Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 34

  • “Tu devras un jour en répondre devant Dieu” : ancien aumônier des parachutistes, le père Richard Kalka admoneste le chef d’État-Major des armées

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2021

    Le Père Richard Kalka, ancien aumônier des parachutistes de 1985 à 2015, répond au Chef d’État-Major des armées, François Lecointre, suite à sa prise de position concernant la tribune des généraux publiée dans Valeurs actuelles.

    Au chef d’état-major des armées

    Mon Général, nous nous sommes croisés la dernière fois en juin 2019, au colloque consacré au 25ème anniversaire de l’opération Turquoise. Je ne suis pas très connu dans l’armée française, mais l’armée de terre me connaît, surtout les parachutistes. La plupart des soldats savent qui je suis : celui qui, depuis 1985, les a accompagnés sur tous les théâtres d’opération. Je dis bien « tous », jusqu’à l’Afghanistan, la dernière mission de mon parcours. J’ai toujours répondu « présent » pour être en tant que prêtre, ami et frère d’armes dans n’importe quelles conditions à côté de ceux qui avaient besoin de moi. Dans « la boue, la sueur et la bagarre », comme ils disaient. Et ils étaient nombreux, très nombreux. Il suffit de leur poser la question ; encore faut-il pouvoir le faire, car pour les questionner il faut être près d’eux, à leur côté. Ce qui n’est plus ton cas depuis fort longtemps, même si tu peux t’encenser d’un fait d’armes à Sarajevo, grâce au courage des soldats-marsouins de ta section.

    Comme tu sais, mais tu préfères l’ignorer, nous étions deux ou trois fois sur les mêmes théâtres d’opération. Aujourd’hui, nous sommes aussi ensemble au combat, mais ce combat est d’une autre nature. Tout chef, lorsqu’il doit prendre des décisions importantes, est seul. J’ai connu, à plusieurs reprises, cette solitude des chefs. Dans certains cas, ils m’ont demandé de prier pour eux. Comme aujourd’hui, je prie pour toi. Mais il y a deux catégories de chef et deux sortes de solitude. Le premier est pendu au câble du téléphone et attend les directives venant d’en haut. Quelles que soient ces directives, il les accepte sans broncher, car il ne pense qu’à son avancement. Le second se met devant Dieu et sa conscience, et décide. Oui, je sais, ce n’est pas évident de prendre ce genre de décision, c’est même très dur d’assumer ainsi cette volonté qui pourrait être, et en général, elle est celle du Ciel. Elle vient toujours du Ciel, d’ailleurs, dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur.

    En voulant aujourd’hui punir et sanctionner les soldats – je les appelle « soldats », quel que soit leur grade parce qu’ils ont eu le courage d’aller au feu – tu revêts l’uniforme du premier, celui qui ne pense qu’à lui et son avancement. Es-tu fier ? Quel avancement, puisque tu es au sommet de la carrière militaire ! Je te plains sincèrement. Tu devras un jour en répondre devant Dieu, si tu es croyant. En attendant, tu pourras t’enorgueillir d’avoir cassé tes anciens qui n’avaient pour bouclier, face au pouvoir politique indigne, que leur honneur mué en un cri d’alarme. Et surtout tu pourras te complimenter d’avoir puni sous les feux de la rampe des soldats plus jeunes parce qu’ils avaient osé s’associer à ce cri de désespoir, à la vérité qu’il traduit. Tu pourras te vanter d’avoir en même temps jeté l’opprobre sur les Anciens et sanctionné des Jeunes, à cause de leur courage.

    Valeurs via fdesouche

  • Le maire écolo de Bordeaux signe un partenariat avec SOS Méditerranée et son « Ocean Viking », seul navire de secours aux migrants en Méditerranée centrale

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai2021

    Lundi 3 mai 2021 à l’hôtel de ville, Pierre Hurmic Maire de Bordeaux, Jean-Jacques Puyobrau Maire de Floirac et Edwige Lucbernet, Première adjointe au Maire de Bègles ont signé la charte d’adhésion à l’association SOS Méditerranée en présence de son président François Thomas.

    Des collectivités solidaires

    Au travers de cette démarche, les trois villes s’associent moralement aux actions de SOS Méditerranée, dont l’objectif est de sauver des vies, protéger les rescapés et sensibiliser l’opinion publique sur le drame humain qui se joue en Méditerranée. Bordeaux, Floirac et Bègles rejoignent ainsi la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée qui regroupe aujourd’hui près d’une soixantaine de collectivités françaises. Ce soutien a vocation également à se matérialiser par une convention de partenariat.

