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  • L’hôpital de Montélimar en grève contre le passe sanitaire liberticide

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2021

    La petite phrase assassine du ministricule Véran, a dû en galvaniser plus d’un contre le passe sanitaire.

    Il y a quelques jours, devant la Commission des lois de l’Assemblée nationale, le pédant ministre de la Santé et des « ex »-solidarités avait cru de bon goût de mépriser le cri de douleur du partie du monde médical décidé à quitter leur métier à cause du passe de la honte : « Je n’y crois pas ! Il y a énormément d’élan vaccinal [au sein des soignants]. Ce n’est pas parce que vous voyez un infirmier ou une aide-soignante qui fait une vidéo pour dire, en pleurant, qu’elle va quitter son boulot parce que le vaccin elle en a peur que ça veut dire que c’est un mouvement collectif», avait-il affirmé.

    Mal lui en a pris, car ce n’est pas une simple petite infirmière mais tout un hôpital, celui de Montélimar, qui a décidé de se mettre en grève illimitée.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Tyrannie sanitaire macronienne : Hôpitaux, trains, ces services publics interdits aux non-vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2021

    Taxables et corvéables à merci, de nombreux Français, depuis cette nuit 22-23 juillet 2021, se voient dorénavant interdits d’user de certains services publics, subventionnés pourtant par les impôts, taxes et charges sociales qu’ils payent.

    Monter dans un Intercités, un TGV, que ce soit pour des motifs professionnels ou de loisirs, se rendre à l’hôpital pour une consultation médicale ou voir un enfant ou un parent, un ami hospitalisé, ne sera plus possible sans le fameux sésame de la tyrannie macronnienne en marche, le passe sanitaire.

    « Le principe d’égalité » inscrit dans la Charte des services publics de mars 1992 qui « implique qu’aucune distinction ne soit faite entre usagers quant à l’accès au service public comme au service rendu lui-même. Chacun doit être à même de bénéficier des prestations du service public sans se trouver en position d’infériorité en raison de sa condition sociale, de son handicap, de sa résidence, ou de tout autre motif tenant à sa situation personnelle ou à celle du groupe social dont il fait partie » est tout bonnement remisé au placard.

    L’interdiction d’entrée dans les hôpitaux sans passe sanitaire restera dans l’histoire comme un des actes les plus ignobles du gouvernement Macron, de son ministricule Véran et de son parlement aux ordres. Alors que durant la journée du 22, les députés saisis par une illumination de bon sens avaient supprimé l’obligation du passe sanitaire liberticide pour entrer dans les hôpitaux et Ehpad, contre l’avis du gouvernement à 70 voix pour, 67 contre, après des heures de marathon pour discuter des plus de 1000 amendements déposés pour contrer le projet de loi gouvernemental, et après avoir sermonné ses troupes, le gouvernement, Veran en tête, a fait revoter l’Assemblée Nationale à 5h du matin en seconde délibération l’obligation du « passe de la honte » dans les hôpitaux qui a finalement été adoptée.

    Parallèlement, les mêmes députés ont rejeté un amendement prévoyant la mise en place du sésame pour accéder à l’Assemblée Nationale, au Sénat et aux conseils régionaux et départementaux tout en adoptant l’article premier du projet de loi Sanitaire qui prévoit la généralisation du passe sanitaire, et prolonge l’Etat d’urgence sanitaire jusqu’au 31 décembre à 132 voix pour, 106 contre. Ils ont également voté un amendement gouvernemental qui permet la suspension du contrat de travail, et le licenciement des salariés assujettis au passe sanitaire qui refuseraient de s’y soumettre par 114 voix pour, 94 contre.

    Commentaire d’un conseiller d’un ministre important :

    « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes [n’étant pas vaccinées]. Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde aux non vaccinés. »

    La folle volonté macronnienne n’a aucun garde-fou : nous basculons en tyrannie !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les Israéliens récalcitrants aux vaccins mettent l’étoile jaune

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    La technique est connue : afin de ne pas répondre au fond du problème du passe sanitaire liberticide, de ne pas s’interroger sur la privation de libertés fondamentales, la bien-pensance covidienne qui trône sur les plateaux télé détourne l’attention sur la scandaleuse étoile jaune portée par les résistants à la vaccination forcée avec des produits géniques expérimentaux que veut imposer le petiot Macron. Et crie à l’antisémitisme, ce qui n’a rien à voir pourtant avec le problème des injections anti-covid. Et fait ainsi l’amalgame entre les anti-passe sanitaire et l’antisémitisme, afin de diaboliser les premiers.  

    Pourtant à y regarder de plus près ce sont les Israéliens eux-mêmes, vivant dans l’Etat hébreux, qui ont ressorti, lors des manifestations pro-liberté à Tel-Aviv, en février dernier, l’étoile jaune pour témoigner de leur opposition au passeport vert, le premier nom donné au passe sanitaire.

