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  • Explosion dans une usine de missiles et fusées en Israël [VIDEO]

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Une énorme explosion a eu lieu dans une usine israélienne de fabrication de missiles, située a proximité de la ville de Jérusalem al-Qods occupée, dans la région de Ramla au centre d’Israël. 

    Le quotidien israélien Haaretz indique que l’explosion s’est produite pendant que la société Tomar réalisait un essai de simulation pour une fusée satellitaire. Il n’y a pas eu de blessés, selon le journal

    « Les hauts responsables de la défense enquêtent, en ce moment, sur l’incident pour voir si les instructions ont été respectées », lit-on dans Haaretz, sans plus de détails.

    Les israéliens ont dit avoir entendu une explosion et vu une énorme fumée que certains ont filmés.

    La société Tomar est une société militaire qui appartient au gouvernement israélien. Elle  fabrique des systèmes de propulsion pour une variété de fusées et de missiles.

    Vidéo : https://twitter.com

     

    Les responsables de la sécurité et les responsables de l’entreprise Tomer ont lancé une enquête pour déterminer les causes de « l’incident » qu’ils disent avoir été causé « lors d’un test contrôlé ».

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Eolien en mer : Un carcan de fer et de béton sur le littoral français.

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en
    2019. 

    La contrainte politico-juridique: l'Union européenne a imposé à ses membres la construction de parcs éoliens en mer. C’est ainsi que dans le cadre de sa stratégie (ORES offshore renewable energy strategy), la Commission européenne a fixé en 2020 un objectif de 300 GW éolien offshore d’ici 2050, 25 fois plus que ce dont l'UE dispose aujourd'hui.

    éolien en mer,littoral françaisDocile et zélée, la France s’est lancée, elle aussi, dans l’éolien offshore. Le déploiement de ces parcs est adossé au décret de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) du 21 avril 2020. Il se fonde également sur les plans de déploiement de parcs éoliens établis par les préfectures maritimes appelés « Documents Stratégiques de Façade » ou DSF.

    Un continuum de parcs éoliens le long de nos côtes.

    Il est prévu un continuum de parcs éoliens sur l'ensemble du littoral européen grâce à l’installation de parcs de 50 à 200 éoliennes formant des rectangles de 4 ou 6 rangs, jointifs les uns des autres. Il y sera laissé, en fonction des besoins, des chenaux de 20 km de large pour permettre les communications maritimes avec la pleine mer. Selon la profondeur du fond, elles seront soit fixées soit flottantes et maintenues par des câbles ou maintenues en place à l'aide de moteurs asservis à une position GPS.

    Il est à noter que ces parcs seront positionnés entre 10 et 30 km au large des côtes et exceptionnellement plus près, c’est-à-dire dans nos eaux territoriales et qu’ils seront interdits à la navigation commerciale et de plaisance.

    Mais le gigantisme ne s'arrête pas aux éoliennes. Il est envisagé en mer du Nord, comme le mentionne un article du Figaro du 23 mars 2017 des projets d'îles artificielles qui sont destinées à couvrir les baies et golfes du littoral de manière à mutualiser les coûts de rapatriement du courant électrique produit vers la côte.

    Six projets éoliens français en mer sont en cours de développement, quatre dans la Manche (Le Tréport, Fécamp, Courseulles-sur-Mer, Saint-Brieuc) et deux sur le littoral atlantique (Saint-Nazaire, Île d’Yeu/Noirmoutier). Mais ce n’est qu’un début.

    Ainsi un rideau de fer va s’abattre sur l’ensemble de nos côtes à l’exception du littoral Marseille- Nice, de la côte Est de la Corse et au large du Touquet…. Et ce au plus grand désavantage de notre tourisme des plages, de la pêche et de la circulation maritime.

    Des opérateurs largement étrangers.

    Les constructeurs et les opérateurs sont principalement des groupes industriels nord-américains, nord-européens et asiatiques. Ils ont déjà colonisé la plus grande partie de l'éolien terrestre français (Siemens-Gamesa, Vestas etc…) et ont intérêt, à l’image des Etats Unis, à casser l'industrie française de l'énergie et EDF (Electricité de France), déjà fortement menacée par le plan Hercule.

