Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.

    L'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.

    La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération — comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité — si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français.

    Dans ses articles 7 à 19, la loi prévoit en effet de transférer en certaines circonstances toute une partie des prérogatives attribuées jusqu'à maintenant aux seules forces nationales de police et de gendarmerie.

    C'est ainsi qu'un préfet pourra confier à des agents privés des missions de surveillance des personnes contre les actes de terrorisme, que le gouvernement sera habilité à prendre des ordonnances dans le domaine de la sécurité privée — autrement dit le droit de décider à sa guise de son emploi — et que les personnels privés pourront être armés. Personnels français ou pas puisqu'il suffira à un ressortissant européen non connu des services de police de pratiquer sans trop de difficultés la langue française pour être homologué, et que ceux venus d'ailleurs devront disposer d'un permis de séjour d'au moins cinq ans. Voilà qui est rassurant...

    Cette loi renforcera également les pouvoirs des polices municipales sous le commandement des maires et de leurs adjoints. On se réjouit à l'avance de l'usage que pourront en faire les édiles rouges-verts et ceux sous influence islamogauchiste élus aux dernières Municipales.

    La France avait jadis une police nationale et une gendarmerie habitées de tradition et de fidélité à l'État. Elle aura bientôt des officines de soudards et des agences de mercenaires.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : 1 personne, assis, costume et intérieur
     
     
     
  • Emmanuel Macron envisage des «mesures restrictives et dissuasives» pour les Français voulant skier à l’étranger à Noël

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Emmanuel Macron envisage des «mesures restrictives et dissuasives» pour les Français voulant skier à l'étranger à Noël

    Le chef de l’État souhaiterait empêcher les Français d’aller skier à l’étranger alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.

    Emmanuel Macron a indiqué ce mardi 1er décembre que le gouvernement envisageait de prendre «des mesures restrictives et dissuasives» pour empêcher les Français d’aller skier à l’étranger, notamment en Suisse, à Noël alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.

    «S’il y a des pays qui maintiennent des stations ouvertes, il y aura des contrôles pour dissuader les Français» et pour «ne pas créer une situation de déséquilibre avec des stations en France», a expliqué le chef de l’État devant la presse après avoir reçu le premier ministre belge Alexander de Croo.

    En Suisse, frappée de plein fouet par la deuxième vague de Covid-19, les autorités et secteurs concernés présentent de leur côté un front uni, après une fin de saison écourtée mi-mars par la première vague. «En Suisse, nous pouvons aller skier, avec des plans de protection», a assuré jeudi dernier le ministre de la Santé, Alain Berset, en soulignant que le gouvernement ré-examinerait la situation avant les fêtes de fin d’année.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Macron ou le monde à l’envers !

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Il paraît que Macron a honte… Il y a de quoi, mais c’est l’image de la France que donne cet élu d’un heureux hasard quelque peu “organisé” qui devrait rendre honteux tous les Français. Le pays, aujourd’hui se résume aux discours prononcés par un histrion narcissique et à une réalité de plus en plus ubuesque, un pays chaotique, une “gouvernance” absurde qu’une immense majorité subit avec calme dans une discipline résignée.

    macron,monde à l'enversA Marseille, la police, Préfet en tête, vérifie le port du masque et la possession d’une attestation autorisant la sortie, ce qu’en d’autres temps on appelait l'”ausweis”. On verbalise les distraits à tour de bras. Dans un quartier connu pour son trafic de drogue, le Préfet est rayonnant : les trafiquants ne sont pas venus avec leur attestation. Ils reviendront plus tard, quand l’opération sera finie. Ce haut-fonctionnaire ne semble pas avoir conscience de l’inversion des priorités et des personnes : le trafic est manifestement une habitude plus ou moins tolérée, le port du masque naguère présenté au sommet de l’Etat comme inutile voire dangereux est une obligation cruciale qui justifie un contrôle sévère et une répression sans faille. Que le premier soit le fait de délinquants, et le second de tous les citoyens, lui échappe totalement, à moins que la difficulté dans un cas et la facilité dans l’autre rassurent un homme dont toute la carrière est fondée sur le principe du “pas de vague”. Quant à l’assignation à résidence de tous les citoyens, sauf ceux qui peuvent transformer leur quartier en poudrière si on s’avisait de les contrôler de trop près, son caractère liberticide est une idée étrangère à un homme heureux de faire respecter la loi à ceux qui ne souhaitent nullement l’enfreindre. Pour les autres c’est plus risqué !