    L’engagement

    Bordeaux
    La Ville de Bordeaux a pu, à l’occasion d’une réunion de travail réunissant les représentants de SOS Méditerranée et les élues de la Ville Céline Papin Adjointe au Maire chargée des coopérations territoriales, européennes et internationales, Sylvie Schmitt Adjointe au Maire chargée de l’éducation, de l’enfance et de la jeunesse, Harmonie Lecerf Adjointe au Maire chargée de l’accès aux droits et des solidarités, Tiphaine Ardouin Conseillère municipale pour les relations internes et éthiques et Pascale Roux Conseillère municipale pour la solidarité internationale, travailler à la définition d’actions conjointes en matière d’information et de sensibilisation sur la réalité des parcours migratoires (notamment dans le milieu scolaire) et d’accueil et d’intégration des personnes exilées.

    Floirac
    La Ville de Floirac signe ainsi ce jour une convention triennale de partenariat et de soutien humanitaire avec des obligations réciproques, confirmant une inclusion totale des valeurs et actions portées par l’association au sein-même des politiques éducatives de la Ville. Ces thématiques ont été abordées lors d’un entretien en début d’après-midi entre François Thomas, Jean Jacques Puyobrau et deux de ses adjoints (Jean Claude Galan pour l’éducation et Nathalie Lacuey pour la jeunesse et politique de la ville). L’occasion également d’échanger sur les dispositifs d’éducation à la citoyenneté mis en place.

    Bègles
    A travers la signature de cette charte par Edwige Lucbernet, 1ère adjointe au Maire Clément Rossignol Puech, la Ville de Bègles réaffirme son attachement aux valeurs de solidarité, de générosité, d’accueil et de défense des migrants qui fondent l’action de SOS Méditerranée. Son soutien à l’association se traduira par un vote en Conseil municipal le 18 mai pour l’adhésion de la Ville à la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée. Par ailleurs, l’exposition « Lesbos, la honte de l’Europe » réalisée par l’association béglaise du Théâtre Le Levain, sera présentée à Bègles courant mai sur les grilles du Parc Mussonville. Dans cette île grecque, le camp Moria devint le plus grand camp de réfugiés en Europe abritant plus de 18 000 personnes dans des conditions abominables en décembre 2019. Le camp a été détruit par un incendie en septembre 2020. La vingtaine de photos de l’exposition, issues du fonds de l’AFP, illustrent l’édition hongroise du livre signé par Jean Ziegler (Vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l’Homme des Nations unie) co-éditée par Le Levain.

    L’association SOS Méditerranée

    SOS Méditerranée est une association civile européenne de sauvetage en mer, créée en 2015 et constituée de citoyens mobilisés face à l’urgence humanitaire en Méditerranée. Depuis 2014, plus de 20 000 personnes ont péri en mer Méditerranée, d’après les données de l’Organisation Internationale des migrations, sans compter toutes celles qui ont sombré sans témoin.

    L’action de l’association s’inscrit dans le strict respect et l’application du droit maritime international et du droit humanitaire. Comme le stipule la Convention SOLAS, Convention internationale sur la sauvegarde de la vie humaine en mer, “Tout navire a l’obligation de porter assistance sans délai à une personne en détresse en mer”

    Bordeaux.fr via fdesouche

  • Bordeaux : un migrant camerounais frappe à la porte d’une résidence étudiante, une jeune femme lui ouvre, elle est dépouillée et violée

    Publiépar Guy Jovelin le 08 mai 2021

    Bordeaux : interpellé pour avoir commis un viol sous la menace d’un tesson de bouteille

    Il y a tout juste une semaine, une jeune femme de 18 ans a vécu un calvaire dans son appartement situé dans une résidence étudiante à Bordeaux. Samedi 1er mai, en milieu de soirée, un visiteur frappe à sa porte.

    […]

    Le policier a aussitôt alerté le commissariat central et le suspect a été interpellé par la BAC. Placé en garde à vue, ce camerounais de 21 ans a été confondu par les analyses de la police scientifique.

    L’article dans son intégralité sur Sud-Ouest


  • Travail dissimulé et blanchiment dans le bâtiment, 4 millions d’euros virés vers la Turquie : 14 personnes arrêtées dans trois départements de l’Ouest

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2021

    Quatorze personnes – treize hommes et une femme , pour certaines, en situation irrégulière – ont été interpellées le 4 mai en Vendée, en Loire-Atlantique et en Ille-et-Vilaine. Elles sont soupçonnées d’avoir organisé de la fausse sous-traitance dans le secteur du bâtiment près de Nantes et Rennes pour un total supérieur à 4 millions d’euros. Elles sont soupçonnées de travail dissimulé et blanchiment dans le secteur du bâtiment autour de Nantes et de Rennes. D’après la police, elles ont agi entre septembre 2018 et avril 2021.

    L’organisation, créée de toute pièce, reposait sur quatre sociétés fictives. “Dépourvues de matériel et de locaux, ces sociétés facturaient de fausses prestations de sous-traitance à des entreprises du bâtiment“, explique le parquet de Rennes. L’étude des comptes bancaires des sociétés fictives a permis de mettre en évidence des virements à des personnes physiques “ne faisant l’objet d’aucune déclaration sociale obligatoire et se trouvant, pour certaines, en situation irrégulière sur le territoire national”. Les virements, estimés à plus de 4 millions d’euros, ont fait l’objet de mandats à destination de la Turquie.