    Question au grand rabbin de France Haïm Korsia qui « évoque des amalgames dangereux » sur Europe 1 : ces Israéliens seraient-ils donc minés par un antisémitisme primaire quand ils comparent le passe sanitaire actuel, qui interdit aux non-vaccinés restaurants, cinémas, trains, emplois, aux mesures d’interdictions similaires édictés par le régime nazi en Allemagne contre les Juifs ?  

    N’y-a-t-il pas là pas un même principe de ségrégation envers les Juifs hier, les non-vaccinés aujourd’hui ?

    Il y a des comparaisons qui en disent plus qu’un long discours…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie défie l’UE sur la loi de protection des mineurs par rapport à la propagande arc-en-ciel

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    Comme il l’avait fait en 2016 pour rejeter les quotas de migrants décidés par l’Union européenne, Viktor Orbán n’a pas peur de la confrontation avec Bruxelles et appelle le peuple hongrois à se prononcer. Cette fois, l’affrontement avec l’UE concerne la loi pour la « protection des mineurs » et réprimant la pédophilie qui réglemente l’information sur la communauté Lgbtqi+ (lesbienne, gay, bisexuelle, trans, intersexe, queer, asexuelle, etc.). Le Premier ministre Orbán annonce un référendum sur la question : « Quand la pression contre notre patrie est si forte, seule la volonté commune du peuple peut défendre la Hongrie. »

    Entrée en vigueur le 8 juillet, la loi interdit de montrer ou de promouvoir, à l’école et dans les médias, des contenus qui représentent « des écarts par rapport à l’identité correspondant au sexe assigné à la naissance » si les destinataires sont mineurs. La mesure, jugée discriminatoire par l’UE, a été qualifiée de « honteuse » par la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen à tel point que Bruxelles a ouvert une procédure d’infraction contre la Hongrie, a reporté l’approbation du Fonds de relance (7, 2 milliards d’euros) à destination de Budapest et envisage l’introduction de sanctions après que le Parlement européen a voté une résolution exhortant l’Union à engager une action en justice contre le pays.

    Gouverné par la majorité absolue du Fidesz, le parti nationaliste et conservateur, la Hongrie souveraine fait peur à l’Europe mais n’entend pas reculer. Et choisi de s’en remettre à un référendum, faisant confiance aux Hongrois pour voter en faveur de cette loi.

    Le référendum est composé de cinq questions.

    1ère : « Soutenez-vous que les mineurs devraient suivre des cours sur le thème de l’orientation sexuelle sans le consentement des parents ? »

    2e : « Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de genre chez les mineurs ? »

    3e : « Soutenez-vous que la chirurgie de changement de sexe devrait être disponible pour les mineurs ? »

    4e : «Soutenez-vous que le contenu médiatique qui influence le développement sexuel devrait être présenté aux mineurs sans restrictions ? »

    5e et dernière : « Faites-vous valoir que les contenus multimédias décrivant le changement de genre devrait être montré aux mineurs ? ».

    L’invitation du Premier ministre est de toujours voter « Non ».

    « C’est une initiative pour détourner l’attention des troubles du gouvernement hongrois », attaque l’opposition en citant le scandale Pegasus : des milliers d’hommes politiques, d’opposants et de journalistes également espionnés sur lequel l’UE a également lancé une enquête pour espionnage. L’appel de la minorité de gauche est de boycotter le référendum, qui veut « dresser les Hongrois les uns contre les autres » et utilise des mineurs à des « fins de propagande vile ». Mais quand il s’agit de dresser vaccinés contre non-vaccinés, cette conscience morale bien-pensante et arc-en-ciel universelle n’a rien à redire…

    En 2016, bien que le référendum n’ait pas atteint le quorum requis (seuls 43,2 % des votants), il avait quand même donné un signal politique fort. 98% des Hongrois qui s’étaient rendus aux urnes avaient en effet dit « Non », nous ne voulons pas que l’UE « impose des quotas sur les allocations de migrants à chaque pays membre, sans consulter le gouvernement et le parlement national et souverain hongrois ».

    Le nouveau référendum pourrait donner le même signal fort à l’Union Européenne avec une large majorité de votants pour le maintien de la loi pour la protection des mineurs et réprimant la pédophilie.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Terrorisme : la France menacée par Al-Qaïda, les préfets appelés à la vigilance cet été

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    C’est un appel très ferme à la vigilance face à un message d’une grande « virulence ». Dans un télégramme à destination des préfets daté du 21 juillet que Le Parisien a pu consulter, le directeur de cabinet du ministère de l’Intérieur alerte sur le risque élevé de passage à l’acte contre la France.

    En cause, une nouvelle vidéo de menaces visant la France. Elle est signée Al-Qaïda, via As-Sahab, sa « société médiatique ». Le directeur de cabinet de la place Beauvau, Pierre de Bousquet, pointe un « potentiel de diffusion important » de ces images en arabe, sous-titrées en anglais « consacrée(s) en intégralité à condamner le blasphème incarné par les caricatures de Mahomet ».

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien