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  • Le Professeur Fourtillan a nouveau arrêté et incarcéré

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Le Professeur Jean-Bernard Fourtillan,  qui a notamment accusé l’Institut-Pasteur d’avoir créé le Covid, a été une nouvelle fois interpellé. Il a été arrêté par la police ce jeudi 15 avril à Chaudes-Aigues (Cantal) puis incarcéré à la maison d’arrêt d’Aurillac.

    L’information a été dévoilée sur les réseaux sociaux, où le Professeur Jean-Bernard Fourtillan bénéficie d’un large soutien à la suite de son intervention dans le documentaire Hold-up où il dénonçait le caractère artificiel du Covid-19.

    L’arrestation a été arrêté alors qu’il se trouvait avec son épouse dans un hôtel de la commune thermale. Incarcéré à la maison d’arrêt d’Aurillac, il devrait être transféré aujourd’hui vers la capitale, pour y rencontrer le magistrat instructeur en charge de son dossier ce samedi 17 avril.

    Selon France Inter, il serait reproché au Professeur Fourtillan de ne pas avoir respecté le contrôle judiciaire qui lui avait été imposé après une première arrestation en décembre, suivie d’un placement dans un hôpital psychiatrique selon des méthodes dignes de l’Union soviétique.

    La tyrannie sanitaire s’acharne contre ce professeur honoraire de la faculté de médecine et de pharmacie de Poitiers, comme elle le fait de diverses façons contre toutes les personnalités scientifiques qui dénoncent la manipulation Covid-19.

     


     

     

    Source : medias-presse.info

  • Bienvenue dans le monde du Dr Knock

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Bienvenue dans le monde du Dr Knock

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    A ceux qui veulent faire peur avec les 100 000 morts du Covid, le professeur Didier Raoult a estimé que ce chiffre est à relativiser.

    « Toutes les morts ne sont pas équivalentes », « 88 % des gens qui sont morts du Covid-19 au CHU de Marseille avaient une espérance de vie qui était inférieure à un an ». « Je suis médecin, j’ai de la compassion pour tout le monde. Mais il n’empêche que la perte de chance, ou la perte de vie ou d’espérance, n’est pas de même nature chez les uns et les autres. »

    Didier Raoult affirme en outre qu’il y a eu « moins de morts parmi les moins de 65 ans qu’en 2019 ou en 2018 »

    Néanmoins, tout le monde se croit malade. Même une personne en bonne santé est soupçonnée d’être “asymptomatique”… Alors tout le monde va se faire vacciner… Et cela fait les affaires de BigPharma. Une troisième dose du vaccin Pfizer devrait probablement être administrée entre six à 12 mois après les premières, avant une vaccination chaque année. C’est ce qu’a annoncé jeudi Albert Bourla, le PDG du laboratoire américain, qui espère ainsi toucher le jackpot.

    Le Dr Knock a gagné :

    Comme l’écrit Yves Daoudal

    on a convaincu des gens qui n’avaient rien qu’ils étaient malades, des centaines de milliers de personnes, et cela continue. On est plus fort que le Dr Knock, qui avait inventé la chose mais pas le mot : « asymptomatique » : le malade qui n’a rien.

    Mais cela s’aggrave. Aux « informations » (sic) de 13h sur la 2, il n’était question que des « patients » qui vont se faire vacciner. Des patients qui ne souffrent de rien. Qui ne sont même pas « positifs ». Qui ne sont même pas « asymptomatiques ». Des gens parfaitement normaux sur le plan biologique. Mais qui sont des « patients » pour les piqueurs et les journalistes. Tout Français est désormais un « patient ».

    Et le PDG de Pfizer nous « informe » qu’il faudra se faire injecter une troisième dose au bout de six mois, puis se faire vacciner tous les ans.

    Non seulement chacun est un « patient », mais il est désormais « patient » à vie. Jusqu’à ce que le vaccin ou un effet secondaire le fasse mourir.

    A propos de vaccin qui fait mourir, on m’envoie cette vidéo un peu effrayante dont je ne sais que penser, n’étant pas spécialiste. Je laisse aux spécialistes le soin de contester (ou de confirmer) :

    Vidéo : 
    https://odysee.com/@BobTremblay:6/2234:8

     
     
    Source : lesalonbeige
  • C’était un 17 avril : les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Publié le 17 avril 2021 Auteurpar Rédaction

    et allaient massacrer près de la moitié de sa population…

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    C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

    Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable, comme l’illustrent les unes exposées ci-dessous. L’envoyé spécial du Monde évoquait, lui, l’« enthousiasme populaire » lors de l’entrée des Khmers rouges à Phnom Penh.