    Les Chinois ont vocation à devenir un chef de file mondial avec par exemple le consortium CGN. Se profilent également les Japonais, les Coréens et sans doute plus tard les Indiens. On notera déja que la CGN (Chinese General Nuclear Corp), partenaire d'EDF dans Hinckley Point aurait été accusée d'espionnage par le gouvernement américain.

    Il est évident que tant les propriétaires, que les opérateurs auront un accès illimité à leurs installations et qu’ils disposeront des ressources nécessaires pour faire fonctionner d'autres dispositifs que ceux strictement nécessaires à l'exploitation du parc. Et ce d’autant plus que la taille et l’envergure démesurées des machines éoliennes maritimes leur en offriront toute latitude.

    Il faut d’ailleurs souligner que l’administration des éoliennes se fait généralement à distance par des systèmes de logiciels de gestion du type SCADA qui, avec le développement des réseaux intelligents, exposent l’industrie de l’énergie à des vulnérabilités informatiques.

    éolien en mer,littoral françaisLes usages malveillants de cette ceinture de fer.

    Cette ceinture de fer pourrait servir à deux types d’usages malveillants.

    Tout d’abord le renseignement.

    Les deux nations intéressées par le renseignement seraient, entre autres, les Etats-Unis et la Chine : les Etats-Unis pour surveiller encore plus étroitement notre territoire et protéger leur navigation naturelle dans l’Atlantique et en Méditerranée et les Chinois pour marquer ceux-ci.

    La recherche de renseignement qu’elle soit phonique, acoustique ou électromagnétique pourrait avoir deux objectifs :

    -le renseignement maritime : il s'agirait de surveiller le trafic au large à l'aide d'hydrophones, d'antennes flottantes déployées sous l'eau et d'aériens radio ou radar, le tout à l'abri de stations méteo : bref le transfert sur une foule de sites fixes : des éoliennes en mer à proximité de nos côtes, de tout ce qu'on trouvait sur des chalutiers au bon vieux temps de la guerre froide.

    -le renseignement terrestre dont le but serait de surveiller les activités portuaires, industrielles et de transport civil comme militaire.

    Des objectifs plus agressifs ?

    Il pourrait y avoir d’autres usages encore plus agressifs à partir de cette muraille géante si d’autres acteurs s’y introduisaient ou en prenaient le contrôle.

    D'une manière générale, l'éolien en mer faciliterait grâce à des moyens électroniques actifs, l’écoute de tous bâtiments et la capture de leur signature phonique en association avec leur image, leur capacité manœuvrière et logistique.

    Contre l'activité maritime en général cela pourrait être le brouillage des communications.

    Contre la France la menace pourrait être l'écoute permanente et le perfectionnement de la connaissance des moyens de communication radio notre marine et, potentiellement, le brouillage des moyens radio et des radars d'approche tant à usage maritime que terrestre.

    Des risques immenses pour la France.

    Les risques, au plan stratégique, apparaissent immenses pour la France du fait de son positionnement géographique :

    -la mise en oeuvre de menaces à l'encontre de notre activité portuaire et aéroportuaire, le même type de menaces sur les industries littorales telles la Cogema à la Hague ou l'industrie des missiles à Bordeaux. Que dire par ailleurs de celles qui pèseraient sur nos arsenaux et nos ports militaires dans ces conditions ?

    -les autres risques seraient liés aux possibilités de sabotages, de coups de main ou d'attaques exercées par des puissances secondaires ou des groupes terroristes appuyés en sous-main par des Etats, des organisations subversives en liaison avec des sociétés commerciales à partir de ce rideau de sites fixes à la vue de nos côtes.

    Conclusion.

    Nos responsables politiques et notre administration tétanisés par l’idéologie climatique doivent sortir de leur candeur ou d’une indifférence qui constituerait une forfaiture, afin de prendre conscience de ces risques considérables et d'en analyser les conséquences.

    La ceinture de fer de notre littoral risque de se transformer en un carcan mortel si d'aventure l’État ne prenait pas les choses en main en adoptant les moyens indispensables pour contrôler le déploiement et l'usage de ces moyens d'investigation et d'établir des zones de non déploiement près de sites sensibles.

