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La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
Aussi abominable soit-il cet acte commis par un immigré tchétchène n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc".
Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.
Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui… A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.
« La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]
Vers 17 heures, à Eragny (Val d’Oise) une équipage de la brigade anticriminalité de Conflans Sainte-Honorine a repéré un individu portant un couteau. Quand les policiers lui ont demandé de mettre à terre son arme, ce dernier a refusé. « Agressif et menaçant», il a été abattu par la police. A ses côté, ils ont découvert le corps d’un homme décapité.
Les fonctionnaires n’ont pas pu s’en approcher immédiatement car l’assaillant serait porteur d’un gilet explosif et une opération de déminage était en cours en fin de journée. » (source)
Un Tchétchène a revendiqué l’attaque sur les réseaux sociaux :
Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.
Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.
Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».
Le plus ironique et le plus triste dans cette gabegie aux velléités sanitaires, ce sont l’inadéquation des mesures édictées et les zones à risques identifiées : ils pénalisent les restaurants mais ils ne disent rien sur les transports en commun bondés ; ils surveillent la vie intérieure des familles mais ignorent l’école ; ils décrètent les couvre-feux, enfin, mais ne laissent frontières et aéroports ouverts.
MORT ÉCONOMIQUE
Appuyé sur un conseil scientifique anonyme et la dictature sacrée de courbes mathématiques ésotériques, le gouvernement relance un confinement partiel qui ne dit pas son nom mais qui a d’ores et déjà deux effets majeurs sur la vie des Français.
Le premier est l’arrêt de mort économique de plusieurs corporations déjà gravement touchées par les conséquences de l’épidémie depuis le début de l’année. L’hôtellerie-restauration, grandement dépendante du tourisme, s’est adaptée aux nouvelles contraintes parfois au prix d’investissements coûteux pour accueillir une clientèle moindre. Les nouvelles règles de couvre-feu et d’accueil réduisent à néant les derniers espoirs de survie de l’un des derniers fleurons commerciaux français.
Le deuxième effet est de pousser les Français à l’exaspération et à l’indiscipline tant les règles changent, demeurent hermétiques et surtout apparaissent arbitraires. Le principal ressort de la défense sanitaire adoptée par la Suède est la pédagogie, laquelle repose sur des ordres permanents et identiques depuis le début de l’épidémie. La Suède n’a pas confiné et n’impose pas le port du masque. Son économie fonctionne quasi normalement. Le taux de létalité n’est pas supérieur aux autres pays occidentaux, c’est le pays en passe d’atteindre un seuil d’immunité collective protecteur face au Covid. Pourquoi ? Parce que la Suède décide de responsabiliser ses habitants plutôt que de réduire leurs libertés au gré des dernières paniques ou du dernier rapport pondu par quelque organisme international aux intérêts obscurs.
SÉQUESTRATION DES LIBERTÉS
Ces règles sanitaires ressemblent de plus en plus à une méthode de gouvernement : la gestion des affaires courantes sous le mode de l’état d’urgence. Or, ce n’est pas une plus grande efficacité politique et technique qui en ressort, mais un constat terrible. La ruine des libertés publiques accélère celle de l’économie réelle et des derniers vestiges de l’Etat-providence. Nous vivons une ère de liquidation générale plutôt que de préservation nationale. Les restrictions imposées n’ont pas pour finalité de redresser la médecine en France ou de rétablir des règles évidentes de bon sens dans les finances publiques.
Est-ce que l’état d’urgence sécuritaire a provoqué une amélioration de la sécurité quotidienne des Français ? La réponse est non. Est-ce que l’état d’urgence sanitaire préservera la santé publique ? La réponse risque d’être malheureusement la même.
Introduites par la loi de renseignement de 2015, les « boites noires » sont des dispositifs analysant de façon automatisée l’ensemble des communications circulant sur un point du réseau de télécommunications afin, soi-disant, de « révéler des menaces terroristes ». Cette surveillance de masse n’avait été initialement permise qu’à titre expérimental jusqu’à la fin de l’année 2018. Cette expérimentation avait été prolongée jusqu’à la fin de l’année 2020 par la loi antiterroriste de 2017.
Voyant la fin d’année arriver, le ministère de l’Intérieur a souhaité prolonger ses pouvoirs d’encore un an, par un projet de loi déposé le 17 juin dernier et que nous dénoncions déjà (le texte prolonge aussi les mesures de l’état d’urgence intégrées dans le droit commun par la loi SILT de 2017). Le 21 juillet, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi, et c’était au tour du Sénat de se prononcer.
