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  • Lagorce (33) : Mourad, clandestin marocain, jugé pour avoir tué sa compagne Michèle à coups de marteau. Il voulait l’épouser pour obtenir des papiers. Elle a refusé

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Mourad Fatah, Marocain de 33 ans, est jugé depuis le 1er mars 2021 par la cour d’assises de la Gironde pour meurtre sur conjoint. Le 24 avril 2017, vers 17 h 30, le corps sans vie de Michèle Jaeckel, 38 ans, était retrouvé à son domicile de Lagorce (Gironde).

    La victime avait été tuée à coups de marteau, emprunté le matin-même à une voisine. Le bas de son jogging était baissé jusqu’aux mollets et son t-shirt remonté au-dessus de sa poitrine. Venu clandestinement du Maroc après avoir “rencontré” la trentenaire sur internet, Mourad Fatah était pourtant censé épouser Michèle Jaeckel. Mariage blanc pour l’obtention de papiers dont elle n’aurait finalement plus voulu. Récemment installée en Gironde, la victime était une ancienne voisine à Albertville (Savoie) de la soeur de l’accusé.

    « L’intention homicide est non équivoque »

    Pour l’accusation, « l’intention homicide est non équivoque ». Le médecin légiste comptera 42 plaies et lésions au crâne, à l’abdomen et sur les parties génitales. Le corps gisait dans une mare de sang. La mère de la victime, elle aussi frappée, bousculée et déshabillée, a assisté au meurtre de sa fille.

    (…) Sud Ouest via fdesouche

  • Le personnel d’un supermarché canadien menotte un client qui refuse de porter le masque

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Canada – Le personnel d’un magasin Canadian Tire a mis au sol et a menotté un homme qui refusait de porter un masque. Les faits datent de la semaine dernière et soulignent à nouveau l’usage apparent d’une force excessive pour imposer le port du masque obligatoire au Canada.

    Une vidéo de l’épreuve a été publiée sur Twitter par un utilisateur nommé Dan Dicks. La séquence montre l’homme sans masque appréhendé par cinq employés de Canadian Tire à Burnaby. Ils ont eu du mal à maîtriser l’homme.

     

    L’homme crie et se débat pendant que plusieurs membres du personnel du magasin essayent de le maîtriser.

    L’un des employés du magasin pratique un étranglement sur le client récalcitrant alors qu’il est déjà mis à genoux. C’est à ce stade de la vidéo que l’homme résiste fortement en criant : «Lâchez-moi les mains».

    Ce client accuse le personnel de l’avoir agressé, disant : «Vous n’êtes pas la police», ce à quoi un membre du personnel répond : «Cela n’a pas d’importance».

    Le client est plaqué au sol pour être menotté, et crie toujours : «Lâchez-moi les mains», «Vous me faites mal».

    La police est finalement arrivée au magasin et a mis l’homme en garde à vue, où il a fait l’objet d’une enquête pour voies de fait. Selon un rapport de CTV sur l’incident, la police de Burnaby a déclaré qu’elle enquêtait actuellement sur plusieurs vidéos de l’incident qui a eu lieu le lundi 22 février.

    La porte-parole des magasins Canadian Tire, Cathy Kurzbock, a publié une brève déclaration au sujet de l’incident, affirmant que «l’affaire fait l’objet d’une enquête et nous travaillons avec la police pour examiner l’ensemble des circonstances».

    Selon un rapport de Press For Truth, les médias du système ont lancé une «campagne de dénigrement» contre l’homme, qu’ils ont identifié comme étant Chris Ivany.

    La province de la Colombie-Britannique oblige le port du masque depuis le 19 novembre, mais des exemptions existent pour ceux qui ne peuvent pas en porter, comme ceux qui ont un problème de santé ou un problème mental, physique, psychologique ou comportemental.

    Selon Press For Truth, Ivany a été contactée par le député provincial indépendant de l’Ontario Randy Hillier et est à la recherche d’un avocat.

