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  • Xavier Bazin : “On sait à présent que l’hydroxychloroquine était bel et bien efficace”

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    Xavier Bazin : “On sait à présent que l’hydroxychloroquine était bel et bien efficace”

    Valeurs actuelles publie une tribune de Xavier Bazin auteur du livre Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé dans laquelle il explique que les gouvernements se sont focalisés sur la recherche de vaccins et de molécules nouvelles et que des traitements et molécules anciens, peu rentables pour les industries pharmaceutiques, ont été dédaignés :

    “C’est le Pr Éric Caumes qui a craché le morceau, en février dernier : « Cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité contre le Covid-19. Dire cela risque de surprendre, voire choquer. Mais toutes les preuves scientifiques sont là. Car à travers le monde, des équipes de médecins et de chercheurs ont testé des centaines de molécules anciennes. Et parmi elles, certaines ont une efficacité redoutable contre le Covid-19.

    La plus spectaculaire est l’ivermectine, un banal médicament antiparasitaire, sans la moindre toxicité, dont l’efficacité in vitro a été repérée dès le printemps 2020. Depuis, plus de vingt études randomisées ont été menées, avec des résultats à couper le souffle. Selon deux méta-analyses réalisées récemment par des chercheurs indépendants, l’ivermectine réduirait la mortalité de 68 à 75 %. On parle bien d’un nombre de morts potentiellement divisé par quatre.

    L’autre grand remède spectaculairement ignoré est la vitamine D. Dès le mois de mai 2020, l’Académie de médecine a appelé à utiliser massivement la vitamine D en prévention des formes graves du Covid-19. Mais le ministère d’Olivier Véran n’a pas bougé le petit doigt, alors que de nombreuses études publiées entre-temps ont confirmé l’efficacité de cette vitamine pour prévenir les infections et éviter les formes graves.

    Olivier Véran a fait une seule “concession” au traitement précoce. Tout récemment, du bout des lèvres, le ministre a admis que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie » Or c’est précisément ce que recommandait le Pr Raoult depuis le départ, avec l’antibiotique azithromycine. Combien de décès aurait-on évités si on avait suivi largement le protocole du Pr Raoult, à base d’azithromycine, couplé à l’hydroxychloroquine ?

    Car on sait à présent que l’hydroxychloroquine était bel et bien efficace : c’est ce que montre l’écrasante majorité des centaines d’études scientifiques publiées dans le monde sur cette molécule simple et peu toxique. Alors pourquoi avoir diabolisé le protocole Raoult, puis l’avoir ignoré ? Parce que, comme l’ivermectine et la vitamine D, il avait le malheur d’être peu coûteux (donc non rentable pour l’industrie pharmaceutique), et surtout de faire concurrence aux vaccins.

    Il est arrivé la même mésaventure à une vieille molécule très prometteuse, identifiée par l’Institut Pasteur de Lille. Dès le départ, le gouvernement n’a pas daigné financer ces recherches (l’Institut Pasteur a dû compter sur la générosité de LVMH). Pire, quand l’Institut Pasteur a demandé une autorisation à Olivier Véran pour réaliser un essai clinique accéléré sur cette molécule non toxique et très efficace in vitro , son ministère lui a opposé une fin de non-recevoir, sans la moindre raison valable. Et il y a encore beaucoup d’autres traitements efficaces “oubliés” (…)

    Là encore, non seulement on a ignoré ces traitements, mais on a mis des bâtons dans les roues de ceux qui les promouvaient. Figurez-vous qu’un spray nasal spécifiquement conçu pour neutraliser le coronavirus devait être commercialisé en France au début du mois de mars, mais l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) l’a empêché au dernier moment.

    N’est-il pas étrange que nos “experts” de l’ANSM aient jugé qu’un banal lavage de nez était plus risqué que les vaccins expérimentaux, à base d’ARN messager entouré de nanoparticules (Pfizer, Moderna), ou d’adénovirus génétiquement modifié (AstraZeneca) ? (…)

    Au total, si l’Occident avait fait preuve de pragmatisme en testant massivement des molécules anciennes et immédiatement disponibles sur le marché, les dégâts de l’épidémie auraient pu être minimisés dès l’été 2020.

    Mais les États occidentaux ne se sont intéressés qu’à un seul type de traitement : les molécules innovantes, sous brevet, donc très rentables pour les laboratoires pharmaceutiques. C’est ainsi qu’en France, au printemps, on a testé en priorité le remdésivir de Gilead, sans succès. Tout récemment, malgré un niveau de preuve d’efficacité très faible, le gouvernement d’Emmanuel Macron a autorisé un autre traitement “innovant” (à plus de 1 000 euros pièce, bien sûr), le bamlanivimab du puissant laboratoire américain Lilly.

