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  • Magouilles électorales : des policiers contre un soutien à la présidentielle

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    Magouilles électorales : des policiers contre un soutien à la présidentielle

    Magouille dénoncée dans le Canard enchaîné :

     

    Source : .lesalonbeige

  • Première victoire des établissements libres pour le Bac 2021

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    Première victoire des établissements libres pour le Bac 2021

    baccalaureat-230x180.jpg

    Le Conseil d’Etat vient de décider par ordonnance de référé que les lycéens des établissements privés hors contrat ne pouvaient pas être privés de la possibilité de faire prendre en compte les évaluations de l’enseignement optionnel “langues et cultures de l’Antiquité” pour la session 2021 du bac.

    Depuis la réforme du baccalauréat du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, les élèves des écoles hors contrat ne pouvaient plus passer des options lors du baccalauréat. En effet, les options sont désormais sanctionnées par un contrôle continu, hors l’État interdisant le contrôle contenu aux écoles hors contrat, il interdisait également de facto la possibilité de présenter des options au baccalauréat !

    C’est pourquoi l’association CIVITAS avait déposé un référé liberté le 2 mars. L’administration a eu beaucoup de mal à justifier une telle discrimination. Le Conseil d’État a donné raison à Civitas dans une ordonnance du 14 avril, en enjoignant au ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports d’organiser une épreuve dans le cadre de la session 2021 du baccalauréat aux fins d’évaluer les candidats au baccalauréat issus de l’enseignement privé hors contrat au titre l’enseignement optionnel « Langues et cultures de l’Antiquité ». 

    Le Conseil d’État juge :

    « Eu égard à l’objectif poursuivi par les auteurs de cet arrêté en instituant cette bonification, consistant à valoriser la poursuite de l’apprentissage du latin et du grec ancien par le plus grand nombre d’élèves jusqu’en classe de terminale, le bénéfice de l’avantage ainsi institué ne saurait dépendre du statut de l’établissement dans lequel les candidats au baccalauréat ayant choisi cet enseignement optionnel ont été scolarisés. Par suite, la différence de traitement qui en résulte entre les élèves scolarisés dans les établissements publics et dans les établissements privés sous contrat, d’une part, et les élèves scolarisés dans les établissements privés hors contrat, d’autre part, qui est sans rapport direct avec l’objet de cette mesure, est de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision contestée. »

    Il s’agit d’une première victoire importante pour les écoles hors contrat. Le Conseil d’État justifiait jusqu’à aujourd’hui de nombreuses discriminations dont font l’objet les écoles hors contrat en raison d’une différence de situation avec les autres écoles. Si le Conseil d’État a rappelé que la différence de situation des écoles hors contrat pouvait justifier une différence de traitement, il a également rappelé que la différence de traitement devait être en rapport direct avec l’objet de la mesure et qu’elle devait être proportionnée.

    Par ailleurs, le 12 avril, le gouvernement a annoncé que les élèves inscrits dans le cadre du régime du CNED réglementé bénéficieront du contrôle continu pour le Bac. Leur recours avait été audiencé le 8 avril, juste avant le référé suspension relatif aux élèves de lycées hors contrat, qui ne savent toujours pas quel sort leur sera réservé.

     

    Source : lesalonbeige

  • Mariages binationaux : Le Conseil d’Etat ordonne à l’administration d’autoriser les étrangers à venir se marier en France en dépit du confinement

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2021

    Covid-19 : Le Conseil d'Etat autorise les couples binationaux à se marier une victoire pour Farah et Aissa

    C’est une décision qui devrait réjouir plusieurs centaines de couples binationaux qui attendent de pouvoir s’unir depuis de longs mois. Dans une ordonnance publiée le 9 avril, le Conseil d’Etat estime qu’un(e) étranger(e) doit pouvoir entrer en France s’il souhaite se marier avec un(e) Français(e). 

    Il relève ainsi que ne pas pouvoir entrer en France pour se marier avec un ou une Français(e) porte une atteinte disproportionnée à la liberté du mariage. 