    Le député Randy Hillier a fustigé l’incident sur Twitter la semaine dernière. “BLOODY scandaleux! Comment s’est passée votre expérience de magasin chez Canadian Tire. Avez-vous été agressé, plaqué et menotté ? J’achète dans des entreprises qui traitent les gens avec respect. Les entreprises qui traitent les gens comme ça méritent de devenir plus petites et non plus grandes »

    L’incident de Canadian Tire de la semaine dernière est l’un des nombreux incidents rapportés concernant des refus de port de masque au Canada suivis d’un comportement agressif de la part du personnel du magasin et des agents de sécurité à l’encontre de personnes ne portant pas de masque.

    En décembre 2020, une athlète paralympique à quatre reprises née sans mains a été expulsée d’une librairie de Vancouver pour ne pas porter de masque, alors qu’elle est physiquement incapable de s’en enfiler sans aide.

     

    Source : medias-presse.info

  • Une entreprise israélienne refuse l’accès à l’entreprise au personnel non-vacciné

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Auteur : 

    Israël – Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, interdira aux employés qui refusent la vaccination contre le coronavirus de travailler sur place, a déclaré le PDG Amnon Shashua.

    Dans une lettre interne divulguée à la presse israélienne, Shashua a révélé que Mobileye s’attend à ce qu’environ 10% des travailleurs refusent le vaccin COVID-19, rapporté mercredi le Jerusalem Post.

    L’entreprise interdira à ces employés de travailler dans les bâtiments de l’entreprise, bien que certains jugés indispensables puissent être autorisés à revenir s’ils présentent des résultats négatifs au test COVID-19, indique la lettre. L’exigence de dépistage s’appliquerait aux travailleurs qui avaient déjà le virus.

    «Je suis fier que 90% des employés de @Mobileye soient déjà totalement ou partiellement vaccinés. Nous allons «passer au vert» la première semaine d’avril avec seulement des employés vaccinés qui viennent au bureau », a tweeté Shashua la semaine dernière.

    Mobileye, qui emploie environ 1.500 travailleurs à Jérusalem, est la première grande entreprise israélienne à annoncer une exigence de vaccination, selon le Jerusalem Post. Bien qu’aucune loi en Israël n’autorise les employeurs à exiger la vaccination contre le COVID-19, les hauts responsables auraient examiné une nouvelle législation pour changer cela.

    «Il est possible que les enseignants qui refusent de se faire vacciner aient à payer de leur poche des tests privés toutes les 48 heures», a-t-il ajouté. «Je ne vais renvoyer personne, mais si quelqu’un n’est pas vacciné, c’est son problème.»

    Israël a déployé des mesures COVID-19 particulièrement dures, y compris plusieurs confinements à l’échelle nationale et des interdictions de voyager à l’étranger. La semaine dernière, le pays a promulgué une loi permettant au gouvernement de partager des informations personnelles sur les personnes qui refusent le vaccin anti-COVID-19 et a restreint la réouverture économique à ceux qui ont un «laissez-passer vert» pour la vaccination.

    Divers experts de la santé ont dénoncé les tentatives de contraindre les gens à recevoir ces vaccins.

    «Les vaccinations expérimentales doivent toujours être une décision éclairée entre un médecin et son patient qui prend en considération une pluralité de facteurs de risque, y compris l’âge du patient, les comorbidités et les risques d’exposition», a déclaré le Dr Simone Gold, fondateur de America’s Frontline Doctors.

    Les entreprises américaines sont généralement autorisées à exiger des vaccinations, ce qui a entraîné de multiples licenciements récents.

    Environ 56% seulement des adultes qui travaillent aux États-Unis sont prêts à se faire vacciner, et des chiffres encore plus bas ont été rapportés dans d’autres pays, selon les sondages. Les minorités raciales se sont constamment avérées particulièrement réticentes à accepter le vaccin COVID-19, ce qui soulève des préoccupations supplémentaires concernant la légalité des exigences de vaccination.

     

    Source : medias-presse.info

  • Etre « Français »… ou être « Autochtone » ?

