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grèce

  • Dette : le taux d’emprunt de la France a dépassé pour la première fois celui de la Grèce

    Publié par Guy de Laferrière le 27 novembre 2024

    Sur le marché obligataire, où les dettes déjà émises sont échangées, le rendement des emprunts grecs à dix ans était de 3,02 % aux alentours de 14h15 GMT, égalant celui des emprunts français.

    Plus tôt dans la journée, le taux français avait atteint 3,05 %, créant un écart en faveur de la Grèce. Cet écart, bien que modeste, est hautement symbolique plus de dix ans après la crise de la zone euro.

    Cela indique que le marché considère désormais le risque de prêter à la France aussi élevé que celui de prêter à la Grèce.

    L’écart entre les taux français et allemands atteint son plus haut niveau depuis 2012.

     

     
     
     
  • Dette : le taux d’emprunt de la France a dépassé pour la première fois celui de la Grèce

     

     

    Sur le marché obligataire, où les dettes déjà émises sont échangées, le rendement des emprunts grecs à dix ans était de 3,02 % aux alentours de 14h15 GMT, égalant celui des emprunts français.

    Plus tôt dans la journée, le taux français avait atteint 3,05 %, créant un écart en faveur de la Grèce. Cet écart, bien que modeste, est hautement symbolique plus de dix ans après la crise de la zone euro.

    Cela indique que le marché considère désormais le risque de prêter à la France aussi élevé que celui de prêter à la Grèce.

    L’écart entre les taux français et allemands atteint son plus haut niveau depuis 2012.

     

     
     
     
     
  • Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».

    Publié par Guy de Laferrière le 06 mars 2024

    Thomas Joly

    Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau politique du Parti de la France : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».
    Au printemps 1967, la Grèce était plongée dans une crise politique et institutionnelle grave. De plus, le Parti communiste, persuadé de sa popularité, se préparait à instaurer un régime marxiste sanguinaire qui finirait d’achever le pays. Il faut rappeler que nous sommes en pleine « guerre froide » et que le « berceau de la démocratie » est entouré de pays, qu’il s’agisse de l’Albanie maoïste ou de la Bulgarie alignée sur Moscou, bien peu « démocrates ». Ajoutez à cela les tensions ancestrales avec la Turquie voisine ravivées par la question chypriote.
    C’est donc pour éviter une telle perspective que, le 21 avril au petit matin, à Athènes, l’armée s’empare du pouvoir. Elle met à la tête du pays une junte de colonels qui, malgré quelques « remaniements », restera aux affaires jusqu’à l’été 1974.
    Cette période n’a pas été épargnée par les bonnes consciences universelles qui l’ont caricaturée tout en s’obstinant à ignorer ce qui se passait alors dans les Balkans voisins. Certes, elle est loin d’avoir été parfaite et nos critiques, autres que celles de la bien-pensance hypocrite, ne manquent pas. Nous sommes loin de l’Espagne du général Franco ou du Portugal du professeur Salazar. Néanmoins, il aurait été dommage de continuer à ignorer cette expérience somme-toute intéressante. Voilà pourquoi nous lui consacrons ce nouveau Cahier d’Histoire du nationalisme.
     
     

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  • Grèce : un mur d’acier devrait s’étendre à l’ensemble de la frontière avec la Turquie

    Publié par Guy de Laferrière le 22 janvier 2023

    Un mur d’acier de 27 kilomètres pourrait bientôt s’étendre sur toute frontière entre la Grèce et la Turquie. Selon le ministre grec de la Protection du citoyen qui a reçu ce samedi des émissaires de l’UE, de la Suisse et du Royaume-Uni, il a contribué à empêcher l’entrée illégale de près de 260 000 migrants en 2022.

    Cette visite envoie un message très fort de solidarité en Europe, d’unité et de détermination à protéger la frontière de la Grèce avec la Turquie, qui est aussi la frontière de l’Union européenne avec la Turquie, a déclaré Tákis Theodorikákos. Et je crois que la Turquie doit recevoir ce message fort, celui d’appliquer le droit international.

