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jean-claude rolinat

  • Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».

    Publié par Guy de Laferrière le 06 mars 2024

    Thomas Joly

    Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau politique du Parti de la France : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».
    Au printemps 1967, la Grèce était plongée dans une crise politique et institutionnelle grave. De plus, le Parti communiste, persuadé de sa popularité, se préparait à instaurer un régime marxiste sanguinaire qui finirait d’achever le pays. Il faut rappeler que nous sommes en pleine « guerre froide » et que le « berceau de la démocratie » est entouré de pays, qu’il s’agisse de l’Albanie maoïste ou de la Bulgarie alignée sur Moscou, bien peu « démocrates ». Ajoutez à cela les tensions ancestrales avec la Turquie voisine ravivées par la question chypriote.
    C’est donc pour éviter une telle perspective que, le 21 avril au petit matin, à Athènes, l’armée s’empare du pouvoir. Elle met à la tête du pays une junte de colonels qui, malgré quelques « remaniements », restera aux affaires jusqu’à l’été 1974.
    Cette période n’a pas été épargnée par les bonnes consciences universelles qui l’ont caricaturée tout en s’obstinant à ignorer ce qui se passait alors dans les Balkans voisins. Certes, elle est loin d’avoir été parfaite et nos critiques, autres que celles de la bien-pensance hypocrite, ne manquent pas. Nous sommes loin de l’Espagne du général Franco ou du Portugal du professeur Salazar. Néanmoins, il aurait été dommage de continuer à ignorer cette expérience somme-toute intéressante. Voilà pourquoi nous lui consacrons ce nouveau Cahier d’Histoire du nationalisme.
     
     

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  • LE MONDES DES « COLLABOS » SE PORTE BIEN !

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    Le bloc-notes de

    Jean-Claude Rolinat

    collabos,jean-claude rolinat

    Le 6 février 1945, la République française faisait fusiller l’écrivain Robert Brasillach, coupable d’avoir écrit « des choses pas bien » dans la presse du Paris occupé… Les 10 et 15 octobre suivants, Joseph Darnand – héros des deux guerres, qui avait eu la tragique et malheureuse idée de mettre à la disposition de l’occupant sa force supplétive, la Milice, – et Pierre Laval, qui  commit la stupide et regrettable erreur de « souhaiter la victoire de l’Allemagne » – étaient, eux aussi, passés par les armes. Dont acte.

    Le maréchal Pétain, qui avait fait « don de sa personne à la France » et mis un terme provisoire  au drame  de mai/juin 1940 qu’il n’avait en rien provoqué, échappa de peu à la peine de mort en raison de son grand âge et, surtout, grâce à l’intervention de son ancien protégé, un certain Charles De Gaulle, alors Président du gouvernement provisoire de la République française.

    La justice française dit-elle réellement le droit ?

    Deux exemples. À quoi assistons-nous aujourd’hui ? Le Conseil d’Etat veut éjecter la statue de Saint-Michel, patron entre autre des « paras », hors du domaine public aux Sables d’Olonne, cédant ainsi à la pression d’une petite bande de laïcards invétérés. Hier, la justice condamnait de jeunes identitaires pour avoir, parait-il, « usurpé » à nos frontières  des fonctions régaliennes  que l’État n’exerçait pas. Et pendant que nos juges punissaient des patriotes, les financiers et les équipages de SOS Méditerranée - avec leur bateau l’Océan Viking – pouvaient et continuent sans crainte aucune, de récupérer les clandestins africains rançonnés par des « passeurs », bien tranquillement installés sur les côtes libyennes.

    De l’argent pour financer « l’invasion »

    Mieux, toute une kyrielle d’associations, telles que France Terre d’asile, la CIMADE, le  Lab fraternel, etc…, sous des prétextes humanitaires,aident, conseillent, logent, nourrissent, entretiennent une marée de clandestins hâtivement renommés du terme de « migrants » - c’est plus « chic », ç’est plus émouvant dans l’imaginaire public – et participent ainsi, à actionner quotidiennement les pompes aspirantes d’une immigration non désirée. Sans parler de ces quelques 40 à 50 000 pseudos « mineurs isolés » - on ne sait plus ! - bien protégés par la justice et qui nous coûtent quelques  2 milliards d’euros  par an. Les signaux sont bien perçus en Afrique - continent à la dérive comme nous l’explique si bien le Professeur Bernard Lugan - qui exporte ainsi sa monstrueuse démographie. Alors qu’il suffirait de lancer des messages, comme l’Australie le fait, « No Way » !

    De nouveaux collabos

    Pire, des complices de cette invasion pas toujours pacifique, qui opèrent en dehors de tout contexte d’immigration légale, bénéficient de la clémence de Thémis, alors que des jeunes gens de Génération identitaire - nous venons de le voir - qui avaient occupé d’une manière symbolique un col alpin sans commettre de dégâts ni d’agressions, ont été condamnés.

    L’auteur de ces lignes, voyageur averti, a pratiqué plusieurs cols franco-espagnols et peut témoigner : très souvent - trop – ces passages n’étaient pas contrôlés, tant du côté espagnol – vierges de gardes civils – que du côté français, où aucun képi n’apparaissait à l’horizon. Peut-être CRS, gendarmes et douaniers étaient-ils trop occupés à traquer le fumeur compulsif, qui cherchait à passer en contrebande des cartouches de cigarettes à la frontière franco-andorrane ? N’ayons pas non plus la mémoire courte, ce sont bien les autorités françaises qui autorisèrent l’année dernière, un bateau chargé de clandestins à accoster à Toulon, au fallacieux prétexte  qu’aucun port méditerranéen ne s’ouvrait à lui.

