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  • Nouvelle tribune des militaires : le camp de l’anti-France convulse !

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

    Bruno Hirout

    Secrétaire général du Parti de la France

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    Nouvelle tribune des militaires : le camp de l’anti-France convulse !

    Une nouvelle tribune élaborée par des militaires français et alertant publiquement sur l’état de délitement du pays, ce qui est une nouveauté surtout pour des militaires d’active, a de nouveau fait réagir le camp de l’anti-France.

    L’inénarrable Jean-Luc Mélenchon s’est permis de traiter les militaires de lâches, car la tribune ne révèle pas le nom des militaires impliqués dans cette entreprise salutaire d’appel aux élites.

    L’ordure anti-blanche Jean-Luc Mélenchon, qui ambitionne de devenir le chef de l’Etat, a déclaré « Moi je n’ai pas peur, je dis mon nom et ce que je ferais si je suis élu : purger l’armée de ses membres factieux. »

    On reconnaît bien là l’apprenti-dictateur communiste qui, face à des citoyens qui expriment leur inquiétude, n’a que la purge à proposer.

    De plus, en voulant se faire plus courageux que les militaires parce que sa majesté n’est pas anonyme, Jean-Luc Mélenchon met en avant la réalité de ce qu’il est : un pépère inoffensif pour le système, ce qui est normal pour une serpillère qui a passé plus de vingt ans à remplir son portefeuille bien installé dans son siège de sénateur socialiste avant de se découvrir, une fois les poches et la panse bien pleines, une âme de révolutionnaire gauchiste.

    De son côté, le premier flic de France, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur d’un pays où la criminalité et la délinquance sont devenues le quotidien de centaines de milliers de colons allogènes installés en France, a trouvé le temps, lui aussi, de prétendre que les auteurs de la tribune ne sont pas courageux car ils n’ont pas donné leurs noms.

    Ce que le pitre Mélenchon et l’incompétent Darmanin font semblant de ne pas comprendre, c’est que les réactions hystériques de la Macronie, et notamment du ministre de Armées Florence Parly, obligent les militaires patriotes à rester prudents pour le moment, sous peine d’être sanctionnés voire éjectés, et d’être livrés à la vindicte journalistique.

    Cette nouvelle tribune, malgré ses faiblesses doctrinales, est une pierre de plus apportée à la nécessaire rupture radicale que les hommes politiques de demain devront opérer d’avec la politique menée ces dernières décennies. D’ailleurs, je constate avec satisfaction l’appel d’un syndicat de police qui, dans un texte là aussi à revoir en terme de doctrine, a appelé au soutien de l’armée pour nettoyer ce que France Police appelle « les territoires perdus de la République », ce qu’il vaudrait d’ailleurs mieux appeler les territoires colonisés.

    Le Parti de la France soutient bien évidemment tous les militaires patriotes, et les invite, une fois passé le cap légitime de l’expression de la colère, à se former et à s’engager pour la cause nationale. Le Parti de la France est à la disposition de toutes les bonnes volontés, pour assurer la paix et la souveraineté du peuple français, ainsi que l’intégrité de notre territoire.

  • Seine-Saint-Denis : des maires regrettent l’interdiction de fêter l’Aïd el-Fitr hors des lieux de culte

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

    Les maires de Saint-Denis et Bobigny ont fait part de leur regret de ne pouvoir mettre à disposition de la communauté musulmane des lieux publics, notamment extérieurs, pour fêter Aïd el-Fitr, ce jeudi.

    Une interdiction que regrettent notamment Mathieu Hanotin, le maire (PS) de Saint-Denis, et Abdel Sadi, son homologue (PCF) de Bobigny. Dans un courrier envoyé dans la foulée au ministre de l’Intérieur, le premier se plaint d’une décision « lourde de conséquences.

    Hakim Rebiha, porte-parole de l’Association de la grande mosquée de Saint-Denis, exprime le même regret. S’il dit comprendre l’interdiction d’exercer le culte dans les lieux publics fermés, il déplore qu’elle concerne aussi les sites ouverts en extérieur.

    « Il y a deux poids deux mesures pour les règles appliquées dans les espaces extérieurs. Les manifestations syndicales sont déjà autorisées dans les rues, sans jauge, ni même distanciations sociales ! »

    Le Parisien via fdesouche

  • Bonne fête de l'Ascension.

