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  • Incertitudes sanitaires et certitudes d’un effondrement à venir

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2020

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    Marc Rousset

    L’activité économique en Europe va être frappée par les restrictions sanitaires, suite aux 100.000 nouvelles contaminations par jour. La reprise s’essouffle et de nouvelles dépenses publiques sont nécessaires. « L’ascension de la reprise sera probablement longue, inégale et incertaine », selon l’économiste en chef du FMI Gita Gopinath. Les banques centrales veulent un peu d’inflation pour abaisser le poids de l’endettement et relancer l’activité économique, mais elles sont incapables de la générer. Elles incitent donc les gouvernements à dépenser.

    Le FMI subit des pressions pour vendre une partie de son or afin d’aider les pays les plus pauvres, mais un porte-parole a indiqué « que le FMI n’a aucune intention de vendre de l’or, afin d’offrir une solidité fondamentale à son bilan, ce qui lui permettra de prêter à des taux attractifs ». L’or restera une composante clé de son portefeuille.

    En France, les plans sociaux commencent à se multiplier tandis que les intentions d’embauche de cadres s’effondrent. Les recrutements dans les entreprises privées devraient chuter de 30 à 40 % par rapport aux 281.300 recrutements de cadres en 2019. De son côté, le spécialiste des finances publiques François Ecalle a montré à quel point, malgré le maintien des taux bas – ce qui n’est pas garanti -, le redressement des comptes de la dette publique, sans augmentation d’impôts et de prélèvements sociaux déjà les plus élevés de l’OCDE, est pratiquement impossible. Avec une croissance du PIB de 1,4 % par an et des dépenses de 2 % (niveau moyen observé de 1998 à 2008), le déficit public augmenterait chaque année et s’élèverait à 7,9 % du PIB en 2030 tandis que la dette publique atteindrait 142 % du PIB.

    Dans la zone euro, la chute des prix s’est établie à -0,3 % en septembre, contre -0,2 % en août. La reprise économique de l’Allemagne s’essouffle ; le niveau de l’emploi avant crise ne sera atteint, au mieux, avant mi-2022. Christine Lagarde a exhorté les États à ne pas diminuer brutalement les dépenses publiques pour éviter un « effet de falaise ». Désespéré, le commissaire européen Paolo Gentiloni estime qu’il faut casser le thermomètre et revoir les critères de Maastricht. Le Système, une fois de plus, montre qu’il ne voit pas d’autre possibilité que la fuite en avant avec augmentation de l’endettement public et de la création monétaire par les banques centrales.

    Quant à l’Italie, c’est le miracle ! L’Italie va finir l’année 2020 avec une dette publique égale à 158 % du PIB, mais elle n’a jamais emprunté à un taux aussi bas car le gouvernement Conte, contrairement à Salvini, a fait profil bas et confirmé son allégeance à l’Union européenne. Le Trésor italien emprunte, actuellement, à trois ans à -0,3 % et à 10 ans à 0,64 %, les obligations nouvelles étant entièrement souscrites par la BCE !

    Pour le Système, le risque n’est plus celui de la signature d’un pays tel que l’Italie ou la France, mais celui de l’effondrement des économies face au Covid-19. L’ampleur de la dette italienne et l’incapacité de rembourser sont devenues subitement tout à fait secondaires. Or, en 2013, avec la fin des rachats de dettes sur les marchés par la Fed, les taux avaient, immédiatement, bel et bien grimpé. La seule issue finale possible ne pourra être, alors, qu’une hyperinflation pour régler le problème de la dette italienne avec, à la clé, l’explosion de la zone euro et la dévaluation des monnaies nationales.

    Aux États-Unis, les 898.000 inscriptions hebdomadaires au chômage repartent à la hausse. Le déficit public américain, en septembre 2020, a atteint 3.132 milliards de dollars, multiplié par plus de trois par rapport aux 984 milliards de 2019. En 2009, en pleine récession de la crise des subprimes, le déficit s’était établi à « seulement » 1.400 milliards de dollars. Et, pour arranger le tout, un nouveau plan de dépenses de 1.800 milliards de dollars pour les républicains, de 2.200 milliards de dollars pour les démocrates, s’impose d’une façon urgente !

    Le monde ne tourne plus rond depuis la déclaration de l’inconvertibilité du dollar en or par Nixon en 1971. Le système monétaire mondial sera emporté. L’issue finale ne peut être que l’hyperinflation pour régler le problème des dettes avec, comme modèles, les 1.000 % actuels d’inflation du Venezuela ou les 140 % de l’Argentine en 2018 !

     

    Source : synthesenationale

  • Elancourt. Entre la vie et la mort après avoir été lynché dans un bus

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020

    Un homme de 27 ans a été violemment agressé dans la nuit de samedi à dimanche à Élancourt par un groupe de huit agresseurs, armés d’une béquille et d’un couteau.

