GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Suède : Mustafa, 17 ans, viole une fille de 12 ans dans les toilettes publiques. Il est condamné à assister à 10 réunions éducatives sur le genre et les normes

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2020

    Mustafa, originaire de Syrie, a violé une fille de 12 ans dans des toilettes près d’une aire de jeux à Borås. Comme il affirme qu’il n’avait que 17 ans au moment du crime, il évite la prison et l’expulsion. Au lieu de cela, la punition sera une courte période de service jeunesse et de soins aux jeunes avec des réunions sur le « genre et les normes ».

    Mustafa et la fillette avaient été en contact l’un avec l’autre sur Snapchat avant le viol. Selon le jugement, il a déclaré que la rencontre avec la jeune fille avait pour but de « se faire un ami avec qui il pourrait pratiquer le suédois ».

    Le 27 février 2020, ils se sont donné rendez-vous à Annelundsparken, à Borås. Dans une aire de jeux, il l’a emmenée dans des toilettes publiques extérieures et l’a violée.

    « J’ai dit que je ne voulais pas, mais ensuite il m’a attrapée et m’a retenue. Il est beaucoup plus fort que moi et il fait 1,90m, il est vraiment grand, donc je ne pouvais pas m’échapper. J’ai essayé de le repousser et puis il a commencé à arracher mes vêtements et tout ça et j’ai juste dit stop, je ne veux pas, et puis j’ai paniqué et à la fin je ne pouvais pas résister”, a raconté la jeune fille dans l’interrogatoire de police.

    Mustafa a été condamné à des peines de détention pour mineurs et à 150 heures de service jeunesse pour viols d’enfants et harcèlement sexuel. Comme Mustafa affirme qu’il avait 17 ans lorsque le viol a été commis, le tribunal de district de Borås considère que les crimes, compte tenu de son âge au moment de l’acte, ont en fait « une valeur de peine égale à huit mois de prison ».

    Mais, le tribunal de district poursuit :

    « L’avis des services sociaux montre que Mustafa a un besoin particulier de soins et qu’il a accepté le contrat jeunesse comprenant dix réunions proposées par les services sociaux. Dans ce contexte, le tribunal de district estime que la peine la plus appropriée est le système de soins proposé aux jeunes.

    Lors des réunions imposées à Mustafa, il parlera, entre autres, de « genre et de normes », comme Nyheter Idag l’a déjà noté.

    La juge Magdalena Davidsson a signé le jugement.

    Fria Tider via fdesouche

  • Vu sur Tweeter...

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2020

    Compte La jeunesse de Dieu)

    1NN.jpg

    1N.png

     

    Source : lafautearousseau

  • Poissy (78) : deux bus attaqués en représailles à la mort d’un chauffard abattu par les policiers alors qu’il leur fonçait dessus (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2020

    fdesouche

    Yvelines : deux bus tombent dans un guet-apens à Poissy

    21/10/20

    Deux bus ont été assaillis par une bande de jeunes en colère après la mort de leur ami, tué par un policier en état de légitime défense dans la nuit de vendredi à samedi.

    (…) C’est à ce moment-là que les deux bus de la société Transdev assurant la ligne 4 se retrouvent piégés. Ils essuient des tirs de mortier d’artifice et des jets de pierre. Le pare-brise du premier bus est touché. Trois vitres latérales et une portière côté gauche sont brisées sur le second. Plus grave, une dizaine d’émeutiers réussissent à entrer dans le véhicule et l’un d’eux, armé d’une bombe lacrymogène, s’attaque au chauffeur en l’aspergeant.

    www.leparisien.fr

    19/10/20

    Le jeune homme de 28 ans poursuivi pendant 30 km entre Paris et Poissy, tué dans la nuit de vendredi à samedi par un policier en état de légitime défense, roulait sans permis.

    (…) On en sait plus enfin sur les conditions du tir du policier parisien. Selon nos informations, la légitime défense serait indiscutable : Olivio, qui était presque arrivé chez lui, a bien foncé sur le fonctionnaire pour tenter de fuir à nouveau. Le fonctionnaire n’aurait ouvert le feu que pour sauver sa vie. La suite des investigations menées par l’inspection générale de la police nationale (IGPN) permettra de faire toute la lumière sur cette affaire placée sous la direction du Parquet de Versailles.

