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tchétchène

  • Après s’être mobilisé pour faire libérer celui qui deviendra le cerveau des attentats du Bataclan : Amnesty International se mobilise pour faire revenir en France, un Tchétchène “fiché S”

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2021

     

    Fiché « S » par les autorités françaises

    De son côté, le ministère de l’Intérieur français a souligné que le Tchétchène « est connu pour ses liens de longue date avec la mouvance islamiste et du jihad international ». Depuis 2013, il était fiché « S » – pour risque d’atteinte à la sûreté de l’État – par les autorités françaises.

    « Il a également été condamné, en Belgique et en France, pour faits de violences aggravées », a précisé le ministère de l’Intérieur à propos de cet homme, qui avait fui la Russie en 2010 pour la Pologne, qui lui a octroyé en 2011 le statut de réfugié, avant de le lui retirer quelques années plus tard.

    Dès son arrivée en France le 21 septembre 2012, Magomed Gadaev a tenté d’obtenir le statut de réfugié, en vain. Depuis plusieurs mois, les autorités cherchaient à l’expulser vers la Pologne, qui refusait sa réadmission.

    […]

    RFi via fdesouche
  • Scandaleux et fou : faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié !

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Auteur : 

    Ils sont devenus fous ou suicidaires ! En tout cas, il vaut mieux être un Tchétchène bénéficiant du droit d’asile qu’un pauvre Français de souche dénonçant l’invasion migratoire. C’est la conclusion que l’on peut tirer de cette nouvelle affaire abracadabrantesque comme aurait dit feu Jacques Chirac, le dernier de nos “rois fainéants” (sic dixit Macron 1er, empereur de la ploutocratie triomphante).

    En effet, dans une décision rendue publique le 19 février 2021, le Conseil d’Etat a estimé qu’un réfugié tchétchène condamné pour apologie du terrorisme pouvait conserver son statut de réfugié. La plus haute juridiction administrative a ainsi désavoué l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) – l’office chargé de statuer sur les demandes d’asile – qui avait retiré son statut à un réfugié tchétchène. L’Ofpra avait motivé sa décision en arguant que sa présence sur le territoire français  «constituait une menace grave pour la société». La CNDA (Cour nationale du droit d’asile) avait ensuite annulé cette décision, soulignant que les faits d’apologie publique «ne constituaient pas un acte de terrorisme», l’un des motifs nécessaires pour enclencher la révocation du statut de réfugié.

    Venant au secours du CNDA, le Conseil d’Etat, ayant été saisi, considère désormais que “faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié“. Quand on sait que le refugié tchétchène au cœur de cette affaire a fait l’objet de quatre condamnations pénales dont une, le 18 février 2015 à Nice, «pour des faits d’apologie publique d’un acte de terrorisme», on en reste bouche bée !

    Pour justifier sa décision, la Cour relève que les délits ayant donné lieu aux condamnations du réfugié tchétchène, et notamment celui d’apologie publique du terrorisme, ne sont pas suffisants pour le priver de ses droits en France. Selon la CNDA, pour mettre fin au statut de réfugié, « la personne doit avoir été condamnée pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ». Mieux, pour enlever le droit d’asile à un ressortissant étranger sa présence doit être jugée comme une menace grave pour la société une fois condamné pour des actes de terrorisme, comme l’a fait l’OFPRA en 2017. Or, l’apologie du terrorisme n’est pas reconnue comme un acte de terrorisme…

    A l’évidence, il est plus facile, et moins dangereux, désormais d’approuver les actes de terrorisme que de barrer, symboliquement, une frontière pour montrer l’impéritie des pouvoirs publics en matière d’immigration.

    Jamais l’adage “quos vult perdere Jupiter dementat” [Ceux qu’il veut perdre, Jupiter les rend fous] ne s’est autant appliqué qu’en ces circonstances.

     

    Source : medias-presse.info

  • Malgré 4 condamnations, dont une pour apologie du terrorisme, la justice refuse de retirer le statut de réfugié à un migrant tchétchène

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2021

    […]

    En attendant que la Cour de cassation tranche son cas, un migrant multirécidiviste va pouvoir rester sur le sol français. C’est ce que révèle, le 19 février, le site spécialisé Dalloz actualité, qui relate des situations judiciaires. On apprend ainsi qu’un homme « de nationalité russe et d’origine tchétchène » s’est d’abord vu retirer le statut de réfugié, avant que cette décision ne soit invalidée.

    […]

    « l’intéressé ayant fait l’objet de quatre condamnations pénales entre 2011 et 2016, dont une condamnation prononcée le 18 février 2015 par le tribunal correctionnel de Nice pour des faits d’apologie publique d’un acte de terrorisme, sa présence sur le territoire français constituait une menace grave pour la société. »

    […]

    L’article dans son intégralité sur Valeurs Actuelles

  • La Pologne avait refusé l’asile au Tchétchène (et sa famille) qui a décapité Samuel Paty

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2020

    La Pologne avait refusé l’asile au Tchétchène (et sa famille) qui a décapité Samuel Paty

    Contrairement à la France, la Pologne sauvegarde son bien commun :

    https://twitter.com/patrick_edery

     

     
    Source : lesalonbeige
  • « France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020

    Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
    A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.

    « La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]

    Vers 17 heures, à Eragny (Val d’Oise) une équipage de la brigade anticriminalité de Conflans Sainte-Honorine a repéré un individu portant un couteau. Quand les policiers lui ont demandé de mettre à terre son arme, ce dernier a refusé. « Agressif et menaçant», il a été abattu par la police. A ses côté, ils ont découvert le corps d’un homme décapité.

    Les fonctionnaires n’ont pas pu s’en approcher immédiatement car l’assaillant serait porteur d’un gilet explosif et une opération de déminage était en cours en fin de journée. » (source)

    Un Tchétchène a revendiqué l’attaque sur les réseaux sociaux :

     

    Source : contre-info