Le 6 octobre, entre temps, un évènement majeur est intervenu et aurait dû entrainer la disparition immédiate de ce texte. La Cour de justice de l’Union européenne s’est prononcée sur la loi renseignement et nous a donné raison sur de nombreux points, notamment sur les boites noires.
La Cour a constaté que, en droit français, une « telle analyse automatisée s’applique de manière globale à l’ensemble des personnes faisant usage des moyens de communications électroniques » et que « les données faisant l’objet de l’analyse automatisée sont susceptibles de révéler la nature des informations consultées en ligne » (le gouvernement ayant avoué au cours de l’instruction que les boites noires analysent l’URL des sites visités). D’après la Cour, cette « ingérence particulièrement grave » ne saurait être admise qu’à titre exceptionnel « face à une menace grave pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle ou prévisible », « pendant une période strictement limitée ». Enfin, les boites noires doivent faire « l’objet d’un contrôle effectif soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante, dont la décision est dotée d’un effet contraignant ».
Les exigences de la Cour sont beaucoup moins strictes que celles que nous espérions obtenir en allant devant elle – nous voulions l’interdiction pure et simple de toute surveillance de masse. Il n’empêche que ses exigences sont bien plus strictes que celles du droit français. L’article L851-3 du code de la sécurité intérieure autorise les boites noires de façon générale et par principe, sans être conditionnée à la moindre « menace réelle et actuelle » – menace qu’on ne saurait identifier aujourd’hui, d’ailleurs. Le droit français n’encadre ces mesures dans aucune « période strictement limitée » mais les autorise au contraire depuis cinq ans de façon ininterrompue. Enfin, le contrôle des boites noires a été confié à la CNCTR qui, en droit, n’a aucun pouvoir contraignant.
Le droit français viole clairement le droit européen. La Cour de justice l’a déclaré sans ambigüité. En réaction, les sénateurs auraient dû refuser immédiatement et automatiquement la prolongation demandée par le ministère de l’intérieur. Ses boites noires sont illégales et, s’il tient vraiment à les maintenir, il n’a qu’à corriger sa loi.
Qu’ont fait les sénateurs ? Ils ont prolongé les boites noires pour une année entière au lieu des sept mois votés par l’Assemblée (sur les dispositifs de la loi SILT, les sénateurs ont carrément décidé de les pérenniser sans débat). Sinon, rien. Les pleins pouvoirs ont été reconduits dans les mains de Darmanin. Tant pis pour l’État de droit.
Le texte, examiné en lecture accélérée, va maintenant passer en commission mixte paritaire où l’Assemblée et le Sénat chercheront un compromis – qui ne s’annonce pas vraiment en faveur de nos libertés. Ensuite, tel que le ministre de l’intérieur l’a rappelé au Sénat, il proposera bientôt une nouvelle loi renseignement qui, entre autres choses, entend bien autoriser de façon pérenne les boites noires. La bataille sera ardue : commençons-la dès maintenant.
Un certain Ludovic Bertin (ci-dessus à gauche) a avoué lors de sa garde-à-vue avoir tué Victorine Dartois (à droite), jeune Française de 18 ans.
Celle-ci avait disparu le 26 septembre, en Isère, alors qu’elle rentrait chez elle.
D’après la version de cet intrus sur le sol français, il aurait croisé l’étudiante sur un parking de Villefontaine alors qu’elle rentrait chez elle à pied, après une après-midi passé au centre commercial. Il dit l’avoir « croisée par hasard » alors qu’il faisait un footing. « Une dispute aurait alors éclaté entre eux après une bousculade involontaire », a expliqué le procureur adjoint.
En réalité, elle a dû héroïquement refuser de céder aux avances de cette ordure, qui a été finalement mis en examen « pour enlèvement, séquestration et meurtre précédé d’une tentative de viol ». L’autopsie révèle que Victorine a été noyée de force.
Celui que la presse (Le Monde en particulier) a présenté comme “un jeune père de famille”, né le 25 mai 1995 à Vénissieux, a été condamné à plusieurs reprises durant sa minorité, notamment pour port d’arme, vol, destruction. En 2019, le tribunal de Lyon l’a condamné pour des vols avec effraction commis dans l’est lyonnais courant 2017 et 2018.
Les jeunes Français, et en particulier les filles, n’ont pas fini de payer le prix de ce que la génération boomer a fait de ce pays, livré à une colonisation barbare.