Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020
Laurent / ProjetKO
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Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020
Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020
Auteur : Pierre-Alain Depauw
OREO s’associe au lobby LGBT pour lancer des cookies arc-en-ciel en édition limitée. Les cookies arc-en-ciel OREO ne sont pas disponibles dans les magasins et ne peuvent être obtenus qu’en partageant une photo sur Twitter ou Instagram démontrant être “allié” au mouvement homosexuel à l’aide des hashtags #proudparent et #giveaway.
Pour ce projet de propagande LGBT, OREO est partenaire de PFLAG.
PFLAG a vu le jour au début des années ’70 quand une mère marchait avec son fils dans ce que certains considèrent comme la première gay pride, Christopher Street à New York. A l’origine, il s’agissait de créer une organisation de parents qui soutiennent l’homosexualité de leurs enfants. PFLAG signifie «Parents and Friends of Lesbians and Gays».
Le site Web faisant la promotion des cookies arc-en-ciel OREO déclare que «depuis plus de 100 ans, OREO rassemble les familles».
«C’est pourquoi nous avons lancé un partenariat avec PFLAG, la plus ancienne organisation alliée LGBTQ + du pays, pour créer #ProudParent, une initiative d’un an conçue pour mettre en lumière le puissant impact que l’amour et l’acceptation peuvent avoir sur les jeunes LGBTQ +», poursuit-il.
Autant savoir quels biscuits ne pas acheter…
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020
L’Union Européenne a quelques ennemis : non les clandestins et autres déconstructeurs arc-en-ciel de l’identité européenne mais les rares pays qui s’opposent à cet agenda mondialiste que les technocrates bruxellois ont mission d’imposer du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est. Au moyen du rouleau compresseur des sanctions économiques, des diabolisations médiatiques, des punitions juridiques…
La Hongrie, et son Premier ministre Viktor Orban, sont les bêtes noires à abattre pour l’UE. Vera Jurova, la vice-présidente de la Commission européenne et chargée du respect des valeurs de l’Union européenne et de la transparence, nommée à ce poste par l’actuelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en est le bras armé. Récemment, en septembre, madame Jurova n’avait pas hésité a expliqué au Der Spiegel que Orban et son « allergie aux principes démocratiques » était le vrai problème de l’Europe. « En Europe, avait ajouté cette activiste des droits Lgbt et de l’idéologie du genre, il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie. »
Dans la bataille juridique qui oppose Orban au milliardaire juif d’origine hongroise Georges Soros et à son Université d’Europe centrale que la Hongrie veut fermer, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) vient de donner, mais cela ne peut guère étonner que les naïfs impénitents, raison à Soros. Les juges européens ont jugé, dans un arrêt du 6 octobre, que la loi hongroise soumettant l’installation des universités étrangères à des exigences nouvelles contrevenait aux engagements internationaux de la Hongrie visant à garantir la liberté académique et la libre entreprise.
Décision à laquelle Viktor Orban a déclaré se soumettre, « Nous mettons toujours en œuvre les arrêts de la Cour européenne – que nous les considérions comme justes ou faux, professionnellement valables ou malsains, intelligents ou peut-être absurdes, » avant d’ajouter : «
« Cela ne posera pas beaucoup de difficultés, estime-t-il, car il existe un certain nombre de solutions juridiques qui satisferont la décision de la Cour européenne – même si nous avons besoin de réponses à certaines questions qui n’ont pas encore été clarifiées. Cela signifie que le dialogue se poursuivra. »
Mais si dans un premier temps le Premier ministre hongrois a semblé faire profil bas face à cette UE qui veut imposer sa vision du « respect de l’Etat de droit » qui oblige sous couvert de promouvoir la liberté de la presse, l’indépendance de la justice, l’équilibre des pouvoirs, à l’acceptation de l’agenda arc-en-ciel, ce n’était que pour mieux rebondir et attaquer frontalement, un jour après la décision de la CJUE, tant Bruxelles que Vera Jurova, la vice-présidente de la Commission européenne et chargée du respect des valeurs de l’Union européenne :
« Vera Jourova est la représentante de George Soros.