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    Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.

    Reconnus et soutenus par l’Internationale socialiste, les « maîtres » du « Kampuchéa démocratique » vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

    Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42 % de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

    C’est ainsi que cet ancien protectorat français (depuis 1863) va sombrer dans l’horreur…

    La France du Second Empire y avait établit sa protection sur le Royaume, jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Le Cambodge fut intégré en 1887 à l’Indochine française lors de la création de cette dernière. En novembre 1949, le système de protectorat laissa la place à un statut d’État associé de l’Union française, toujours au sein de la Fédération indochinoise. En 1953, pendant la guerre d’Indochine, le roi Norodom Sihanouk proclama l’indépendance du pays, que les accords de Genève réaffirmèrent l’année suivante tout en conservant son amitié à la France.

     

    Source : contre-info

  • Bernard Lugan : « pourquoi il est illusoire de s’obstiner à continuer de croire qu’une « pacification des mémoires » avec l’Algérie et le Rwanda est possible »

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Mis à jour le 16 avril 2021 Auteurpar Rédaction

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    Trois traîtres à la France : Darmanin, Stora et Macron

    « Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle. Pour Paris, l’histoire est une science permettant de connaître et comprendre le passé. Pour Alger et pour Kigali, il s’agit d’un moyen servant à légitimer les régimes en place à travers une histoire « arrangée ». L’incommunicabilité étant totale, les dés sont donc pipés dès le départ. D’où le naufrage du « Rapport Stora » et du « Rapport Duclert ».

    L’Algérie et le Rwanda ne veulent en effet pas d’une « pacification des mémoires » au sens où l’entend la France puisque toute normalisation passerait obligatoirement par des concessions mémorielles qui feraient exploser les fausses histoires sur lesquelles reposent les « légitimités » des deux régimes. Le président algérien Tebboune l’a d’ailleurs plus que clairement reconnu quand il a déclaré que « la mémoire nationale ne saurait faire l’objet de renonciation, ni de marchandage ».

    En définitive, la France recherche une paix mémorielle fondée sur une connaissance scientifique des évènements du passé quand l’Algérie et le Rwanda exigent son alignement sur leurs propres histoires fabriquées.

    Avant de se lancer d’une manière évaporée dans le processus de mise à plat des mémoires, Emmanuel Macron aurait peut-être pu entrevoir la considérable différence d’approche des pays concernés, ce qui lui aurait alors permis de comprendre que sa démarche était vouée à l’échec. Mais, pour cela, il lui aurait fallu demander conseil aux véritables spécialistes de l’histoire de l’Algérie et du Rwanda, aux connaisseurs des mentalités leurs dirigeants. Or, et tout au contraire, pour le dossier algérien le président français a choisi de s’adresser à un historien militant signataire d’une pétition de soutien aux dérives islamo-gauchistes de l’UNEF, et, pour le dossier rwandais, à un historien totalement incompétent en la matière. Benjamin Stora s’inscrit dans la ligne de l’histoire officielle algérienne écrite par le FLN quand la thèse de Vincent Duclert portant sur « L’engagement des savants dans l’affaire Dreyfus », ne fait pas de lui un connaisseur de la complexe alchimie ethno-historique du Rwanda… et ne l’autorise pas à oser parler, contre toute la culture régionale, d’ « absence d’antagonismes ethniques dans la société traditionnelle rwandaise » (!!!). Comment Emmanuel Macron pouvait-il d’ailleurs attendre une « avancée » de la part du « Système » vampirique pompant la substance de l’Algérie depuis 1962 quand celui-ci veille avec un soin plus que jaloux à ce que l’histoire légitimant sa domination sur le pays ne soit pas remise en question ? Il en va en effet de sa survie.  L’homologue algérien de Benjamin Stora n’a ainsi fait aucune proposition de révision historique, laissant au chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha,  le soin de faire monter les enchères avec la France en évoquant, contre l’état des connaissances, des « millions de martyrs  de la guerre d’indépendance »… D’une phrase, la pauvre tentative élyséenne de rapprocher les points de vue entre la France et l’Algérie était ainsi pulvérisée. De plus, tout en dynamitant la relation de confiance établie entre les présidents Macron et Tebboune, le général  Chengriha montrait clairement que le président algérien n’est qu’une marionnette et que c’est l’institution militaire qui gouverne et  impose sa loi.