    Parmi les treize hommes et la femme arrêtés, trois ont été placés en détention provisoire, dont un ressortissant turc âgé de 43 ans, soupçonné d’être à la tête des sociétés fictives. Les onze autres sont placés sous contrôle judiciaire.

    France Bleu via fdesouche

  • Coup d’arrêt de la Suède à l’idéologie trans

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2021

    La très progressiste Suède donne un coup d’arrêt à la très progressiste idéologie du genre ou quand le réel rattrape l’irréel.

    Tout comme dans le reste de l’Europe, voire du monde occidental déchristianisé et sans repère, la propagande arc-en-ciel travaille à un rythme forcé pour imposer les diktats de l’univers arc-en-ciel, mais des nouvelles arrivant d’Europe du Nord contredisent complètement le dogme de genre du « changement de sexe » comme moyen de bonheur. La Suède a en effet décidé d’arrêter les bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 16 ans.

    Les traitements pour bloquer le développement de l’adolescent sont liés à « des conséquences indésirables importantes et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Avec un communiqué de presse de l’hôpital Karolinska, un hôpital universitaire du comté de Stockholm, la Suède progressiste met un terme à l’idéologie trans en protégeant les mineurs de moins de 16 ans.

    Il s’agit d’un tournant important qui rejette sans réserve l’idée que les adolescents atteints de dysphorie de genre doivent subir des procédures préliminaires de réassignation sexuelle. Plus précisément, l’hôpital a défini les traitements pour bloquer le développement des adolescents souffrant de dysphorie de genre comme « controversés » et potentiellement liées à des « conséquences néfastes étendues et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Pour cela, la Suède se démarque à la fois des lignes directrices du Wpath (acronyme qui signifie World Professional Association for Transgender Health), et du soi-disant « protocole néerlandais ».

    Ce dernier est une méthode développée depuis des années dans une clinique près d’Amsterdam, le VU Medical Center, qui prévoit également, pour le traitement de la dysphorie de genre chez les adolescents,  la « suspension de la puberté » dès l’âge de 12 ans. En fait, la valeur du protocole avait déjà commencé à craquer en décembre dernier, lorsque la Haute Cour britannique, statuant sur le cas de Keira Bell, a jugé qu’il était hautement douteux que les adolescents puissent pleinement comprendre les risques et les conséquences à long terme de certains traitements, exhortant les médecins à consulter un juge s’ils ont des doutes sur l’administration d’hormones et de bloqueurs de puberté aux jeunes.

    Depuis pas mal de temps déjà certains scientifiques et médecins suédois se posaient des questions : un enseignant à Göteborg, Christopher Gillberg, dans une intervention dans le journal Svenska Dagbladet, avait défini le traitement et la chirurgie des mineurs comme « une grande expérience », une expérience, avait également ajouté Gillberg, qui risque de devenir l’un des pires scandales médicaux du pays. Par la suite, d’autres experts se sont déclarés sceptiques quant au « protocole néerlandais ». Angela Sämfjord, psychiatre pour enfants et adolescents à l’hôpital universitaire de Sahlgrenska, qui, depuis 2016, avait commencé à suivre cliniquement les enfants et les adolescents intéressés par le « changement de sexe », avait cessé deux ans après, pour des raisons de science et de conscience. « En tant que médecin, je n’étais pas prête à prendre le risque », a expliqué Sämfjord, « de causer du tort à ces patients. J’en ai tiré les conséquences et j’ai démissionné ».

    Pendant ce temps, à l’échelle nationale suédoise, la courbe des jeunes renvoyés dans les cliniques pour le traitement de la dysphorie de genre, en déclin depuis quelques années, a continué de baisser. Preuve qu’une attitude d’extrême prudence gagnait du terrain en Suède depuis un certain temps. Avec la note de l’hôpital Karolinska, cependant, la prudence s’est transformée en certitude : en hommage au principe de précaution, aux enfants « trans » ou présumés tels, la puberté ne doit en aucun cas être arrêtée pharmacologiquement, plus maintenant.

    Après le Royaume-Uni et la Suède, il serait peut-être temps que le reste de l’Occident commence à repenser le transgenre ? Quel sens cela a-t-il culturellement, avant même que cliniquement, de poursuivre sur une voie que les pays les plus laïcs de la planète regardent désormais avec méfiance ? Plutôt que de donner une couverture juridique à l’identité de genre en tant que « perception de soi », peut-être serait-il approprié de prendre l’exemple des États qui, avant d’autres, ont emprunté la voie des « nouveaux droits » pour ensuite, aujourd’hui, constater que tout ce qui brille n’est pas d’or.

    « Les couleurs festives de l’arc-en-ciel dissimulent plusieurs ombres ».

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info