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  • Insécurité à Bordeaux : les commerçants des Capucins appellent à l’aide, ils en ont “marre des agressions”. “Nos vies sont en danger”

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2021

    Marre des incivilités et des agressions, une pétition circule dans les commerces de la Place des Capucins. Le 3 avril dernier une salariée d’un restaurant a été menacée de viol.

    A Bordeaux des commerçants de la place des Capucins interpellent le maire contre l’insécurité grandissante dans leur quartier. Le 3 avril dernier, une salariée du restaurant la Broche de l’Ostal a été menacée de viol en plein jour, poursuivie par un homme brandissant un tesson de bouteille. Un autre employé qui tentait de venir en aide à un vieil homme importuné a été frappé au visage. L’agresseur a également dérobé des bouteilles de vin dans le restaurant.

    Nous vivons la peur au ventre subissant les remarques agressives, des gestes obscènes, des brimades, des violences verbales et même physiques. Nos vies sont en danger, notre quartier est en danger !

    France Bleu via fdesouche

  • Une étude confirme l’inutilité du port du masque en extérieur

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2021

    Une étude confirme l’inutilité du port du masque en extérieur

    extérieur,port du masque

    Une étude irlandaise récente montre que 0,1% des contaminations ont eu lieu à l’air libre. Combien de temps allons-nous encore voir des personnes terrorisées se promener seules masqués en pleine forêt ou dans une rue déserte ?

    “Selon de nouveaux chiffres, seul 1 cas de Covid-19 sur 1 000 est attribué à une transmission en plein air”, résume The Irish Times dans un article paru le 5 avril. En date du 24 mars, sur les 232 164 cas de contamination au Covid-19 recensés en Irlande depuis le début de la pandémie, “262 étaient dus à des contaminations en extérieur, soit 0,1 % seulement du total” (…)

    “Le faible nombre de cas attribués en république d’Irlande à une contamination en extérieur se retrouve dans les études internationales”, poursuit le quotidien irlandais, citant notamment l’université de Californie, selon laquelle “le risque de transmission du Covid-19 est 19 fois plus élevé en intérieur qu’en extérieur”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Témoignage : de la dictature comme elle vient

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2021

    De Jeanne Capel :

    Ce dimanche 11 avril 2021 vers 11h15, alors que la messe touche à sa fin, un individu s’introduit dans l’église de Ch…, aux confins de l’Aisne. Portant une veste beige et des rangers, l’homme photographie l’assemblée, se porte à ma hauteur, prend de nouveaux clichés puis se fond dans l’assistance.

    La célébration terminée, j’ajuste mon masque pour franchir le porche. Alors que j’avance vers ma voiture, je suis interpelée par le même individu qui arbore désormais un brassard de gendarmerie ! Dans l’échange qui suit, j’apprends qu’on me reproche de n’avoir pas toujours porté le masque pendant l’office et que je serai sanctionnée. Surtout, je comprends que l’opération de gendarmerie, menée par quatre militaires, me visait personnellement, dans le cadre d’un programme de surveillance et d’intimidation qui dure depuis plus d’un an.

    En effet, le 25 mars 2020, aux premiers jours du confinement du printemps de cette année-là (qu’on n’osait pas encore qualifier de « premier confinement »), j’avais avec ma famille déployé une large banderole sur la façade de notre maison, située au centre du village, pour dire « Non à la dictature sanitaire ! ». Cet aimable truisme (car qui peut être favorable à une dictature, fût-elle sanitaire ?) nous avait valu plusieurs visites de gendarmes et quelques appels d’édiles locaux : nous « agacions en haut lieu »…

    Quelque part dans l’Aisne, le 25 mars 2020

    Rappelons qu’à l’époque, en France, le port du masque était généralement déconseillé plutôt qu’obligatoire, sa vente étant même interdite au grand public. C’est donc bien le foisonnement, l’instabilité et l’incohérence des obligations et des interdits de toute nature que nous entendions dénoncer alors, et l’intrusion dans nos vies qu’ils supposent, par un gouvernement manifestement décidé à dicter nos conduites dans leurs moindres détails plutôt qu’à préserver les libertés publiques.

    Un an plus tard, il faut confirmer le constat et nous venons de redéployer notre banderole.

    Car c’est bien pour punir ma dissidence, et non un acte, qu’on s’en est pris à moi ce matin. Pourquoi en effet, commettre avec préméditation ce double viol ? Celui d’un sanctuaire, contre une jurisprudence centenaire et les usages les mieux établis, mais aussi celui de ma conscience, pourtant protégée formellement par la réglementation sur la pratique des rites religieux en période d’urgence sanitaire ? Le message est pour moi parfaitement clair : dès lors que vous êtes identifié comme « récalcitrant », dixit le gendarme qui m’a interpelée, le pouvoir se donne contre vous tous les droits et ne vous en reconnaît plus aucun, même (ni surtout !) les plus sacrés.