    Le Parisien

  • Mgr Najeeb, archevêque de Mossoul : “Je suis très inquiet pour la France et pour l’Europe. Partout où la culture et les racines reculent, c’est la civilisation qui est menacée”

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2020

    Dans la nuit du 6 au 7 août 2014, les djihadistes de l’Etat islamique entraient dans Mossoul. C’est alors le début d’un long cauchemar pour les chrétiens de la seconde ville d’Irak. Après avoir vu leurs maisons marquées de la lettre ن, signifant « Nazaréen » en arabe, les chrétiens de Mossoul – environ 10 000 personnes – reçoivent un ultimatum de 24 heures : d’ici là, ils ont le choix entre fuir, se convertir, ou mourir

    […]

    En fuyant la région, vous avez sauvé de précieux manuscrits de la destruction. Pourquoi Daesh s’en est pris avec autant de virulence au patrimoine culturel et spirituel des territoires occupés ?

    La destruction du patrimoine culturel et spirituel n’est pas spécifique à Daesh. C’est un des fondements de l’islam radical qui veut faire table rase du passé antéislamique, considérant comme impie ou inutile tout ce qui a précédé l’instauration de l’islam sur un territoire donné.

    […]

    En Irak et en Syrie, les djihadistes ont systématiquement ravagé le patrimoine historique et tout spécifiquement les objets sacrés. J’ai vu des statues antiques, comme des Taureaux ailés de Ninive et de Nimroud ou des gravures des civilisations Sumérienne ou Babylonienne, complètement détruites. Daesh considère que ce sont des objets d’idolâtrie. Pour les icônes, ils avaient pour habitude de crever les yeux et de percer le coeur des saint représentés, pensant ainsi faire mourir leur présence réelle.

    […]

    Vous avez été invité pour témoigner de votre combat devant le Parlement Européen. Qu’attendez-vous de l’Union européenne ?

    J’essaie de sensibiliser les décideurs européens au drame des chrétiens d’Orient et des minorités persécutées comme les Yézidis et les Mandéens. J’espère que les parlementaires et les membres de l’administration européenne pourront s’emparer de cette grave question et utiliser leurs moyens pour garantir la sécurité et l’épanouissement, dans la paix, des chrétiens d’Orient. J’essaye aussi de leur faire comprendre que l’exil des chrétiens d’Orient n’est pas une solution. Cela signifierait la fin de la présence chrétienne au Proche-Orient, ce qui serait dramatique.

    […]

    Vous parlez de l’importance des racines, de la culture. En France, certains s’attèlent à les détruire ou les remplacer. Cela vous inquiète-t-il ?

    Je suis bien sûr très inquiet pour la France et pour l’Europe. Partout où la culture et les racines reculent, c’est la civilisation qui est menacée. Ceux qui croient obtenir des avancées sociétales en luttant contre l’ordre naturel se font les alliés inconscients de projets totalitaires, dont ils pourraient bien être les premières victimes. L’histoire, ancienne et récente, l’a montré d’une manière cruelle.

    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • C’était un 21 octobre… 1954 : la République abandonne l’Inde française

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2020

    Ce 21 octobre, en Inde, le gouvernement français abandonne ses comptoirs, réunis sous le noms d’Établissements français : Pondichéry, Yanaon, Karikal, Mahé et Chandernagor étaient devenus français en 1763, lors de la signature du traité de Paris.

    Au vu de la toute petite taille des territoires français comparée à l’Inde qui avait acquis son indépendance en 1947, de la pression et des menaces du gouvernement indien, de la trahison de certains Français – souvent communistes ou socialistes -, et en dépit de la vision pro-française de certains territoires, le gouvernement français (le même qui avait lâché l’Indochine aux communistes), abandonnera les comptoirs indiens sans même demander de compensation.

    L’Inde française 1741-1754 :

     

    Source : contre-info