    Maîtres du temps, les généraux algériens vont maintenant faire pression sur Emmanuel Macron, exigeant de lui qu’il livre ou qu’il expulse quelques grandes figures de l’opposition actuellement réfugiées en France… L’éthérée et idéologique recherche d’un consensus historique aura donc abouti à une déroute française. Dans le cas du Rwanda la situation est carrément caricaturale car le « Rapport Duclert » va encore plus loin que le « Rapport Stora »  dans la mesure où il s’aligne quasi intégralement sur les positions de Kigali, légitimant ainsi la fausse histoire sur laquelle  repose la « légitimité » du régime du général Kagamé. Une histoire ancrée sur trois principaux postulats :

    – La France a  aveuglement soutenu le régime du président Habyarimana.

    – Ce furent des Hutu qui, le 6 avril 1994, abattirent en vol l’avion du président Habyrarimana afin de faire un coup d’Etat permettant de déclencher le génocide.

    – Le génocide des Tutsi était programmé.

    Or, tout au contraire :

    – Alors que la tragédie du Rwanda fut provoquée par l’attaque lancée depuis l’Ouganda au mois d’octobre 1990 par des Tutsi réfugiés ou déserteurs de l’armée ougandaise, le « Rapport Duclert » affirme, comme le fait Kigali, qu’entre 1990 et 1993, la France a aveuglement soutenu le régime  du Rwanda. Or, chaque intervention militaire française fut subordonnée à une avancée obtenue du président Habyarimana dans le partage du pouvoir avec ceux qui lui avaient déclaré la guerre au mois d’octobre 1990… La différence est de taille. – Tournant  le dos à l’état des connaissances et s’alignant là encore sur la thèse officielle de Kigali, le « Rapport Duclert » laisse entendre que ce seraient ses propres partisans qui, le 6 avril 1994, auraient abattu l’avion du président Habyarimana. Une hypothèse que même les juges Jean-Marc Herbaut et Nathalie Poux, en charge de l’affaire de l’attentat, ont estimé n’être étayée par aucun des éléments du dossier. De plus, s’ils avaient pris la peine de s’intéresser véritablement aux travaux du TPIR  (Tribunal pénal international pour le Rwanda), et non d’en parler à travers des lectures de seconde ou de troisième main, les auteurs du « Rapport Duclert » auraient appris que ce tribunal qui a travaillé plus de vingt ans sur la question, a clairement écarté toute responsabilité des Hutu dans l’attentat déclencheur du génocide. – Pour les rédacteurs du « Rapport Duclert », tout cela n’a d’ailleurs pas d’importance car, selon eux, et toujours ainsi que le soutient Kigali, comme le génocide était programmé, il aurait eu lieu de toutes les façons, même sans l’attentat …Or, et une fois encore, il a été plus que clairement établi devant le TPIR que le génocide était la conséquence de l’assassinat du président Habyarimana…

    Grâce au « Rapport Duclert», voilà donc désormais Kigali en position de force  pour exiger de la France des excuses officielles qui devront être soutenues par  le versement d’espèces « sonnantes et trébuchantes »… Et si Paris se montrait indocile, comme le « Rapport Duclert » a, contre toute vérité historique, reconnu une part de responsabilité française dans la genèse du génocide, conseillé par l’un ou l’autre cabinet juridique d’Outre-Atlantique, le Rwanda pourrait alors décider de poursuivre la France devant un tribunal international… Un nouveau chantage pourrait donc s’annoncer. Résultat de la faiblesse française et de la volonté du président Macron de mettre à plat le contentieux avec le Rwanda, c’est désormais la France qui est à plat ventre… »

    Bibliographie (de l’africaniste  Bernard Lugan) :

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle de l’Algérie popularisée en France par Benjamin Stora : Algérie, l’Histoire à l’endroit.

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle du génocide du Rwanda reprise dans le « Rapport Duclert » : Rwanda, un génocide en questions/

    – Pour tout ce qui concerne la repentance en général, on se reportera à mon livre Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

     

    Source : contre-info

  • Grenoble : nouvelle nuit de tensions entre “jeunes” et policiers, qui ont essuyé une trentaine de tirs de mortiers d’artifices

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Des échauffourées ont une nouvelle fois éclaté entre jeunes et policiers dans la nuit de jeudi à vendredi rue la Bruyère près de la Villeneuve.

    (…) De nouveaux incidents ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi mais avec une intensité encore plus forte. Tout a commencé vers 23 heures par des détériorations de mobilier urbain. Les policiers arrivés sur place, puis des renforts appelés par la première patrouille, ont essuyé pas moins d’une trentaine de tirs de mortiers. Les forces de l’ordre ont répliqué au LBD et à la grenade lacrymogène. Le calme est revenu vers une heure du matin après dispersion des protagonistes dans la nature. Les policiers n’ont pas pu procéder à des interpellations.

    France Bleu via fdesouche