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  • Booba : « Vous disparaîtrez avant nous et vous l’aurez mérité. »

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    Twitter – Screen

    Le journaliste Redwane Telha, Rédacteur en Chef de France Inter :

    Twittervia fdesouche

  • Réduction de peine : et si on inversait le raisonnement ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    « Mon projet de loi a pour seul but de restaurer la confiance dans la justice » claironne Eric Dupond-Moretti. « Vaste programme ! » aurait répondu un ancien Président. Et de proposer, entre autres mesures, de filmer les procès, comme si la caméra pouvait être l’instrument de l’équité judiciaire ! C’est dérisoire.

    inverser le raisonnement,réduction de peineEn matière pénale, une grande part de l’exaspération des Français vient du constat qu’une peine infligée n’est pratiquement jamais intégralement appliquée. Nous avons, en effet, un régime extraordinaire dans lequel la réduction de la peine infligée est automatique, c’est-à-dire systématique : c’est le principe du « crédit de réduction de peine ». Ainsi, par exemple, un condamné à cinq ans de prison bénéficie, d’entrée de jeu, d’une réduction de peine tarifée de onze mois. S’il se comporte normalement, il ne restera en prison que quatre ans et un mois. Pour qu’un condamné exécute la totalité de sa peine, c’est-à-dire pour que le juge d’application des peines lui supprime son « crédit », il faut qu’il se soit particulièrement mal comporté en prison.

    Et si l’on inversait le raisonnement ? 

    Tout condamné exécuterait l’intégralité de sa peine, sans remise possible : cinq ans, c’est cinq ans, pas moins.

    Alors s’ouvrirait une alternative. Ou bien le condamné s’est comporté correctement en prison : en ce cas, il sort lorsque la durée totale de sa peine est atteinte. Ou bien il ne s’est pas bien comporté : alors, le juge d’application des peines aurait le pouvoir d’augmenter son temps de détention.

    Il s’agit d’un renversement total de la logique actuelle. Aujourd’hui, on ne punit pas le mauvais comportement puisque le seul risque encouru consiste à effectuer la peine infligée, ce qui, convenons-en, n’a rien d’une punition. Pour le citoyen ordinaire, une peine doit être exécutée, c’est aussi simple que cela. Imagine-t-on que l’on puisse « négocier » le montant d’une pension alimentaire à verser ou le coût d’une contredanse à payer ?

    Dans son projet de réforme, le garde des Sceaux prévoit bien de supprimer les crédits de réduction de peine, ce qui va dans le bon sens, mais maintient l’allègement en cas de bonne conduite, ce qui ne change rien à la logique appliquée aujourd’hui : rien n’empêchera le juge souverain de revenir au système actuel de mansuétude systématique, tant décrié. Difficile de retrouver la confiance en ce cas.

     

    Yannik Chauvin

    Docteur en droit, écrivain, compositeur
  • Ramadan et déconfinement au faciès

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    Pour les musulmans, le ramadan a commencé le mardi 13 avril et s’achèvera le 12 mai. Un ramadan sous confinement… pas tant que cela.

    Selon des informations recueillies par Le Figaro « la direction départementale de l’Hérault a reçu un message d’information du ministère de l’Intérieur indiquant qu’une «tolérance est accordée» aux «fidèles» souhaitant pratiquer la prière à 5h30, avant la fin du couvre-feu ».

    Une tolérance aux heures de couvre-feu, pour la première prière du matin, puis pour l’aumône, le soir, est accordée aux musulmans dans certains départements en raison du ramadan, il s’agirait du Tarn, de l’Hérault et de la Gironde.

    « Dans le Tarn, peut-on lire dans le même article du Figaro, comme l’ont révélé nos confrères du média local Le Journal d’Ici, les forces de l’ordre ont reçu pour consigne, de la part de la préfecture, de ne pas verbaliser les musulmans circulant entre 19 heures et 22 heures, et à partir de 5 heures, alors que la France est actuellement sous couvre-feu pour cause de Covid. Un courriel reçu le mercredi 14 avril par les gendarmes et les policiers du département, que le média local a pu consulter, assurait que ‘’les pratiquants sont autorisés par la préfecture à dispenser l’aumône (se traduisant par la livraison de nourriture à des amis, famille…)‘’. Cette consigne, indiquée dans un mail que Le Parisien ‘’est en mesure de confirmer‘’, vaut pour toute la durée du ramadan, fixée cette année du 13 avril au 12 mai. »

    Il est également souligné dans le courriel, indique Ouest-France que « le créneau nocturne correspond à la rupture du jeûne et il est potentiellement susceptible de générer des rassemblements sur la voie publique ou aux abords des mosquées ».