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Voilà maintenant presque dix ans que nous préconisons dans des sites, dans ce blog, dans des revues et même dans un livre (La Nation Frankenstein, 2013, épuisé), l’utilisation systématique des mots « autochtone » et « allochtone ». Ces notions, qui au début des années 2010 étaient encore peu employées, sont maintenant d’usage courant dans le monde réfractaire. Pour nous persuader que notre travail n’a pas été complètement inutile (et même si certaines idées sont dans l’air avant de se concrétiser soudainement, sans que l’on sache exactement à travers quels mécanismes), nous voulons bien, immodestement, nous attribuer en partie le mérite de cette évolution.

    Ceci dit, après avoir cherché quelque vertu à notre travail, il nous faut dire maintenant que cette évolution sémantique, bien que fondamentale, n’est à ce stade pas suffisante. Il est nécessaire que les réfractaires aillent au bout de la logique qu’elle sous-tend et qui ouvre sur des perspectives stratégiques aussi radicales que révolutionnaires.

    En effet, pourquoi privilégier les mots « Autochtone » et « allochtone » plutôt que les mots « Français » et « étranger » ? Il y a plusieurs raisons à cela. La première, évidemment, est que le mot « Français » nous a été volé (comme notre pays) avant d’être distribué au monde entier. Tout le monde étant ou pouvant potentiellement devenir « Français », le mot « Français » ne signifie plus grand-chose aujourd’hui.

    La fraude sémantique dont nous parlons, car il s’agit bien d’une fraude sémantique, n’est pas sans conséquences sur la perception des réalités ethniques dans notre pays. Si, par exemple, vous parlez « Grand Remplacement » on rétorquera invariablement que le Grand Remplacement est un « fantasme » car, vous dira-t-on, « il n’y a aujourd’hui pas plus d’étrangers en France qu’en 1930 ». Autrement dit, il y a autant de Français qu’autrefois (et même, en vérité, beaucoup plus qu’autrefois !). Cela est juridiquement vrai et l’on sait tous pourquoi : la francité étant ramenée à une simple affaire administrative (un coup de tampon sur un morceau de papier), tous les immigrés d’hier (pas encore ceux d’aujourd’hui, mais cela ne saurait tarder), ont pu, par le miracle de la naturalisation, devenir de vrais « Français ». Répétons-le : juridiquement et administrativement, du point de vue du régime et du coup de tampon, ces Français de Préfecture sont véritablement « Français » ! A partir de là, que veut-on dire quand on emploie le mot « Français » ? Voyons les choses en face : le régime a dénaturé notre nom ! Il l’a empoisonné, et les Autochtones ne peuvent plus l’utiliser pour se caractériser spécifiquement et manifester ainsi qu’ils existent de manière distincte. Un nom qui renvoie à un melting-pot renvoie à l’universel et ne saurait désigner le particulier. Bref, le nom « Français » marque un rattachement à une administration d’Etat. Il n’exprime plus comme autrefois une ethnicité, une culture, une religion, un art de vivre, ni même une appartenance à une « nation » historique, charnelle et spirituelle. Il ne signifie plus rien car il a été vidé de sa substance identitaire.

    Le fait de remplacer les mots « Français » et « étranger » par les mots « Autochtone » et « allochtone » éclaire brutalement les réalités, notamment celle d’un Grand Remplacement que les sophismes juridico-administratifs ne peuvent alors plus nier. N’importe qui peut observer la rue, ou des photos de classe prises à 30 ans d’intervalle : il y verra de moins en moins d’Autochtones européens et de plus en plus d’allochtones (mais sans doute autant de « Français » !).