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

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    Bonne fête de l'Ascension.
    IL REVIENDRA !
    En attendant, aidons-nous, le Ciel nous aidera.
     
  • L’inflation qui vient ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 9 heures

    L’inflation qui vient ?

    Au moins la pandémie aura-t-elle eu le mérite d’occuper les esprits : on compte les morts, puis les infectés, puis les cas contact, puis les variants, les doses de vaccin et les vaccinés, avant de bientôt passer aux petits passeports vexatoires de preuve de bonne santé. Au moins pendant ce temps-là ne compte-t-on pas les petits soucis qui pourraient se poser du côté économique.

    C’est quelque peu dommage surtout si l’on considère que pour être en bonne santé, il vaut mieux avoir une économie saine : les gens qui ne peuvent plus se déplacer, puis ne peuvent plus travailler, puis n’ont plus d’endroit pour dormir, puis ne mangent pas à leur faim finissent par avoir des petits soucis de santé, celle-là même que les énergiques gesticulations gouvernementales entendent pourtant tout faire pour conserver au plus grand nombre, quoi qu’il en coûte et tralalilalère.

    Force est de constater qu’empêcher les activités économiques de reprendre finit par avoir un impact négatif sur tout le reste. Et compenser la misère provoquée par une distribution magique d’argent sorti directement de l’arrière-train des licornes keynésiennes n’est pas réellement une bonne idée, même si les escrocs actuellement en charge des banques centrales tentent de nous convaincre du contraire.

    Les signes s’accumulent de diverses tensions sur le marché, qui ne pointent guère vers une résolution des problèmes posés de façon rapide, à l’amiable et dans la bonne humeur. Eh oui, à force d’intervenir sur les marchés, en bousculant franchement les chaînes logistiques dans une économie mondialisée en flux tendus, on aboutit à des déséquilibres parfois gênants.

    Par exemple, il y a bien sûr l’actuelle pénurie de composants électroniques dont on a pu entendre discrètement parler dans quelques médias et qui a fini par toucher l’industrie automobile, gourmande de ces composants à mesure que les voitures en embarquent de plus en plus : pousser tout le monde au télétravail résulte inévitablement en un gonflement massif de la demande en matériel électronique apte à permettre ce nouveau mode de travail ; renouvellement des écrans, des ordinateurs, extension majeure des centres de données partout dans le monde, multiplication de l’usage du commerce en ligne pour éviter les déplacements inutiles, tabassage fiscal du conducteur automobile… Autant d’éléments qui, mis bout à bout, impliquent une réorganisation très rapide des chaînes de production d’électronique et une remise en question de l’importance des voitures dans le monde.

    Ce qui aurait probablement pris une ou deux décennies a été compressé en quelques mois et il était inévitable que quelques effets de bords apparaissent ; au moins la France, dont l’industrialisation était déjà en berne, ne souffrira plus trop de la mort lente de ses constructeurs automobiles, écrabouillés entre les problèmes logistiques, la culpabilisation incessante des automobilistes et le poids des charges sociales du premier pays de taxation au monde.

    Par exemple, il y a aussi l’actuelle tension observée sur les matériaux de construction dans le secteur du bâtiment, que certains expliquent par les politiques américaines (oh, regardez, c’est encore la faute de Trump !) de protectionnisme sur le bois canadien (mais pas certaines manœuvres plus calculées d’un petit nombre de firmes) qui entraîne un réapprovisionnement des industriels américain du secteur vers l’Europe, provoquant une pénurie locale et une hausse marquée des prix.

    En réalité, on découvre petit-à-petit différentes pénuries de matériaux (sur le béton, dans la métallurgie, les adhésifs, le verre) qui se traduisent toutes par une hausse des prix : des vitrages en hausse de 30%, des prix qui montent de 10 à 40% sur l’aluminium, le cuivre, le laiton, l’acier, le zinc, … À tel point que le gouvernement commence à éprouver quelques moiteurs sur les commandes publiques, dont on pressent qu’elles vont pourtant continuer bon train, youkaïdi, youkaïda, c’est l’État qui paie (en retard).