    Conseil d’Etat

    L’espoir de se retrouver 

    Une victoire pour Farah, étudiante de 23 ans installée à Amiens qui devait se marier en juillet 2020 avec Aissa, son conjoint bloqué en Algérie depuis le début de la pandémie. Pacsés et en couple depuis 3 ans, les deux amoureux ne se sont pas vus physiquement depuis 15 mois : “Nous nous sommes quittés le 2 janvier 2020 et nous devions nous revoir deux mois plus tard en France pour nous marier, mais avec la crise sanitaire impossible de nous retrouver en France, en Algérie ou dans un pays tiers” relate Farah. 

    Le mariage comme motif impérieux 

    D’après le collectif des couples binationaux franco-étrangers, plusieurs centaines de couples seraient dans la même situation : “Notre collectif regroupe entre 400 et 500 personnes. Nous sommes privés de notre droit de nous marier sans motif valable. On réclame simplement que l’on soit traité de façon équitable” explique sa représentante Anaïs Saint-Jalmes dont le conjoint est lui aussi bloqué en Algérie. 

    Ainsi, début avril, plusieurs couples et une association ont demandé au juge des référés du Conseil d’Etat l’ajout du mariage comme motif impérieux permettant l’entrée sur le territoire français. Une requête validée par la plus haute juridiction administrative, mais qui doit maintenant être appliquée par l’administration. Un réel espoir pour ces couples dont la situation devient de plus en plus difficile.

    france3-regions.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Pour la militante Alison Plaumer d’Extinction Rebellion : « Il y a un élément raciste dans le fait de trop servir de produits laitiers » à l’école

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2021

    Alison Plaumer, du mouvement environnemental mondial Extinction Rebellion, a mené une pétition pour que davantage de repas à base de plantes soient servis dans les écoles. Elle a dit à un conseil municipal de Brighton et Hove qu’il y avait un « élément raciste » dans le fait de service des produits laitiers, parce que 65% de la population mondiale est intolérante au lactose, notamment les communautés BAME (Black, Asian, and minority ethnic) sont intolérantes au lactosePlus de 250 personnes ont soutenu la campagne jusqu’à présent.

    Mais les internautes ont critiqué Mme Plaumer.

    L’un d’eux a posté : “Si les gens pensent que la nourriture est raciste, ils ne sont pas qualifiés pour être près d’une école“.

    Un autre a dit : “Je suis intolérant au lactose et je n’appartiens pas au groupe que vous citez, alors où voulez-vous en venir ? La nourriture ne peut pas être raciste.

    Dans la pétition, elle cite les propos du professeur Michael Clark, de l’université d’Oxford : “L’agriculture animale et les industries de la pêche sont les principales causes de la déforestation, des zones mortes des océans, de la pollution de l’eau, de la perte de biodiversité et de l’extinction des espècesEn outre, l’élevage intensif constitue une menace importante pour le développement de nouvelles pandémies et pour l’apparition d’une résistance accrue aux antibactériens.

    La conseillère Hills a déclaré que le conseil travaillait avec le fournisseur de nourriture scolaire Caterlink pour augmenter le nombre de plats à base de plantes au menu. Elle a déclaré que les écoles de Brighton et Hove ont actuellement deux jours sans viande toutes les trois semaines. Une option végétalienne est disponible tous les jours pour les enfants qui sont enregistrés comme végétaliens et une option sans viande est toujours disponible dans les écoles.

    […]

    La pétition sur le site du conseil municipal se termine le dimanche 13 juin.

    Express UK via fdesouche

  • Pillage de l’église de Rides à Cours (47) : “Les croix en pierre sont très pratiques pour servir de bélier”

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2021

    Cours. L’église de Rides visitée par des pilleurs

    L’église de Rides (XII° siècle) a été visitée par des pilleurs d’église, sans doute un peu après le week-end de Pâques, mais ce n’est que ces derniers jours que ce vandalisme a été découvert. La gendarmerie s’est rendue sur place. L’église de Rides située au lieu-dit du même nom, commune de Cours, est très isolée et il ne subsiste que quelques tombes autour.

    www.ladepeche.fr via fdesouche