    A la nécessité de corriger la fraude des mots pour rendre compte objectivement des réalités, il y a une seconde raison à notre emploi du mot « Autochtone » (avec une majuscule, puisque dans notre esprit le mot renvoie à une appartenance nationale). Tout simplement et pour faire court, notre autochtonie, en tant qu’Européens, est un état de fait ! C’est en effet un truisme que d’affirmer que les peuples européens sont les peuples autochtones d’Europe. Tous les autochtones européens sont originaires par voie ancestrale du même espace géographique et civilisationnel européen, dont la France est une partie. L’autochtonie européenne pose, désigne, définit et détermine la nature des autochtones européens, indissolublement liés à une terre et à une civilisation, comme l’autochtonie mélanésienne pose, désigne, définit et détermine la nature des autochtones néo-calédoniens. Renier notre autochtonie revient à renier les liens qui nous rattachent à nos ancêtres et à notre terre, à la terre de nos pères, à notre patrie. Affirmer notre autochtonie revient à se réapproprier la terre et aussi le sang.

    Se ressourcer à travers l’autochtonie est une nécessité, d’autant plus que l’autochtonie nous ouvre d’importants horizons stratégiques et légaux. Nous en venons ici à la troisième raison d’être de ce vocabulaire autochtoniste.

    On l’a dit, les peuples européens sont les peuples autochtones du continent européen. Or, dans le droit international, être autochtone d’un lieu donne des droits dans ce lieu. La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (2007) reconnaît une prééminence culturelle, sociale, religieuse, juridique, voire politique et économique aux peuples autochtones sur leurs terres ancestrales. La loi organique 99-209 relative à la Nouvelle-Calédonie reconnaît ainsi le peuple autochtone mélanésien et lui accorde des droits particuliers sur ses terres.

    Voit-on où nous voulons en venir ?

    Le mot « Autochtone » lorsqu’il renvoie aux Français de souche européenne ne peut pas être un mot en l’air ou un simple mot de substitution. Il faut peser tout son poids politique, métapolitique, idéologique et aussi juridique. Car ce mot renvoie à l’autochtonie, et l’autochtonie, dans les conventions internationales, implique des droits. Autrement dit, nommer « Autochtones » les Français de souche européenne n’est pas neutre. Cela revient à exiger implicitement qu’on leur accorde les droits contenus dans la Déclaration onusienne. Des droits qui obligent à les reconnaitre en tant que peuple spécifique et distincte du corps d’associés multiethnique (la République). Des droits qui obligent la République à accorder à ce peuple le droit de disposer de lui-même sur ses terres ancestrales. Voit-on bien la portée révolutionnaire du concept ?

    Se servir des mots « Autochtone » et « allochtone » pour mieux révéler le Grand Remplacement ou pour distinguer les FDS dans le melting-pot est donc très bien mais n’est pas suffisant. C’est rester à la surface des mots, c’est ne pas utiliser leurs potentialités explosives. Les mots sont des armes. Les mots autochtonistes ne sont pas simplement des manières plus justes de dire les choses : ils portent en eux une stratégie de reconquête et de libération. Ceux qui les emploient, et c’est très bien, doivent comprendre qu’ils portent à leur tour cette stratégie. Et ceux qui les entendent doivent maintenant entendre la clameur d’un peuple qui se réveille.

     

    Antonin Campana

     

    Source : leblogalupus

  • Toulouse : quatre “jeunes des banlieues” jugés pour le viol collectif de Manon, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux, «tous ceux qui ont participé au viol ne sont pas dans le box»

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    Toulouse : Quatre hommes jugés après le viol collectif d’une femme, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux

    […]

    Ses quatre violeurs présumés sont jugés à partir de ce lundi par la Cour criminelle de la Haute-Garonne. Immédiatement après les faits, ces jeunes des banlieues de la Ville rose, âgés de 19 à 25 ans, avaient fui en Espagne ou au Maroc

    […]

    « Elle a du mal à se souvenir comment elle se retrouve sur le parking. Ensuite, son refus est clair, on voit sur les images qu’elle est tirée par les cheveux, portée à bout de bras, maintenue pendant l’acte », poursuit son avocate.

    De leur côté, les accusés minimisent leur participation à l’agression, nient l’avoir violée ou affirment que les relations sexuelles étaient consenties.

    […]

    L’article dans son intégralité sur 20 Minutes