    La Grèce est en train d’agrandir le mur, en ajoutant un tronçon de 35 kilomètres, l’objectif final étant de l’étendre à la majeure partie de la frontière de 192 kilomètres.

    Athènes a accusé à plusieurs reprises Ankara d’instrumentaliser le sort des migrants, en les encourageant à franchir la frontière pour déstabiliser la Grèce et le reste de l’UE et en coopérant avec les trafiquants. La Turquie reproche pour sa part aux autorités grecques, de refouler violemment les migrants.

    euronews via fdesouche

  • La Grèce condamnée par la CEDH pour le refoulement illégal d’un bateau de migrants, une décision “historique”

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Un arrêt de la CEDH pointe la responsabilité de la Grèce dans le naufrage d’un bateau de migrants, refoulé par les gardes-côtes. Onze personnes avaient perdu la vie. Saluée par les ONG et les associations, cette décision crée un précédent pour d’autres affaires de refoulement de migrants.

    La Grèce vient d’être reconnue responsable par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) du refoulement illégal et mortel d’une embarcation de migrants. Les faits s’étaient déroulés le 20 janvier 2014. Ce jour-là, un bateau de pêche transportant 27 migrants chavire au large de l’île grecque de Farmakonisi, près des côtes turques. Le naufrage se produit lors d’une intervention

    (…) La Croix

    Le 20 janvier 2014, un bateau de pêche transportant 27 migrants avait chaviré au large de l’île grecque de Farmakonisi, près des côtes occidentales turques : 11 personnes dont huit enfants périrent. La CEDH, qui siège à Strasbourg, a condamné jeudi la Grèce pour ce naufrage expliquant que d’après les requérants, «le navire des garde-côtes grecs aurait navigué à une très grande vitesse pour refouler les réfugiés vers les côtes turques, ce qui aurait provoqué le chavirage du bateau».

    Selon le Conseil grec des réfugiés (GCR) ce jugement est «historique» qui pourrait créer «un précédent important» pour d’autres affaires de refoulements de migrants «contraires au droit international». «À l’époque, nous avions l’impression que l’intention (des autorités grecques) était de clore rapidement l’affaire», a souligné Me Maria Papamina, une des avocates des requérants du GCR lors d’une conférence de presse conjointe lundi à Athènes avec d’autres ONG de défense des droits humains. «À la suite de cette décision de la CEDH, la justice grecque va devoir rouvrir le cas et rechercher des responsabilités pénales», a-t-elle ajouté. «Le cas de Farmakonisi crée un précédent judiciaire pour de nombreux cas de refoulements illégaux de migrants en mer Égée et à l’Evros (le fleuve qui marque la frontière terrestre greco-turque ndrl)», a renchéri Konstantinos Tsitselikis, professeur de droit à l’Université de Macédoine et représentant de la Ligue grecque des droits de l’homme.

    Selon la CEDH, les autorités grecques n’ont pas «fait tout ce que l’on pourrait raisonnablement attendre d’elles» pour protéger la vie des exilés. La cour a alloué un total de 330.000 euros aux 16 requérants en soulignant que les autorités grecques «n’ont pas mené une enquête approfondie et effective permettant de faire la lumière sur les circonstances du naufrage». Athènes avait soutenu à l’époque que «l’embarcation était remorquée vers l’île de Farmakonisi pour secourir les réfugiés et le chavirement du bateau a eu lieu en raison de la panique de ses passagers», selon la CEDH. Les autorités grecques ont toujours nié avoir recours aux refoulements illégaux de migrants, qui se sont intensifiés ces trois dernières années, selon médias et ONG. En décembre 2021, la CEDH a demandé à la Grèce de répondre à au moins 32 requêtes concernant quarante-sept demandeurs d’asile qui disent avoir été victimes de «pushback» depuis 2019.

    Le Figaro