    Sans aller, bien entendu, jusqu’à des mesures « définitives » dont les collaborateurs de 1940-1944 furent les victimes – c’est, bien sûr, volontairement que j’ai pris ces exemple extrêmes - la VRAIE justice ne pourrait-elle pas s’occuper de ceux qui violent les lois françaises, et permettent ainsi l’arrivée illégale d’étrangers trop souvent inassimilables, dans notre pays ? Faciliter l’entrée frauduleuse sur notre territoire, n’est-ce pas un  acte de collaboration à une sorte « d’invasion », même si cette dernière revêt, dans un premier temps, un visage pacifique ? Je sais, croire en cela ou au Père Noël, c’est la même chose. Alors, oui, vite, vite, un Gouvernement National aux manettes de l’État français, pour dire et faire appliquer le droit, bref remettre les pendules à l’heure !

     

    Source : synthesenationale

  • Rencontre avec Jean-Claude Rolinat suite à la parution de ses Mémoires : "17 ans dans les tranchées du FN"

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    synthesenationale

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    Vous venez de publier aux éditions Dualpha, un ouvrage de 360 pages intitulé « 17 ans dans les tranchées du Front national ». Pouvez-vous nous en dire deux mots ?

    Quand on arrive au soir de sa vie et que l’on aime la lecture et l’écriture, que l’on a « des choses à raconter », on a une irrépressible envie de coucher sur le papier ses souvenirs, de faire appel à sa mémoire  pour témoigner, pour rappeler des faits, préciser des actions ou rectifier des versions, bref, brosser aussi quelques portraits. Et puis, c’est aussi l’occasion  de faire revivre une France évanouie- en ce qui me concerne mon « terroir »  Parisien, « couleur sépia », disparu - comme l’enfance qui est une patrie perdue que l’on ne retrouve jamais.

    En dehors des évènements politiques qui vous ont marqué, comme le soulèvement de Budapest ou la fin de l’Algérie française lorsque vous étiez jeune,  vous nous entrainez dans vos expériences municipales et vos démêlés avec la justice et les communistes, sans oublier la descente aux enfers de l’un de vos camarades.

    Ce livre où forcément, je parle un peu de mon enfance et de mon adolescence, aborde mes engagements politiques successifs, mes rencontres, et les batailles menées au coude à coude avec les militants de ce  grand parti que fut le Front national, même si son leader charismatique, Jean-Marie Le Pen, ne nous conduisait pas sur la route du pouvoir ! Si le « chef » l’avait voulu – il en avait le talent et les capacités – il aurait pu, comme tous les autres leaders politiques français, s’enraciner dans un terroir et faire son trou, gravir un à un tous les échelons qui mènent à la fonction suprême. Il a préféré se rendre infréquentable. Oui, si vraiment il avait voulu le pouvoir, il se serait abstenu de toutes ses provocations inutiles, de toutes ces petites phrases assassines qui, certes, faisaient le bonheur du militant de base, mais qui faisaient surtout le beurre du système. D’où cette tragique scission de la fin 1998. Les Mégret, Le Gallou, Martinez et autre Timmermans, voulaient arriver aux affaires, eux, pour changer les choses, pas uniquement servir de vigie, et crier dans le désert... Et moi avec eux. Nous n’avons pas été entendus. On connait la suite. « Une maison divisée contre elle-même, est une maison perdue »….

    Dans ce livre, vous révélez, vous interrogez, vous soulevez des questions, vous émettez des doutes sur des vérités officielles, vous rappelez des actions d’agitprop oubliées ou méconnues du grand public. Mais surtout vous témoignez.

    Avec moi, le lecteur est au cœur du carré des militants, il ressent la chaleur fraternelle qui liaient des gens de toutes conditions, venus de partout, rassemblés par un aimant plus fort que tout : l’amour du pays, la grandeur de la France, le respect dû à ceux qui sont morts pour elle. On est au cœur de National Hebdo et du groupe FN au Conseil régional d’île de France, nous sommes sur les marchés ou aux « collages », on voir passer de grandes et moins grandes figures qui ont fait ce parti. Si le Rassemblement National peut récolter aujourd’hui une belle moisson, c’est que d’autres que ceux qui siègent dans les assemblées actuelles, ont semé, se sont investis, se sont sacrifiés et, parfois, sont morts ou ont connu la prison. Les « 89 » devraient s’en souvenir.

    17 ans dans les tranchées du Front national, JeanClaude Rolinat, Dualpha, 368 pages, 39,00 € (+ 6,00 € de port). Pour le commander cliquez ici

    Les autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là

  • RÉINFO, LE JT DU PDF L'invité du Parti de la France : Jean-Claude Rolinat

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

    Éric Pinel reçoit Jean-Claude Rolinat 

    Journaliste et essayiste


     
     
     
    L'invité du Parti de la France : Jean-Claude Rolinat
     
     
     
     
     
     
     
      
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Jean-Claude Rolinat a été successivement cadre administratif, documentaliste et journaliste dans la presse d’opinion. Il a publié plusieurs ouvrages consacrés à l’histoire contemporaine et rédigé les biographies du général Peron (Argentine), du maréchal Mannerheim" (Finlande), et de Ian Smith (Rhodésie), "Le Canada français, de Jacques Cartier au génocide tranquille" (avec Rémi Tremblay). Dernier livre paru : La Bombe africaine et ses fragmentations, préfacé par Alain Sanders (Éd. Dualpha).