    Source : http://www.economiematin.fr/

  • Le prince qui voulait se réincarner en virus pour exterminer une partie de la population mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Le prince Philippe, duc d’Edimbourg et mari d’Elisabeth II d’Angleterre, est décédé. A l’âge vénérable de 99 ans. Une longue vie, trois pas derrière la reine, au service de la couronne britannique … et de la pensée unique dont il était un digne représentant. Et un décès facétieux en ce temps covidien… Car si le prince Philippe est connu pour sa prestance, et ses « gaffes » et plaisanteries pétries d’humour britannique, qui pouvaient mettre mal à l’aise, certains de ses bons mots étaient à prendre bien plus au sérieux, ils reflétaient un état d’esprit progressiste « avant-gardiste ».

    « Fondateur de WWF pour « sauver l’environnement », souligne la journaliste Patricia Gooding-Williams sur le site Daily Compass, il aurait volontiers sacrifié une partie de l’humanité, au point de déclarer qu’il voulait se réincarner en virus mortel. Imprégné d’idéologie néo-malthusienne, il était le fils et le promoteur d’une culture eugénique. Voici un côté moins connu du mari de la reine Elizabeth, Philip d’Edimbourg » dont les funérailles ont eu lieu samedi.

    Dans un entretien accordé en 1988 à Deutsche Press-Agentur, il avait émis, non une de ses gaffes habituelles mais le fond de sa pensée :

    « Si je pouvais me réincarner, j’aimerais revenir en tant que virus mortel, pour aider à résoudre le problème de la surpopulation. »

    « Ce n’était pas l’un de ses commentaires impromptus qui ont fait sa réputation, explique Gooding-Williams. Au contraire, il exprime par là une conviction profonde qui détermine toute son action. La citation (…) s’ajoute à de nombreuses autres interviews et conférences qu’il a données sur le thème de la conservation. La sauvegarde de l’environnement était une tâche qu’il avait assumée avec un dévouement idéologique et il invitait tous les hommes de pouvoir à faire de même parce que, par définition, ceux-ci ont un impact direct sur le comportement de ceux qui sont en dessous d’eux. Mais la phrase sur l’hypothétique réincarnation, le fait que le duc d’Édimbourg voulait revenir comme un virus mortel pour « guérir » le monde de sa prétendue maladie, la surpopulation, tuant des millions de personnes, a créé un certain étonnement. De plus, il n’a jamais précisé s’il ressentait quelque chose au sujet des immenses souffrances qu’il infligerait à ceux qu’il infecterait. »

    « Cependant, analyse toujours la journaliste du Daily compass, le contrôle de la population, comme son commentaire le suggère, n’était pas l’objectif principal du prince Philippe, mais plutôt le moyen d’arriver à une fin. Son souci était de préserver un environnement durable et, à son avis, la croissance incontrôlée de la population était le cancer qui, s’il n’était pas traité, finirait par entraîner sa disparition. Il a vu la question de la croissance incontrôlée de la population de la même manière impassible qu’il a vu la nécessité d’abattre les animaux pour maintenir l’équilibre délicat de la durabilité naturelle. Le prince Philip a exprimé cette conviction très clairement en utilisant l’exemple du succès d’un projet des Nations Unies dans les années 1940 qui a éradiqué le paludisme au Sri Lanka. ‘’Ce que les gens ne savaient pas, c’est que le paludisme contrôlait en fait la croissance démographique. La conséquence a été qu’en 20 ans environ, la population a doublé. Maintenant, ils doivent trouver quelque chose pour tous ces gens à faire et un moyen de les nourrir.‘’ »

    Le prince Philippe n’a jamais renié son message écologique et malthusien. Patricia Gooding-Williams rappelle que lors d’un entretien en 1981 avec Fred Hauptfuhrer pour le magazine People qui fera l’objet d’un article intitulé Les races disparues concernent le prince Philip, mais pas autant que la surpopulation, à la question, « laquelle considérez-vous comme la principale menace pour l’environnement ? », le consort d’Elisabeth II répondit :

