Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020
Un point rouge sur la carte = une des 20 808 villes d’Europe dont le nom contient le mot « saint ». Les racines chrétiennes de notre continent sautent aux yeux.
Source : contre-info
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Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020
Un point rouge sur la carte = une des 20 808 villes d’Europe dont le nom contient le mot « saint ». Les racines chrétiennes de notre continent sautent aux yeux.
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020
Voici encore une conséquence néfaste de cette immigration incontrôlée et encouragée par des sociétés occidentales trop généreuses. Inutile d’attendre des féministes une réaction suite à la lecture de cet article du New-York Times traduit par le site Fdesouche : :
Les femmes choquent leurs villages traditionnels d’Afrique de l’Ouest en gagnant de l’argent et en gérant de grands ménages pendant que leurs maris sont en Europe à la recherche d’un emploi (…)
Dans toute l’Afrique de l’Ouest, les villages ont été vidés de leurs maris et de leurs fils dans la fleur de l’âge qui étaient partis en Europe pour chercher du travail et ne sont jamais revenus. Les femmes, se rendant compte qu’elles ne verraient peut-être jamais l’argent que leurs hommes leur avaient promis d’envoyer chez elles, ont progressivement assumé ce qui est considéré comme un rôle d’homme, en gagnant de l’argent et en dirigeant de vastes ménages composés de beaux-parents et d’autres membres de la famille élargie (…)
Le Sénégal est l’un des pays les plus touchés par le phénomène des hommes disparus. Les Sénégalais ont été parmi les 10 premières nationalités à débarquer en Italie lors d’un pic de migration au milieu de la décennie.
On peut ajouter que la fuite des capitaux de la France vers l’Afrique (19 milliards par an) est une autre conséquence fâcheuse pour l’économie française avec pour corolaire la fuite des cerveaux de l’Afrique vers l’Europe, tout aussi dramatique :
Alors que la crise migratoire continue en Europe, l’argent que les migrants déjà installés en Occident renvoient vers leurs pays d’origine continue de progresser. Selon la Banque mondiale, les fonds envoyés par les migrants économiques vers les pays à revenus faibles ou moyens ont atteint 466 milliards de dollars l’année dernière. Le total de ces transferts a été multiplié par six depuis 2000, et atteint désormais trois fois le montant total de l’aide publique au développement, c’est à dire du financement de la part des États (…)
Mais le pays qui reçoit les fonds a vu partir un citoyen au «potentiel économique» souvent au-dessus de la moyenne. La migration n’est pas, contrairement aux apparences, majoritairement le fait des plus pauvres; ceux-là ne peuvent financer le départ vers les pays occidentaux. Si, pour Serge Michailof, «cela permet la constitution de réseaux de diasporas dans le monde entier» et constitue une force pour l’Afrique dans la mondialisation, cela peut aussi «avoir des conséquences dramatiques, lorsque par exemple tout le personnel médical se retrouve à l’étranger (…)
Certains secteurs dans les pays en développement pâtissent donc largement de ces mobilités, et les pays occidentaux ne cachent pas leur appétit pour des professionnels formés, moins chers et plus disponibles. La santé est la grande perdante de ces migrations à forte valeur ajoutée. Dans les hôpitaux français, des médecins étrangers «faisant fonction d’interne» sont embauchés par centaines, sans compter les médecins venus s’installer en cabinets libéraux. Et selon une étude de la revue médicale The Lancet, en 2004, seuls 50 des 600 médecins formés en Zambie depuis 1964 n’avaient pas quitté le pays (…)
Avec 19 milliards d’euros envoyés chaque année sur 2300 milliards d’euros de PIB, les transferts d’argent constituent moins d’1% de la richesse française (…) 100000 Maliens installés en France envoient 180 millions d’euros au Mali chaque année, soit en moyenne 150 euros par mois.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020
Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2020
C’est la 3ème alerte terroriste (Metz et Villejuif auparavant) depuis qu’une vidéo de l’Etat Islamique diffusée le 1er janvier, appelle les musulmans à tuer les non-musulmans sur notre sol.
Trouvé sur Le Point : « Depuis la diffusion le 1er janvier sur Twitter d’une vidéo de propagande en français d’un djihadiste de l’État islamique montrant comment attaquer les « mécréants » en France avec une « simple lame » quand on ne peut pas faire le « djihad » en Syrie, les attaques au couteau semblent se multiplier. Si à Villejuif et à Metz, les deux actions peuvent être reliées à la fois à l’islamisme radical et à l’état psychiatrique des mis en cause neutralisés par la police, il est encore trop tôt pour qualifier la femme de 37 ans vêtue d’un niqab qui a été interpellée ce dimanche en début de soirée gare d’Austerlitz avec un couteau d’une lame de 15 centimètres et un coran dans une sacoche ouverte. »
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2020
Les gauchistes bouffeurs de curés, pourfendeurs de l’ordre et des traditions, étaient les hérauts de la cause progressiste de la fin du XXème siècle.
Comme la Révolution mange ses enfants, le Progrès rattrape toujours les retardataires. Il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne, et désormais, les journalistes libertaires sont sous le feu croisé des progressistes bon teint et des associations islamico-indigénistes.
S’il y a beaucoup de vrai dans les geignements de Riss et de sa rédaction, nous pouvons savourer le retournement de situation, sans oublier que les véritables cocus du siècle, sont les Français.
Trouvé sur France Info : « Hier, on disait merde à Dieu, à l’armée, à l’Église, à l’État. Aujourd’hui, il faut apprendre à dire merde aux associations tyranniques, aux minorités nombrilistes, aux blogueurs et blogueuses qui nous tapent sur les doigts comme des petits maîtres d’école« , écrit Riss, le directeur de la rédaction, dans son éditorial.
Cinq ans après l’attentat ayant décimé sa rédaction, dans un numéro anniversaire à paraître mardi, Charlie Hebdo fustige les « nouveaux gourous de la pensée formatée » et ouvre ses colonnes aux proches des victimes.
« Aujourd’hui, le politiquement correct nous impose des orthographes genrées, nous déconseille d’employer des mots supposés dérangeants (…) », Riss, fustigeant les « nouveaux censeurs » qui « se croient les rois du monde derrière le clavier de leur smartphone« . « Les flammes de l’enfer d’autrefois ont laissé la place aux tweets délateurs de maintenant« , assène-t-il. »
Source : contre-info