    A Paris, des policiers emportés par leur zèle “masqueur” ont interpellé un récalcitrant qui s’est réfugié dans son local professionnel. Ils ont pénétré, à trois, dans l’immeuble et l’ont roué de coups sous les yeux avides d’une caméra. Un collègue les a rejoints et n’a pas hésité à jeter une grenade à l’intérieur. En matière de bavure, c’est évidemment un sommet. Mais c’est surtout un signe effrayant de l’absurdité dans laquelle est tombé notre pays : quatre policiers en examen et deux en prison. C’est le monde à l’envers, et c’est le résultat “logique” d’un pays qui ne tourne plus rond, que les Allemands ont osé appeler “l’Absurdistan”. Première justification brandie par les policiers : la peur ! Et oui, la peur a changé de camp. A force d’être agressés et molestés quand ils sont en infériorité numérique, de ne pouvoir utiliser leurs armes que de manière exceptionnelle, de se trouver très facilement en proie à des enquêtes de l’IGPN, voire à des poursuites judiciaires menées par des juges qui n’aiment guère la police, les policiers ont peur. C’est ce sentiment, et cette situation qui les privent d’une autorité nécessaire à l’exercice de leur métier. Les images de policiers battant en retraite sous les projectiles de manifestants, ou fuyant en voiture sous les pierres un quartier sensible, celles des commissariats bombardés par des tirs de mortier d’artifice, le souvenir du couple de policiers abattu devant leur enfant par un terroriste islamiste, ont par trop affaibli la sanctuarisation des lieux et des personnes qui sont investis de l’autorité publique. Celle-ci exige la distance nécessaire au respect. Le contact physique abolit cette distance et favorise la suspicion de bavure, et la bavure elle-même. L’emploi des armes, létales contre des incendiaires, ou à impulsion électrique pour les rebelles, l’utilisation systématique des canons à eau devraient limiter au minimum les brutalités qui résultent du contact. La dissuasion jouerait rapidement, en espérant bien sûr que la Justice suive.

    Or, faute du courage de faire respecter la loi et l’ordre par la force systématique, et non la brutalité arbitraire, le pouvoir a tenté de faire passer une loi à nouveau liberticide, interdisant aux journalistes de prendre des images des policiers en action. Ne rien changer aux comportements, mais interdire de les filmer, c’était une facilité grossière que l’exécutif espérait obtenir dans le nuage obsédant du Covid, et grâce à une Assemblée soumise. Non seulement la tentative n’est pas passée inaperçue, mais elle s’est transformée en boomerang. On touchait une nouvelle fois à la liberté de la presse, et ceci dans un pays dont le président joue au donneur de leçon à l’encontre des “illibéraux”. Pris la main dans le sac, le gouvernement a voulu s’en tirer en faisant réécrire l’article le plus litigieux du texte par une “commission indépendante” ! A force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux. A nouveau, le monde à l’envers ! Là-dessus, vint la bavure : des policiers devant une caméra se sont acharnés sur un producteur noir. Tous les ingrédients étaient réunis pour un scandale à l’américaine : le racisme supposé, la profession médiatique de la victime, et devant une caméra qui fournit le meilleur argument contre l’article 24 de la loi sur la Sécurité Globale ! Du coup les manifestations ont fait un tabac, et comme d’habitude des incidents en fin de journée avec des policiers fuyant sous les projectiles, une image obsédante du macronisme de plus en plus difficile à récupérer pour s’ériger en défenseur de l’ordre républicain.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • LES BONIMENTEURS EN ACTION

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 01, 2020, 10:42

    bonimenteurs,film de série b

    Nous vivons une période étrange, donnant par­fois l’impression d’être entrés par effraction dans un film de série B.