    « La croissance de la population humaine est probablement la plus grande menace pour la survie à long terme. Ce serait une catastrophe majeure si elle n’était pas freinée, non seulement pour le monde naturel, mais pour le monde humain. Plus il y aura de gens, plus ils consommeront de ressources, plus ils créeront de pollution, plus ils se battront. Nous n’avons aucune alternative. Si le nombre n’est pas contrôlé volontairement, il sera involontairement contrôlé par une augmentation de la maladie, de la faim et de la guerre. »

    Il faut noter la contradiction dans la tête progressiste du prince Philippe : d’un côté, il déplore que la disparition de la malaria ait permis le doublement de la population du Sri Lanka, de l’autre il déplore la maladie comme moyen de réguler la démographie. Pour en vérité, vendre le contrôle volontaire des naissances, objectif des eugénistes et des malthusiens, de ces hommes puissants qui veulent être comme des dieux, « maîtres » de la vie et de la mort…

    Et d’ailleurs lorsque Fred Hauptfuhrer lui demanda si « le contrôle des naissances fait partie de la solution ? », le duc déclara :

    « Oui, mais vous ne pouvez pas légiférer sur ces problèmes. Vous devez convaincre les gens d’en comprendre la nécessité : les personnes les plus importantes, celles qui ont des responsabilités et peuvent réellement faire quelque chose pour résoudre le problème. Ceux qui n’ont pas de responsabilité doivent le faire parce que ce sont les destinataires. Ils doivent accepter les mesures. »

    En ce temps de virus covidien et de vaccins expérimentaux aux effets secondaires graves sur la fertilité humaine dénoncés par de nombreux scientifiques et médecins, le discours du prince Philippe prend une tout autre dimension, réelle, concrète.  De visionnaire, il devient inspirateur, voire instigateur, des plans sanitaires actuels et des mesures de coercition, qui s’acheminent vers une vaccination dans les faits obligatoire, qu’ « il faut accepter », quels que soient les risques de stérilité.

    Et, si cela ne suffit pas, concluons avec la journaliste Gooding-Williams :

    « les militants du contrôle de la population croiseront probablement les doigts dans l’espoir que le prince Philip reviendra en effet sous la forme d’un virus horrible et les aidera à terminer le travail ! »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Allocations chômage : un nouveau calcul pénalise le congé de maternité

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Allocations chômage : un nouveau calcul pénalise le congé de maternité

    Encore un dégât collatéral de la réforme du chômage : une étude réalisée par l’Unédic à la demande du syndicat Force Ouvrière vient de révéler que si vous avez été en chômage partiel, en congé maternité ou en arrêt maladie au cours des derniers mois, vos allocations chômage seront réduites si vous perdez votre travail dans les semaines à venir.

    Bienvenue dans le nouveau monde de la macronerie.

     

    Source : lesalonbeige

  • De quoi protège la vaccination contre la Covid-19 ?

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    De quoi protège la vaccination contre la Covid-19 ?

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    Un cluster découvert dans un EHPAD à Biscarosse dans les Landes ne touche que des personnes vaccinés (14 résidents contaminés). L’Ehpad avait été l’un des premiers – mi janvier 2021 – a profiter de la campagne de vaccination. Pourtant, celle-ci n’a pas empêché la réapparition du virus au sein de l’établissement. L’occasion de rappeler que l’on peut attraper le Covid après avoir été vacciné…

    En Creuse, deux clusters ont été identifiés dans des Ehpad. 2 résidents vaccinés sont décédés alors qu’ils étaient contaminés par le Covid-19 et vaccinés. Thomas Simon, directeur de l’établissement, indique :

    «Ils étaient très faibles. Ce sont des personnes âgées de 90 et 99 ans. Elles étaient positives au Covid au moment du décès mais on n’a pas de certitude que ça soit lié».

    Depuis le 26 mars, 24 résidents et 14 soignants ont été touchés dans l’établissement. Presque tous les résidents avaient reçu deux doses, mais seulement une minorité du personnel.

    Paradoxalement, la Creuse est en avance sur la vaccination. 25,6 % de la population du département a reçu au moins une dose et 10,7 % deux doses (contre respectivement 18.75%, et 6,78% des Français).

     

    Source : lesalonbeige