    « Ils se sont dirigés directement vers la victime et l’ont frappée à coups de béquille, de pied et de poing avant de lui asséner des coups de couteau dans les bras et les côtes » « La bande est descendue du bus et a tenté d’y remonter voyant que la victime n’était pas morte, ajoute la même source. Le conducteur a démarré pour gagner un endroit sûr et lui a probablement sauvé la vie ».

    Le Parisien via fdesouche

  • Communiqué de la FSU (syndicat enseignant) suite à la décapitation d’un enseignant par un musulman : “[La FSU] refusera toute stigmatisation des musulmans”

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020

  • Covid-19 : les demandes de RSA en hausse de plus de 10 % en Ile-de-France

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020

    Les conseils départementaux chargés du RSA  enregistrent une explosion des inscriptions. Une situation inquiétante qui pèse sur les finances des collectivités.  Alors qu’ Emmanuel Macron a exclu mercredi soir l’éventualité d’un relèvement pérenne des minimas sociaux, le Premier ministre, Jean Castex, doit annoncer ce samedi un «acte 2 » du plan pauvreté.

    Des intérimaires, des jeunes en CDD, des saisonniers, des commerçants… Les huit départements d’Ile-de-France que nous avons interrogés voient depuis mars, et le début de la crise du Covid, les demandes pour toucher le RSA exploser. […]

    Dans le Val-de-Marne, ils sont ainsi 45 809 en août à y être inscrits contre 41 449 en mars, et le nombre d’allocataires attendu fin décembre pourrait avoisiner, selon une estimation « prudente », les 46 900. Soit une hausse de 12 % sur l’année. Du jamais-vu. De même, en Seine-Saint-Denis, où le nombre d’allocataires est déjà très élevé — 87 000 en juin —, c’est une hausse de 4,7 % qui est relevée par rapport à juin 2019, « la plus forte hausse en un an jamais enregistrée depuis sept ans ». Le président (PS) Stéphane Troussel avait dès le mois de mai alerté Emmanuel Macron sur le sujet.  […] Avec désormais 68 838 foyers allocataires du RSA à Paris (+ 14 %), la ville doit trouver 30 millions d’euros pour débourser ces aides.[…]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • La plupart des musulmans ne feignent même plus de condamner les attentats islamiques

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    L'observation des réseaux sociaux, juste après un nouvel attentat au nom d'Allah, est toujours édifiante. Ça l'est encore plus suite au nouvel acte de barbarie islamique commis hier à Conflans-Sainte-Honorine.

    Déjà, il faut rappeler le contexte de cette exécution : une campagne de lynchage du professeur de collège qui avait montré des caricatures de Mahommet à ses élèves était orchestrée depuis deux semaines par des parents d'élèves musulmans, avec la complicité d'autres professeurs qui leur avaient fourni toutes les coordonnées personnelles de leur collègue ainsi que ses heures de sortie de cours !

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    Habituellement, du bout des lèvres, imams et Mahométans condamnent avec gravité les attaques terroristes islamiques en précisant qu'elles n'ont rien avoir avec l'Islam. Un grand classique. La Taqîya de base.

    Mais cette fois-ci, au-delà de très molles indignations d'usage, on assiste à des commentaires extrêmement virulents et agressifs justifiant quasiment l'égorgement et la décapitation du professeur qui a outragé, selon eux, leur « prophète ».

    Les messages du style « il l'avait bien cherché », « on ne blasphème pas Mahommet » ont fleuri partout sur la toile, par milliers. Avec également des avertissements virulents, intimant de ne pas stigmatiser l'Islam et de ne pas faire de récupération politique « raciste » et « d'extrême-droite »...

    L'avantage, c'est que cela fera peut-être comprendre à nos compatriotes que les auteurs potentiels d'attentat sont bien plus nombreux que médias et gouvernants ne veulent le faire croire, que des afro-musulmans enragés prêts à céder, au moindre prétexte, à leurs pulsions haineuses anti-occidentales sont des milliers, et qu'ils en croisent chaque jour dans notre pays en phase de colonisation avancée.

    Nous ne pourrons inverser le cours des événements qu'en réalisant trois choses :

    1 - Écarter du pouvoir tous ceux qui ont la responsabilité de la colonisation migratoire et islamique de la France.

    2 - Mettre en place une remigration massive et irréversible des immigrés afro-musulmans, Français de papier compris, dans leur pays d'origine.

    3 - Réaffirmer l'identité européenne et spirituelle de notre civilisation en envoyant au diable l'universalisme républicain qui nous a amené au désastre actuel.

    Tout le reste n'est que littérature.

    Blog de Thomas Joly cliquez ici