    Dont l’objectif n’est pas vraiment que l’histoire soit vraie, ni même vraisemblable, mais simplement qu’elle soit palpitante et que le spectateur en redemande.

    Pour le moment, le «scénario» mêle deux histoires: la crise sanitaire, feuilleton admirablement anxiogène que nous avons été forcés de suivre pendant des mois, mais qui semble un peu marquer le pas ces derniers temps; et la question des violences policières.

    Car, dans le monde médiatique, dès qu’une actualité séduit moins l’audimat, on passe à une autre – et, alors, bon courage pour trouver de nouvelles informations sur la première!

    Dorénavant donc, la prestation quotidienne du croque-mort en chef ne fait plus recette. Nous passons donc à autre chose et, comme le spectateur aime se faire peur, nous en «prenons plein les mirettes » sur les violences policières.

    Le panurgisme des journalistes et le manque d’esprit critique du public font le reste.

    Désormais le principal problème de la France est devenu les violences policières – et particulièrement, bien sûr, le racisme policier.

    Mais réfléchissons. Il arrive tous les jours que des patrouilles de policiers se laissent caillasser, sinon pire, dans les quartiers abandonnés à la charia et aux caïds. Pour une seule raison : la peur de la bavure.

    Comment imaginer, dès lors, que la police compte des sauvages qui se jettent sur un homme qui ne leur aurait rien fait en lui criant «sale nègre», comme la doxa médiatique prétend que s’est passée l’interpellation du producteur de rap Michel Zecler.

    J’ignore ce qui s’est passé. Mais le scénario médiatique est parfaitement invraisemblable.

    D’autant qu’il tombe à point nommé, après un «teasing» sur l’évacuation «musclée» d’un camp de «migrants» (dont je rappelle au passage qu’ils n’ont pas le droit d’être en France et qu’il est très étrange qu’on les  évacue» sans les reconduire à la frontière). Après la séquence sur Emmanuel Macron, protecteur des Français contre le covid, voici la séquence: l’extrême gauche nous protège des violences policières.

    Mais ne trouvez-vous pas curieux que des gens qui revendiquent l’utilisation de la violence politique dénoncent si fort la violence policière – du moins quand elle frappe les «antifas» car je ne les ai pas entendu protester devant le gazage de manifestants pacifiques contre la loi Taubira?

    Et ne trouvez-vous pas étrange que la manifestation de samedi ait réuni 45 000 personnes selon la police, alors que les rassemblements de plus de 1 000 personnes sont interdits?

    J’ignore dans quelle pièce «on» nous fait jouer, mais il y a une chose dont je suis bien certain : les médias dominants nous prennent pour des imbéciles!

     

    Source : les4verites

  • Confinement à Bruxelles : un député européen et des diplomates dans une orgie sexuelle interrompue par la police

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Auteur : 

    Belgique – Vendredi soir, la police est intervenue rue des Pierres, dans un immeuble du centre de Bruxelles. La police intervient régulièrement ces jours-ci pour mettre fin à des fêtes en appartements, désormais interdites au nom du confinement imposé sous prétexte de lutte contre l’épidémie de Covid-19. Mais la fête interrompue par la police était cette fois d’un genre particulier : il s’agissait d’une orgie sexuelle avec alcool et stupéfiants.

    Vingt-cinq personnes participaient à cette soirée de débauche. A l’arrivée de la police, l’un des participants a tenté de s’échapper par la corniche mais s’est blessé et a été rattrapé par les policiers. Et là, surprise : l’individu était un député européen qui a tenté de faire jouer son immunité parlementaire.

    Parmi les autres participants à cette orgie sexuelle se trouvaient plusieurs diplomates. Le ministère des Affaires étrangères de Belgique a donc été appelé en pleine nuit.

    L’affaire a été confirmée par la porte-parole du Parquet de Bruxelles. Sans toutefois qu’elle accepte de donner des précisions sur le député européen et les diplomates en question.

     

    Source : medias-presse.info