    À ces hausses de prix des matières premières, on peut aussi ajouter une hausse des prix des biens alimentaires : encore modeste, elle n’en est pas moins présente et commence à se faire sentir progressivement sur un nombre croissant de biens de consommation courante. Pour le moment, on parle d’une hausse timide de 2%, mais le détail de certains produits (lait, céréales, huiles) ne laissent guère de doute sur la direction générale prise par les prix dans les prochains mois : ne vous attendez pas à faire d’économie sur la nourriture…

    Eh oui : de façon réellement surprenante, les masses réellement colossales d’argent qui ont été injectées dans le système monétaire mondial depuis la crise de 2008 commencent à perfuser un peu partout.

    La crise sanitaire, véritable opportunité pour un paquet d’idiots utiles et de politiciens incompétents trop heureux de l’utiliser pour augmenter leurs pouvoirs, commence maintenant à présenter la facture, la vraie, pas celle que les clowns à roulette s’imaginaient payer les mois passés à coup de distribution d’argent des autres, de facilités de paiements et autres couvertures sociales plus ou moins bidon. Cette facture réelle se traduit par des prix en hausse, un pouvoir d’achat qui stagne, une augmentation des faillites et du chômage : payer les gens pour rester chez eux veut dire qu’à la fin, le travail n’est pas fait et, au bout, une demande n’est pas remplie…

    Et l’inflation qui arrive ressemble fort à ce moment délicat où l’on entend le barrage qui grince et qui craque, qu’on le voit se fendiller et se lézarder rapidement : cela fait des années qu’on accumule de façon obscène des dettes monstrueuses, qu’on distribue l’argent gratuit des autres à des industries et des secteurs manifestement peu ou pas rentables, qu’on favorise sans vergogne le dépensier sur celui qui épargne, qu’on dorlote le capitalisme de connivence au détriment du capitalisme naturel, et il semble inévitable que les montants ainsi gonflés et mal alloués finissent un jour par se déverser dans toute l’économie, noyant les uns et les autres dans des liquidités rapidement devenues sans valeur.

    La hausse de l’immobilier (par ailleurs assez mal reprise dans les calculs statistiques de l’inflation, minimisant cette dernière), la hausse du prix de l’or, l’irrationalité des marchés boursiers (Gamestop ou Tesla étant des illustrations frappantes), la hausse récente mais symptomatique des cryptomonnaies, tout pointe dans une unique direction : l’inflation revient, et elle n’est pas contente.

    Et au fait, c’est exactement la même équipe de clowns qui a géré l’actuelle crise sanitaire qui devra gérer la crise inflationniste qui nous pend au nez. Rassurant, n’est-ce pas ?

  • Nantes : Une cinquantaine de bidonvilles et près de 3.000 adultes et enfants roms dans la métropole

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2021

    Le nombre de bidonvilles occupés par des migrants roumains ne diminue pas dans l’agglomération nantaise. Etat des lieux d’une situation explosive alors que l’un de ces terrains a récemment été détruit par un incendie

    Le 23 avril, un incendie ravageait les caravanes et cabanes d’un bidonville établi depuis plus de dix ans à Bouguenais, blessant une mère et sa fille. Une partie des familles roms ont depuis été mises à l’abri dans des gymnases, en attendant l’aménagement d’un terrain provisoire. Cet événement a remis en lumière la situation précaire des migrants roumains installés dans l’agglomération nantaise. Cette dernière compte en effet une cinquantaine de bidonvilles, un record en France selon les associations. Etat des lieux avec Philippe Barbo, membre du collectif Romeurope, fondateur de trois associations et spécialiste du sujet à Nantes.

    Combien de migrants roumains vivent autour de Nantes ?

    « On dénombre 600 familles, soit près de 3.000 adultes et enfants. Le nombre fluctue au cours de l’année puisque certains migrants viennent travailler seulement quelques mois et repartent ensuite. Mais la majorité est sédentaire et présente depuis longtemps sur le territoire », analyse Philippe Barbo. Ces familles sont installées dans une dizaine de communes de l’agglomération, en particulier à Nantes et Saint-Herblain, villes où l’on recense « chacune une dizaine de bidonvilles ».

    D’où viennent ces migrants ?

    Presque tous sont originaires de Roumanie, de la région de Drobeta-Turnu-Severin, non loin de la frontière serbe. Un petit groupe de familles vient aussi du secteur de Cluj, au nord du pays. « Là-bas ils étaient sédentarisés et vivaient dans de petites maisons sans confort ou en appartements. » La plupart ont rejoint la France pour « fuir le chômage et améliorer un petit peu leur niveau de vie »…..

    20 minutes via fdesouche