Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 32

  • Un policier de la BAC plaque violemment un homme au sol lors d’un opération antidrogue à Bobigny (93) : six mois de prison ferme et interdiction définitive d’exercice de la profession

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Seine-Saint-Denis. Un policier de la BAC plaque violement un homme au sol : six mois de prison ferme

    Un policier de la BAC a été condamné à 12 mois de prison dont six mois ferme, jeudi 6 mai 2021, par le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour violences volontaires.

    actu.fr via fdesouche

  • Lyon : un tag ciblant Eric Masson et la police du 8e arrondissement retrouvé ce lundi

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Lyon : un tag ciblant Eric Masson et la police du 8e arrondissement retrouvé ce lundi

    Rue Professeur Ranvier dans le 8e arrondissement, on pouvait lire sur un mur : “Balle dans le front pour Eric Masson. Prochaine cible -> BST du 8eme”. L’auteur du message fait donc référence au policier tué à Avignon mercredi dernier lors d’une opération antistup, mais aussi à la brigade spécialisée de terrain du 8e arrondissement lyonnais, dépendante de la DDSP.

    www.lyonmag.com via fdesouche

  • Le 10 mai 1981 fut une date funeste pour la France.

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Le 10 mai 1981 fut une date funeste pour la France.
    L'arrivée au pouvoir des rêveurs qui voulaient "changer la vie", des malfaisants dogmatiques qui croyaient au "sens de l'histoire" par la libération des masses, des ex-porteurs de valise du FLN, des bas-de-plafond de l'économie d'Etat, des amis de la bande à Baader, de Castro et des brigades rouges, des révolutionnaires roses en costume de velours vert, des partisans de l'émancipation globale des "minorités" ethniques, sociétales ou sexuelles, des zélateurs déjà de l'immigration conçue comme un grand brassage nécessaire de l'humanité en marche et d'une philosophie de la vie qui faisait de la délinquance un modèle, des profiteurs de la finance pour un temps alliés aux moscoutaires collectivistes, plongea le Pays dans un maelström dont il n'est jamais sorti.
    Cette victoire ne fut possible que parce qu'elle avait été précédée et accompagnée par la lâcheté politique d'une partie de la droite, par ses reniements, les ambitions personnelles de certains de ses dirigeants, les trahisons de beaucoup, non pas tant envers leurs partis ou leurs militants qu'à l'égard de la France.
    Ne faisons désormais confiance qu'à nous mêmes.
    JFT.
    Peut être une image de rose, monument et plein air
     
     
     
     
     
     
  • Adama Traoré : nouvelle affaire Dreyfus. Carrément !

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Les faits, rien que les faits, comme on dit dans les séries policières. , un jeune homme sans histoires mais pas sans passé judiciaire, est mort en 2016, deux heures après son interpellation mouvementée.

    Trois policiers, mis en cause dans l’enquête sur les circonstances de sa mort (mais pas mis en examen), n’ont jamais été inculpés. Par la suite, Assa Traoré, qu’on ne présente plus, a publié, en 2019, une tribune sur Facebook baptisée « J’accuse » avec une originalité qui lui fait honneur ; tribune dans laquelle elle donne les noms de ces trois gendarmes en leur imputant la responsabilité de la mort de son frère.

    C’est que la justice, quand elle n’est pas rendue dans le sens qui convient, mérite d’être rendue parallèlement. Quelle importance que ces gendarmes soient pour l’instant innocents, qu’ils aient une famille et que leur vie soit, à la suite de cette tribune, sinon mise en danger (quoique), du moins pourrie par la calomnie ? Adama Traoré, tous les médias, toutes les grandes consciences en conviennent, était une victime. Son palmarès long comme le bras, ses deux séjours en prison ? Des broutilles. Le mode opératoire de sa sœur, qui a plus à voir avec la haine obligatoire de 1984 qu’avec  dans l’affaire Calas ? Oh, ce n’est rien d’autre que de la douleur. Assa Traoré serait, en somme, une nouvelle Antigone face à tous les Créon de cette justice raciste, bien connue de nos lecteurs pour son extrémisme de 

    Les faits, le droit et la justice d’un côté ; l’émotion, les vociférations et l’agit-prop de l’autre. On ne sait pas encore qui gagnera. Y aura-t-il un nouveau Castaner pour « comprendre » ce qui n’est rien d’autre qu’une incitation à la violence ? Probablement. Il y aura aussi, c’est certain, des articles dans la presse, des reportages orientés à la télévision publique, des « prises de parole » et peut-être même des « concerts de soutien », si le concept existe encore en ces temps de joies masquées et d’embrassades hydroalcooliques.

    En tous les cas, Assa Traoré était jugée, ce jeudi et ce vendredi, par le tribunal de  pour cette tribune, justement. « Droite à la barre », nous apprend  (Antigone, je vous dis !), elle s’est tenue à sa ligne de défense. « Je suis juste une sœur qui a perdu son frère », a-t-elle déclaré. Les gendarmes qu’elle a jetés en pâture à l’opinion avaient déjà obtenu sa condamnation au civil, en février dernier, pour atteinte à la présomption d’innocence. Heureusement, en tout cas, que les sœurs, frères conjoints ou enfants du policier assassiné cette semaine, du chauffeur de bus massacré à , de la jeune fille traînée sur 800 mètres par des chauffards à , des  énucléés par dizaines sur les Champs-Élysées et de tant d’autres n’ont pas monté de collectif. Il faut dire qu’ils ne cochent pas les cases des indignations médiatiques du moment…

    Clou du spectacle, qui est aussi le dernier sur le cercueil de la décence : on apprend que le sociologue de  (pléonasme) Geoffroy de Lagasnerie vient de déclarer qu’on enseignerait bientôt l’affaire Traoré dans les écoles comme on enseignait aujourd’hui l’affaire Dreyfus. Les parallèles, poursuit ce brave homme – dont chaque intervention, aisément trouvable sur Internet, est un petit miracle de finesse, de bon sens et d’ouverture d’esprit -, sont nombreux. D’un côté comme de l’autre, dit-il, on trouve du  d’État, une justice aux ordres, un combat courageux pour la vérité, etc.

    Ben voyons. Assa Traoré a plus à voir avec Winnie Mandela qu’avec Antigone, et son frère ressemble plus à n’importe quelle petite frappe de quartier qu’à un officier martyr. Le vrai point commun entre les deux affaires, c’est davantage le comportement de la gauche, camp du bien autoproclamé, qui se saisit d’un fait divers isolé pour en faire l’étendard de sa détestation des institutions : hier l’armée, aujourd’hui la justice (qui n’a pourtant pas ménagé sa partialité pour se faire aimer des nouveaux Enragés). Mais apparemment, plus c’est gros, plus ça passe ! C’est même à ça qu’on les reconnaît, comme disait Audiard.

    « Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.

     

    Arnaud Florac

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Ignace – Comment qualifier les meurtres de policiers ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2021

    Auteur : 
    Ignace - Comment qualifier les meurtres de policiers ?
    Ignace – Comment qualifier les meurtres de policiers ?

    Source : medias-presse.info