« Le fait que Mme Jourova soit une obligée de George Soros – ou, pour le dire encore plus fortement, qu’il la fasse manger dans la paume de sa main – est quelque chose que tout le monde sait et que nous savons depuis le début. Vera Jourova est donc la représentante de George Soros à la Commission européenne. Elle ne représente pas la Tchéquie ; elle ne représente pas les Tchèques ; elle ne représente pas les Européens et elle ne représente même pas la Commission. Elle représente George Soros. Telle est la situation ; c’est la politique européenne. On ne doit pas être offensé, mais on ne doit pas non plus rester silencieux à ce sujet. »
« Elle [Vera Jourova, NDLR] a franchi une ligne rouge, affirmait-il le 4 octobre sur radio Kossuth. Un dirigeant de l’Union européenne ne doit pas parler de manière irrespectueuse des citoyens de tout État membre de l’UE, y compris les Hongrois. Si elle avait dit la même chose à propos de la France ou de l’Allemagne, elle aurait été licenciée sur-le-champ. La seule raison pour laquelle elle n’a pas été licenciée est que cela peut être fait pour les petits pays et les Hongrois. Mais nous ne devons pas accepter cela. Nous voulons un traitement égal. De même que les Allemands ou les Français ne peuvent pas être insultés impunément, nous ne devrions pas non plus l’être. Nous ne devrions pas avoir à supporter plus qu’ils ne le font simplement parce qu’ils sont plus grands que nous. »
Orban n’a pas hésité non plus à s’en prendre à Bruxelles qu’il compare à une force supplétive de la gauche européenne qui se donnerait pour mission de renverser les gouvernements de droite :
« C’était une aide internationaliste lorsque les troupes russes – pardonnez-moi, les troupes soviétiques – ont été dirigées ici pour défendre les communistes, explique-t-il. Aujourd’hui, la situation est la même : la gauche hongroise est faible et le peuple est plus contre elle qu’avec lui – et lui-même est contre le peuple, mais c’est une autre affaire. À ce moment-là, des troupes internationales sont déployées et une assistance internationaliste est fournie afin d’aider la gauche à entrer au gouvernement. C’est cela que visent les attaques contre la Hongrie. »
En parlant ainsi, aussi fermement et sans fioriture, Viktor Orban sait être en phase avec une majorité de Hongrois qui ne veulent pas de la vision idéologique de gauche et mondialiste de l’Union Européenne. Si Orban a perdu une bataille face à l’UE, il a gagné une victoire en Hongrie…
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020
Un homme de 25 ans a été interpellé et a avoué le meurtre de Victorine Dartois, 18 ans, dont le corps sans vie avait été retrouvé dans une commune de l’Isère, fin septembre.
Mercredi matin, il a été transporté par les enquêteurs sur les lieux de la disparition de la jeune femme, près du stade de Villefontaine, pendant près d’1h30, le temps de vérifier certains éléments de ses déclarations. Cet homme est un chauffeur-livreur de 25 ans, jeune père de famille, père d’un garçon de moins d’un an. Il vivait avec sa femme, non loin de chez Victorine, à 800 mètres à vol d’oiseau.
Une voisine de l’appartement où vit le suspect, témoigne :
“C’est quelqu’un de très tranquille, très gentil, qui me disait bonjour quand il me voyait. Jamais de regard ou de geste déplacé”. “Il aurait pu s’en prendre à moi, à ma fille, à ma cousine… Franchement, c’est traumatisant. “
Sic. Cet homme était déjà connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, vol et outrage. Et ce sont les hommes du GIGN qui ont procédé à son interpellation hier. Il est décrit comme un « petit délinquant local » par une source proche de l’enquête.
Les enquêteurs disposaient d’un ADN partiel retrouvé sur les vêtements de Victorine. Ludovic Bertin a avoué avoir participé au meurtre de Victorine Dartois. Le rapport d’autopsie a évoqué « une mort par noyade avec intervention d’un tiers en raison de multiples ecchymoses internes retrouvées sur le corps de la victime ».
Source : lesalonbeige
Publié Par Guy Jovelin le 14 octobre 2020
Une fois de plus, les moyens de l’État ont été détournés pour persécuter l’humoriste Dieudonné.
Samedi soir, alors que l’artiste était en représentation à Favières (54) dans une ancienne scierie, les gendarmes sont intervenus pour interrompre le spectacle à la demande d’élus locaux.
La directrice du cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle a déclaré qu’elle cherchait sur quelles bases légales elle allait pouvoir verbaliser l’humoriste, l’accusant d’avoir utilisé un lieu non adapté pour un spectacle et de ne pas avoir fait respecter les gestes barrières à son public.
Cependant, la seule chose à accuser dans toute cette affaire, c’est la dictature du politiquement correct qui oblige un artiste à se produire de manière clandestine car son humour ne plaît pas au gouvernement. Avant de jouer dans cette scierie, Dieudonné a déjà joué, par exemple, dans un champ ou encore dans un bus, alors que son public est assez nombreux, et de loin, pour remplir n’importe quelle salle de spectacle.
Priver Dieudonné de salles de spectacle l’oblige à fonctionner « hors cadre », comme s’en plaint la directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle. Si les autorités veulent réellement remédier à cette situation, ils doivent cesser de condamner Dieudonné à la clandestinité.
Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France