthesenationale

    trappes,ville perdue

    Franck Delétraz

    Avec sa population à une écrasante majorité musulmane et ses 70 nationalités, ses mosquées salafistes et ses rues envahies de commerces mahométans, ses quelque 80 départs de djihadistes pour la Syrie et son maire qui ne cache pas ses sympathies pour les « barbus », la réputation de la ville de Trappes (Yvelines), surnommé le « Trappistan » par nos services de renseignements, n’est plus vraiment à faire. Emblématique de ces innombrables enclaves étrangères islamistes qui se constituent sur notre sol depuis des années grâce à l’incroyable lâcheté de nos gouvernements de droite comme de gauche, cette « Molenbeek française » nous donne cependant aujourd’hui, au travers du cauchemar que subit depuis des mois le professeur Didier Lemaire, un avant-goût de plus de ce que sera bientôt notre pays tout entier si les autorités continuent de fermer lâchement les yeux.

    Depuis novembre 2020, en effet, cet enseignant en philosophie, dont il faut saluer ici le courage, ne peut quasiment plus sortir de chez lui, et, lorsqu’il y est contraint, ne peut le faire que sous escorte policière ! Son « crime » ? Avoir osé publier, à la suite de l’égorgement de Samuel Paty par un djihadiste tchétchène, une lettre ouverte pour dénoncer « la menace islamiste dans sa ville » et la responsabilité accablante du gouvernement dans cette très grave et inquiétante dérive. Il faut dire que, après une vingtaine d’années passées dans un lycée ethnique de Trappes, Didier Lemaire sait largement de quoi il parle : témoin privilégié de l’islamisation à marche forcée de sa ville, il a même déjà tenté d’alerter le président en 2018 en lui adressant, avec Jean-Pierre Obin, une lettre pour l’exhorter à agir enfin « pour protéger la jeunesse de l’influence des islamistes ». Et depuis ? Depuis, rien n’a été fait. Au point que, comme le confie aujourd’hui Didier Lemaire, « je considère Trappes comme une ville définitivement perdue. [...] On n’a plus beaucoup de temps avant que cela ne dégénère. Nombre de ces enfants sont élevés dans la haine de la France. Nous ne sommes pas loin d’un scénario à l’algérienne et nous ne sommes plus dans un état de paix. Il nous faut des lois d’exception qui visent l’ennemi et ne s’appliquent qu’à l’ennemi ».

    Un discours de vérité qui lui vaut non seulement d’innombrables menaces de mort, mais aussi de faire l’objet d’une ignoble cabale orchestrée par le maire lui-même, Ali Rabeh, dont l’élection vient d’être annulée par la justice et qui a été condamné à un an d’inéligibilité. En effet, a témoigné l’enseignant, « le maire colporte dans la ville des accusations mensongères et haineuses qui me désignent en tant que cible potentielle ». Or, « c’est un procédé dégueulasse, après ce qui est arrivé à Samuel Paty. Il me jette en pâture et me met en danger ». Et pourtant les autorités ne semblent pas s’inquiéter plus que cela de cette situation.

    En tout cas, il y en a un que l’islamisation de Trappes ne dérange pas et rend même plutôt « enthousiaste » : c’est le père Etienne Guillet, prêtre du diocèse de Versailles depuis 2006, qui expliquait encore récemment avoir « bâti avec les musulmans » de la commune « une belle relation de confiance » et se vantait de tutoyer le maire aux sympathies salafistes pourtant à peine déguisées.

    Source : Présent 9/02/2021

  • Guyancourt, Les Mureaux, Trappes (78) : 3 commissariats des Yvelines attaqués au mortier en 3 nuits

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2019

    Par  le 11/07/2019
    […] Dans la nuit de mercredi à jeudi, à Guyancourt, les policiers sont d’abord intervenus rue des Droits-de-l’Homme à la demande de riverains qui se plaignaient du bruit des pétards à plus d’une heure du matin. La patrouille qui s’est rendue sur place a alors été visée par un mortier tiré dans sa direction, sans toutefois l’atteindre. Les policiers ont pu interpeller un jeune de 19 ans. Moins d’une heure plus tard, le commissariat était ciblé à son tour.

    La nuit précédente, le commissariat de police des Mureaux a été visé par une vingtaine de personnes en possession d’un mortier. Des pompiers ont aussi été attaqués tard mardi soir dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie. Ils étaient initialement appelés pour un incendie de poubelles peu avant minuit dans le secteur des Garennes quand ils ont été pris pour cible par un groupe d’individus.

    A Fontenay-le-Fleury, des feux d’artifice ont aussi été tirés en direction des immeubles de la rue Massenet, peu avant 1 heure du matin. Les forces de l’ordre avaient alors eu recours à un lanceur de balles de défense pour disperser le groupe d’une dizaine de personnes. Lundi, le commissariat de Trappes avait déjà été visé par des plusieurs jets de projectiles, et, déjà, des tirs de mortier, vers 23 heures. Au même moment, une patrouille essuyait deux tirs similaires à Guyancourt. […]

    Le Parisien via fdesouche