     

    Dans l’Aisne, le 11 avril 2021

    Hasard ou prémonition, nous avions revu hier en famille le chef d’œuvre de Jean-Pierre Melville, L’Armée des ombres. Si comparaison n’est pas raison, l’Histoire a ses permanences que la période actuelle fait resurgir en mode mineur. Dans ma dissidence assumée, je n’attends donc rien des forces de l’ordre, qui obéissent aux ordres quels qu’ils soient ; ni de la justice, dont le Conseil d’État a théorisé, dès l’Après-Guerre, son incapacité à garantir les libertés contre un pouvoir autoritaire ; et pas davantage hélas des hommes en général qui, par peur, jalousie parfois, ignorance ou intérêt se font si souvent les supplétifs de toutes les nomenklaturas.

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    Mais alors que, depuis une heure à peine, la banderole flottait à nouveau sur notre maison et que je terminais ces quelques lignes, on sonna à ma porte. Ce n’était pas (encore) les gendarmes mais une voisine. Tout sourire, elle nous portait un pain qu’elle venait de cuire, pour nous remercier d’entretenir publiquement une lueur de liberté. Nous nous embrassâmes et devisâmes longuement. Quoi qu’il advienne, l’essentiel sera sauf !

    Jeanne CAPEL (un pseudonyme) vit dans l’Aisne. Elle est professeur de Latin et d’Espagnol. En 2020, elle a démissionné de son poste d’enseignante en région parisienne pour ne pas devoir imposer le port du masque à ses élèves.

     
     
    Source : lesalonbeige
  • La télévision chinoise accusée de diffuser des confessions forcées

    Publié par Guy Jovelin le 12 acril 2021

    La télévision chinoise accusée de diffuser des confessions forcées

    Interdite par le régulateur des télécoms au Royaume-Uni, suspendue en Australie, la chaîne d’Etat chinoise CGTN, chaîne d’Etat du gouvernement chinois, accusée de faire la propagande du régime communiste, va débarquer en France. Le CSA a estimé en mars qu’elle remplissait les critères techniques nécessaires pour être autorisée à émettre.

    Treize personnalités chinoises et étrangères, « victimes de confessions forcées diffusées par les télévisions chinoises », ont pressé Eutelsat, l’opérateur européen de satellites, de reconsidérer sa décision de diffuser les chaînes publiques chinoises. Ces personnalités expliquent s’être vu « refuser le droit à un procès équitable » et extorquer des aveux publics. Dans une lettre ouverte sous la houlette de l’association européenne safeguard DEFENDERSils demandent l’interdiction des chaînes publiques chinoises qui diffusent ces procès théâtralisés.

    « Nous avons remarqué qu’Eutelsat autorise la diffusion de ces mêmes chaînes de télévision d’État du Parti chinois. Nous ne sommes qu’un peu plus d’une douzaine de victimes capables de prendre la parole […]. De nombreuses victimes restent en prison. Quelques-unes ont été exécutées ».

    « Vous continuez de diffuser ces chaînes malgré ces graves violations des droits humains. Les victimes n’ont aucun moyen de demander réparation. La seule façon d’arrêter cela est que les régulateurs de télévision enquêtent et prennent des mesures »

    Le CSA a été saisi la semaine dernière de deux plaintes à propos de CGTN, dont l’une a trait à une interview d’une enfant ouïghoure sous la contrainte, l’autre concernant le chercheur allemand Adrian Zenz qui estime avoir été diffamé.

     

    Source :lesalonbeige

  • Royaume-Uni : les universités cesseront de pénaliser l’orthographe pour réduire l’écart entre Blancs et Noirs

    Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2021

    -Les universitaires ont été informés que le fait d’insister sur un bon niveau d’anglais écrit était discriminatoire.
    -Certaines universités ont adopté des systèmes d’évaluation dits “inclusifs”.
    -Le régulateur veut réduire l’écart entre le taux de réussite des étudiants blancs et noirs

    Les étudiants universitaires ne seront pas pénalisés pour leurs fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation aux examens, car cela serait “élitiste”.

    Les universitaires ont été informés que le fait d’insister sur un bon anglais écrit constituait une discrimination à l’égard des minorités ethniques et de ceux qui ont fréquenté des écoles “peu performantes”.

    Le Bureau des étudiants souhaite réduire l’écart entre la proportion d’étudiants blancs et noirs qui obtiennent de bons diplômes et réduire les taux d’abandon parmi les étudiants les plus pauvres.

    En réponse à ces objectifs, certaines universités ont adopté ce que l’on appelle “l’évaluation inclusive”, un système plus souple qui avait d’abord été mis en place pour mettre sur un pied d’égalité les étudiants souffrant de troubles tels que la dyslexie.

    À l’université de Hull, une nouvelle politique stipule que l’exigence d’un niveau élevé de maîtrise de l’anglais écrit peut être considérée comme “homogène, nord-européenne, blanche, masculine et élitiste”.

    […]

    Daily Mail via fdesouche