    De façon tragique, les autorités ont “oublié” de tester massivement des molécules déjà existantes, connues de longue date, et potentiellement actives contre le Covid-19. C’est pourtant ce que le Pr Raoult avait recommandé au tout début de l’épidémie : « Il faut examiner les molécules potentiellement actives et qui sont immédiatement disponibles sur le marché. » Si l’Occident avait suivi cette recommandation de bon sens, l’épidémie aurait été largement éteinte dès l’été dernier, et on n’aurait pas eu à subir les morts et les reconfinements de l’automne-hiver 2020-2021.

    Il est grand temps d’ouvrir les yeux, de demander des comptes à nos gouvernants, et de réformer en profondeur un système dévoyé par les intérêts de la toute-puissante industrie pharmaceutique.”

     

    Source : lesalonbeige

  • Inscriptions satanistes sur l’Eglise Saint-Sernin à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    Inscriptions satanistes sur l’Eglise Saint-Sernin à Toulouse

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    Des tags à caractère satanistes ont été peints à la bombe rouge sur le parvis et sur les murs de la basilique Saint-Sernin.

    Ils ont été nettoyés à la mi-journée. Le diocèse de Toulouse condamne ces actes. Le curé de la basilique demande la mise en place de caméras de surveillance autour de l’édifice.

     

    Source : lesalonbeige

  • Eure : l’église de Romilly-la-Puthenaye est partie en fumée

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    Eure : l’église de Romilly-la-Puthenaye est partie en fumée

    Le toit et le clocher sont tombés, l’intérieur de l’édifice est totalement détruit. L’église Saint-Pierre du village de Romilly-la-Puthenaye a été construite en partie au XVIe siècle. Tout le mobilier est brûlé notamment un retable d’une valeur inestimable. Des tableaux et la statue de la Vierge situés auparavant dans l’autre église du village et qui avaient été transférés pour des raisons pratiques sont également partis en fumée. Les pompiers n’ont réussi qu’à sauver une statuette en terre cuite datant du XVe siècle et quelques toiles qui étaient dans la sacristie. Le ministre originaire de l’Eure Sébastien Lecornu promet que le gouvernement fera “tout pour qu’une reconstruction soit possible”. Selon les premières constatations des pompiers, l’incendie serait parti de la façade avant de l’église Saint-Aubin avant de se propager à la sacristie.

     
     
    Source : lesalonbeige
  • La sortie de crise sanitaire n’est pas pour demain

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    La sortie de crise sanitaire n’est pas pour demain

    Malgré la vaccination de masse, le retour à la normale n’est pas pour demain, ni pour après-demain… Peut-être pour jamais. Le projet de loi destiné à organiser la sortie de l’état d’urgence sanitaire est actuellement devant le Conseil d’Etat pour avis.

    L’article 1er donne tout pouvoir au gouvernement pour mettre en place des restrictions par décret jusque fin octobre…

    De là à imaginer que les restrictions se poursuivront (au moins) jusqu’à l’élection présidentielle de de 2022, il n’y a qu’un pas, allègrement franchi.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le gouvernement russe ordonne à un million de migrants vivant illégalement en Russie de quitter le pays avant le 15 juin

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Le gouvernement russe a demandé aux migrants originaires des États post-soviétiques qui vivent illégalement en Russie de quitter le pays avant le 15 juin.

    À la mi-décembre, le président Vladimir Poutine a prolongé le statut de résident des citoyens étrangers vivant en Russie jusqu’au 15 juin 2021, en raison de la pandémie de coronavirus. Cette mesure concernait les migrants originaires des pays de la Communauté des États indépendants (CEI) vivant en Russie sans documents appropriés.

    “Ces personnes seront punies par l’expulsion et la fermeture des frontières” si elles ne partent pas avant la date limite du 15 juin, a déclaré RIA Novosti citant le vice-ministre de l’Intérieur Alexandre Gorovoï.

    Selon les données du ministère de l’intérieur, plus de 332 000 migrants illégaux originaires d’Ouzbékistan résident actuellement en Russie, ainsi que 247 000 originaires du Tadjikistan, 152 000 d’Ukraine, 120 000 d’Azerbaïdjan, 115 000 du Kirghizstan, 61 000 d’Arménie, 56 000 de Moldavie et 49 000 du Kazakhstan.

    (…) The Moscow Times via fdesouche