    Les forces de l’ordre de Gironde ont également reçu un mail similaire ce jeudi 15 avril, selon Marianne :

    « Plusieurs responsables locaux du culte musulman ont demandé à pouvoir autoriser leurs coreligionnaires à pratiquer la prière du matin à 5 h 30, soit une demi-heure avant la fin du couvre-feu ». Ainsi, la préfecture accorde « une tolérance […] afin de permettre aux fidèles de prier à 5 h 30 en dépit de la fin du couvre-feu à 6 h, sans qu’il soit nécessaire de modifier le décret ».

    Sans être aussi précis, les policiers du Var ont également vu circuler un mail dès le mercredi 14 avril avec ce type de consigne, toujours selon Marianne :

    « Concernant […] le rassemblement de personnes après le couvre-feu, l’état-major a donné pour instruction de faire preuve de modération, tolérance et discernement, conformément aux consignes ministérielles ».

    Conclusion : alors qu’aucune dérogation au couvre-feu a été accordée aux catholiques pour fêter Pâques, Darmanin autorise pour le ramadan le déconfinement pour les seuls musulmans, que la police reconnaitra… au faciès. C’est cela aussi le Grand Remplacement, le remplacement en terre française et chrétienne de la religion catholique par la religion musulmane !

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La perversion euthanasique

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    La perversion euthanasique

    euthanasie,perversion

    De Martial Deux, entrepreneur, pour le Salon beige.

    Quelle ignoble perversion de vouloir transformer le médecin et ses compagnons les plus proches en tueurs de malades, de vieillards ou de malheureux dépressifs ! Il est tellement plus commode, pour les tenanciers de l’euthanasie et autres Thénardier du suicide, de supprimer la personne plutôt que de soulager son mal-être !

    Pour ces relativistes égoïstes et orgueilleux, à quoi bon vivre puisque tout doit mourir un jour ? Un peu plus tôt ou un peu plus tard, quelle différence ? Voilà la doctrine de ces tristes tueurs “compassionnels”, ceux qui s’approchent de vous le baiser de Judas aux lèvres, la main armée de poison et le cœur étouffé par un tourbillon de pensées homicides.

    « Tu ne tueras pas ! » dit Dieu, qui inscrit aussi cette loi au for intime de l’homme. Et sous ce commandement primordial, la Vie s’est propagée, belle, libre et protégée. Jusqu’à abriter dans sa ramure majestueuse des milliards de vies belles et aimantes dans leur dignité de créatures de Dieu.

    À quoi bon vivre ? Quelle différence de mourir un peu plus tôt ou un peu plus tard ? Une foule de différences pourtant ! Une multitude énorme ! Voyons plutôt ! La Vie. L’Amour. La Paix. Le Repos. L’Espérance. La Force. La Joie. La Douceur. La Patience. La Beauté. La Tempérance. La Lumière. La Sagesse. L’Intelligence. La Vérité. La Pureté. L’Humilité. La Liberté. La Justice. La Bonté. La Charité. Le Bien Véritable. La Compassion. La Mansuétude. La Magnanimité. La Modestie. La Prière. La Foi. Le Remède. Le Salut de l’âme. La Rédemption. La Réélection comme enfant de Dieu. Le Salut de l’âme des membres de la famille, des amis… La Possibilité de Réparer le mal passé et bien d’autres merveilles spirituelles et morales encore, pourvu, POURVU que la personne soit accompagnée DIGNEMENT dans cette voie salvatrice. Car la mort du corps n’est pas une fin définitive. C’est le passage de la vie terrestre à une vie éternelle, celle de l’âme. L’enjeu est de taille : « L’éternité, c’est long, surtout vers la fin » plaisantait Woody Allen.

