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  • Covid-19 : les tests naso-pharyngés sur le banc des accusés

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2021

    Après le vaccin AstraZeneca auquel l’union Européenne a décidé de dire adieu, c’est au tour des tests naso-pharyngés à être qualifiés de « dangereux ». Quand il est mal manipulé, le long de coton-tige qui est introduit dans les narines depuis plus d’un an pourrait s’avérer dangereux. Le prélèvement naso-pharyngé, procédé utilisé pour détecter les malades du Covid-19, n’est « pas sans risque », a averti jeudi 8 avril l’Académie de médecine. Ce type de prélèvement, opéré grâce à un écouvillon, est devenu « la méthode de référence », que ce soit pour les tests PCR ou les tests antigéniques, dont le résultat est plus rapide, souligne l’Académie dans un communiqué.

    Face à « la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées », l’Académie de médecine rappelle « les précautions à observer et les risques encourus ». Car, si la plupart des prélèvements sont bénins, « désagrément, douleur ou saignement, de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite », poursuit le collège scientifique, en citant plusieurs études récemment parues.

    L’Académie préconise donc de réserver la réalisation de ces tests « aux professionnels de santé formés » et leur recommande de s’enquérir d’éventuels antécédents ORL avant d’y procéder. Elle préconise également de privilégier des prélèvements salivaires pour les enfants.

    Elle met également en garde contre l’utilisation des autotests, qui doivent arriver en pharmacie à partir du 12 avril. Ceux-ci ne nécessitent pas un prélèvement aussi profond que les autres, mais l’Académie recommande d’alerter les utilisateurs sur le fait que « l’autoprélèvement peut exposer à de faux négatifs lorsque l’écouvillonnage est trop timide et superficiel, mais peut aussi devenir dangereux lorsque l’écouvillonnage est trop profond et dirigé dans la mauvaise direction. »

    Des vaccins mis sur le marché sans le recul nécessaire aux tests naso-pharyngés et à l’interdiction de traitements performants, tout dans cette gestion de l’épidémie de covid-19 est du domaine de l’improvisation et de l’expérimentation avec la population du monde comme cobaye.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Graffitis près d'une mosquée à Rennes...

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2021

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    La réaction de Thomas Joly Président du Parti de la France :

    Quelques misérables tags sur la mosquée de Rennes et tout ce que la classe politique compte de lèche-babouches se précipite pour exprimer son émoi. Les mêmes qui ne pipent mot alors que chaque jour des églises sont vandalisées partout en France. Une sacrée bande d'hypocrites...

  • Le confinement : jusqu’à toujours plus tard et quoiqu’il en coûte…

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2021

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    La chronique de Philippe Randa

    En Belgique, des milliers de Bruxellois s’étant retrouvés au parc du Bois de la Cambre le 1er avril, la police n’a pas hésité a les charger à cheval !

    Depuis, des vidéos de leurs violences – on peut notamment y voir une jeune femme se faire renverser par une patrouille montée ; une autre, assise, se faire tirer les cheveux et frapper à coups de pied – enflamment les réseaux sociaux… à défaut des médias, plus prompts à rendre compte des violences policières, réelles ou plus souvent supposés, lorsqu’il s’agit d’autres populations d’origines extra-européennes.

    Va-t-on assister sous peu en France aux mêmes situations et aux mêmes dérapages ?

    Ce troisième confinement qu’Emmanuel Macron impose à ses compatriotes – et bien qu’il n’ose même pas en assumer le terme – pourrait-il dégénérer s’il n’était pas respecté par un nombre trop important d’entre eux ?

    Le gouvernement français admet désormais (au bout d’un an et après avoir assuré le contraire lors du premier confinement, rappelons-le) que les risques de contaminations en extérieur sont faibles (en fait, quasi-inexistants, ce qu’il semble avoir été le seul à ignorer à l’époque)…

    Oui, mais… À Lyon, il y a peu, une foule rassemblée fin mars sur les quais de Saône n’avait donné lieu qu’à des verbalisations, le préfet n’ayant pas osé ordonner l’évacuation des réfractaires à la dictature sanitaire, mais qu’en sera-t-il si de tels rassemblements se multiplient, les beaux jours arrivant et le doute dans la gravité de la pandémie s’accentuant ?

    Hypothèse alarmiste ? Pas moins alarmiste, en tout cas, diront certains, que les déclarations de ces scientifiques qui n’ont cessé de se relayer dans les médias pour faire pression sur l’Élysée afin qu’on enferme de nouveau leurs compatriotes. Jusqu’à toujours plus tard et quoiqu’il en coûte…

     

    Source : synthesenationale

  • Périgueux (24) : une policière se fait étrangler en pleine intervention

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2021

    Une policière a été violemment agressée lors d’une intervention ce samedi soir à Périgueux (Dordogne). Un homme l’a étranglée.

    (…)

    Un contrôle a débuté. Alors qu’une policière faisait une palpation de sécurité sur la locataire des lieux, un homme a surgi et l’a étranglée.

    Six jours d’ITT

    L’agresseur n’a lâché prise que par la force, lorsque les autres policiers l’ont maîtrisé. Le mis en cause, qui est le petit ami de la locataire, a été interpellé et placé en garde à vue. Il avait un gramme d’alcool par litre de sang. Sur lui, les fonctionnaires ont retrouvé du cannabis et de la cocaïne.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Blagnac (31) : une jeune femme de 25 ans reçoit plusieurs coups de couteau en pleine rue devant son fils de 3 ans, elle est grièvement blessée

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2021

    Une femme de 25 ans a été transportée en urgence absolue à l’hôpital de Rangueil après avoir a été gravement blessée par arme blanche ce dimanche 11 avril en fin d’après-midi à Blagnac (Haute-Garonne).

    Une femme âgée de 25 ans a été frappée de plusieurs coups de couteau vers 16h15 ce dimanche rue des Saules à Blagnac, près de Toulouse. La victime a été agressée en pleine rue et en présence de son enfant de 3 ans qui se trouvait dans une poussette, selon nos informations. 

    Prise en charge par les pompiers de la Haute-Garonne, la jeune femme a été transportée en urgence absolue au centre hospitalier de Rangueil. Son enfant a été confié à un service d’urgence du Conseil Départemental. Pour le moment, le ou les agresseurs sont toujours en fuite, aucun témoin n’ayant assisté à l’agression.

    France Bleu via fdesouche