    Comment faire ? Quelle alternative à l’acharnement thérapeutique ou à l’euthanasie immorale et indéfendable ? Elle existe pourtant en France : les SOINS PALLIATIFS ! Mais qui en bloque encore l’application ? Serait-ce les promoteurs du suicide sur ordonnance infiltrés dans notre corps social et installés au plus haut du pouvoir ? Mais nous n’en voulons pas, de ces mercenaires assassins ! Nous n’en voulons pas, de cette doctrine ignoble qui promeut l’anéantissement de nos frères humains ! Nous n’en voulons pas, des visages de nos parents, époux, enfants, familles, amis, collègues, inconnus écrasés sous la botte d’arguments abjects ! La petite voix insidieuse, qui répète en leitmotiv que la mort est la solution, n’est pas une petite voix qui veut notre bien : elle désire, d’une haleine pestilentielle nourrie de pensées hypocrites, notre suppression définitive !

    Même l’athée le plus engoncé dans son erreur devrait reconnaître honnêtement qu’il n’est pas seulement un corps destiné à pourrir après sa brève existence ! Il possède un niveau spirituel, au-dessus du niveau moral et bien au-dessus du niveau inférieur, matériel et animal, de la chair. L’âme. La partie la plus noble de son être, spirituelle et éternelle depuis sa conception et son infusion par Dieu, Esprit Éternel et Tout-Puissant, dans le bébé qu’il devint à la fécondation.

    Que son destin éternel, après le bref passage terrestre, soit divin ou infernal dépend de sa bonne volonté, car Dieu ne force pas la volonté de l’homme. L’Amour Éternel, qui veut être aimé en retour par toute sa création, ne force pas son enfant à l’aimer : l’amour respecte la Liberté de chacun… Mais celui qui veut Vivre, qu’il choisisse la Vie, le Vrai Vivant, Dieu, Sa Paix, Sa Joie, son Amour… Celui qui veut rejoindre les damnés qui s’en sont détourné définitivement et leur prince infernal, au lieu de courir vers une béatitude de trésors éternels, vers des bras aimants ouverts pour le pardonner et l’accueillir, quel que soit le monceaux de ses péchés (cf. parabole du fils prodigue en St. Luc 15, 11-32), roule à la ruine par la stupidité de l’orgueil. Une fin bien malheureuse pour qui se croyait – à tort – rationnel.

     

    Source : lesalonbeige

  • Val-de-Marne : Plan pour l’emploi «1 jeune, 1 solution»

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

    Ils ne veulent « laisser aucun jeune sur le bord de la route ». Dans le Val-de-Marne, les pouvoirs publics se démènent pour trouver du travail à leur jeunesse sans emploi. C’est l’objectif du plan « 1 jeune, 1 solution », mis en œuvre en France dans le cadre du plan de relance depuis l’été 2020.

    Au total, selon le ministère du Travail, 4 228 demandes d’aides ont été déposées par les employeurs du Val-de-Marne depuis l’été 2020 pour bénéficier de ces mesures, déjà 5 190 primes pour des contrats d’apprentissage signés dans le département, 1 296 jeunes accompagnées de manière intensive vers l’emploi (Garantie Jeunes, PACEA…), 529 primes pour des contrats de professionnalisation, 69 Emplois Francs + et 63 Contrats Initiative Emploi (CIE).

     […] À Vitry-sur-Seine, Nabil Ateb a embauché Jasmine comme assistante de direction via un Emploi Franc +. À la clé : « Jusqu’à 17 000 euros d’aide sur 3 ans en cas d’embauche en CDI et 8 000 euros pour un CDD d’au moins 6 mois », décrypte Alexandra de Penaranda, de la Direccte 94. […]

    Pour d’autres, le salut est arrivé via la Garantie Jeunes. Ketia, 18 ans, cherchait un BTS communication en alternance après son bac pro vente. […] A l’Union sportive de Créteil, Youssef Bennaceur a recruté Georges en service civique « car on avait une grosse charge de travail et besoin d’une personne-ressource ». […]

    Abdel-Kader Guerza, préfet délégué pour l’Egalité des chances, donne aussi la piste d’un nouveau métier qui va recruter dans le Val-de-Marne : le conseiller numérique au sein d’une collectivité territoriale. […]

    msn via fdesouche