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  • Elbeuf (76) : la nouvelle commissaire de police ne viendra pas, elle est mise en examen pour trafic de drogue en Seine-Saint-Denis

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    La commissaire qui devait prendre la tête du commissariat d’Elbeuf ne viendra pas. Elle est mise en examen pour trafic de stupéfiants en Seine-Saint-Denis depuis le 1er juillet.

    Christophe Urien assurant la sécurité sur le Tour de France en attendant de prendre son poste de directeur adjoint à l’École nationale de police de Oissel, une nouvelle commissaire aurait dû le remplacer à la tête du commissariat d’Elbeuf.

    Manque de « chance », cette femme de 44 ans ne viendra pas non plus. Le 1er juillet, elle a été mise en examen pour « transport, détention, offre ou cession, acquisition et emploi de stupéfiants et participation à une association de malfaiteurs », bref trafic de drogues, indique le site actu.fr qui rapporte l’information.

    Placée sous contrôle judiciaire, « elle ne viendra pas chez nous » s’est bornée à indiquer la Direction départementale de la sécurité publique.

    Paris-Normandie via fdesouche

  • Pour la 4ème fois en un an, la Hongrie va être jugée par la Cour de justice de l’UE pour sa politique anti-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    Pour la quatrième fois en un peu plus d’un an, la Hongrie va être jugée par la Cour de justice de l’Union européenne pour sa politique anti-migrants. La Commission européenne a saisi jeudi cette juridiction, reprochant au gouvernement du conservateur Viktor Orban d’avoir “illégalement restreint le droit d’asile”, sous couvert de lutter contre la crise sanitaire.

    La Hongrie va devoir une nouvelle fois faire face à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). Telle est la décision de la Commission européenne qui a assigné jeudi 15 juillet le pays dirigé par le conservateur Viktor Orban.

    La Commission reproche aux autorités hongroises d’avoir “illégalement restreint l’accès” au droit d’asile au prétexte de la lutte contre la pandémie de Covid-19. 

    (…)

    Info Migrants Source : fdesouche

  • La commission européenne est un sphincter secrétant des interdictions

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    La commission européenne est un sphincter secrétant des interdictions

    La Commission européenne, dirigée par Sofa (surnom acquis depuis un passage chez M.Erdogan), a encore eu une diarrhée normalisatrice :

    Des taxes, des normes : comment, vraiment, a-t-on pu créer une telle entité (la « grosse Commission », comme joliment dit dans le numéro d’été 2021 de Causeur) aux fonctions sphinctériennes aussi développées ? Il y a là matière… à réflexion.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le pape restreint fortement l’usage de la messe en latin

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    Dans son Motu Proprio, François rappelle que «l’unique expression» du rituel de messe latine est celle du Concile Vatican II. Il donne aux seuls «évêques» locaux, par «compétence exclusive», l’autorisation de célébrer selon l’ancien rite avec des conditions très strictes.

    Mais il fixe pour cela des conditions :

    – que le «groupe» en question «n’exclut pas la validité et la légitimité» de la réforme liturgique du Concile Vatican II, du concile Vatican II et du magistère des Papes.

    – qu’un lieu ou plusieurs soient définis dans le diocèse pour cette messe selon l’ancien rite mais «pas dans les églises paroissiales et sans ériger de nouvelles paroisses personnelles».

    – que les lectures de ces messes soit lues en langue vernaculaire, celle du pays et non en latin, selon les traductions établies par la conférence épiscopale.

    – qu’un prêtre, soit nommé par l’évêque, comme «délégué de l’évêque» pour ces célébrations et pour le «soin des fidèles».

    – qu’un contrôle soit réalisé par l’évêque dans toutes les paroisses personnelles (paroisses spéciales déjà constituées avec autorisation de célébrer le rite préconciliaire) pour «évaluer si elle seront maintenues ou pas».

    – que l’évêque «aura soin de ne pas autoriser la constitution de nouveaux groupes».

    Le pape François demande aussi aux prêtres ordonnés «après la publication » de ce motu proprio et qui veulent célébrer selon l’ancien rite, «de faire une demande formelle à l’évêque» qui «avant de donner l’autorisation consultera le Siège Apostolique» donc Rome. Quant aux prêtres qui célèbrent déjà dans cette forme, ils devront «demander à l’évêque l’autorisation pour continuer ».

    Le Figaro via fdesouche

  • Vaccin, climat, instruction : mais jusqu’où iront-ils ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    Ca devient lassant… et terriblement inquiétant : cette manière de nous menacer à tout bout de champ ! Car enfin, à en croire les , les Jean-Christophe Lagarde et autres Jean-François Carenco – le président de la Commission de régulation de l’énergie -, il nous reste fort peu de temps.

    climat,instruction,mais où iront-ils?,vaccinPour vivre libres d’aller où nous voulons, de choisir ce qui est bon ou non pour nos enfants, de manger autre chose que de la nourriture vegan et de produire autrement que de l’énergie verte.

    Ce satané Covid aura décidément marqué le déclin de nos libertés individuelles. Nous voici rendus à la phase de l’injonction vaccinale demain imposée au personnel soignant. Qu’apparemment ni l’appel au devoir civique, à la morale ou même à la responsabilité collective n’a convaincu. Passé, en quelques jours, du « statut de héros à celui d’assassin », selon le bon mot de Julien, infirmier, qui se confie à Slate : « Cela donne l’impression d’un retour du paternalisme médical, du genre “Nous, nous savons ce qui est bien pour vous et sinon, c’est la punition”. »

    Une punition bien sévère en perspective puisque, d’ici peu, Julien et ses collègues se verront donc contraints d’accepter les Moderna, Pfizer ou autres sous peine de perdre leur emploi…

    Après les soignants, ce sera sans nul doute le tour des autres récalcitrants. Avec, à la clef, la crainte du gendarme. Sans complexes, Xavier Bertrand, sur un plateau télé, « souhaite que l’on développe beaucoup plus vite le . Pour dire à ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, et pas seulement les soignants, qu’ils ne peuvent pas nous mettre en risque. Et que s’ils font le choix de ne pas se faire vacciner, alors ils doivent savoir qu’ils n’auront pas la même liberté que les autres. » Nul besoin d’avoir « fait Saint-Cyr » pour comprendre entre les lignes : pas de , de salles de spectacles, de voyages, voire d’accès aux bureaux ou aux écoles pour les « antivax ». Carrément ! On se croirait revenu à l’époque des tribunaux révolutionnaires. Les mots d’un Saint-Just dans la bouche d’un candidat à l’élection présidentielle…

    Le plus grave, c’est que cette façon de faire a ses émules. Jusque dans le domaine énergétique. On savait certains automobilistes interdits bientôt de circuler dans Paris car coupables de balader des véhicules trop polluants. Mais c’est, à présent, les anti-éoliens qui sont dans la ligne de mire de Jean-François Carenco. Ce père des éoliennes en mer ne manque pas d’arguments pour vendre son produit sur LCI : « Que ceux qui ne veulent pas des éoliennes soient privés d’électricité. La promesse d’une énergie abondante et disponible pour tous est une promesse républicaine, il faut en accepter les contraintes. »

    Pendant ce temps-là, à l’Assemblée nationale, un autre débat fait rage : celui de l’instruction des enfants dans les familles. Interdire ce mode de scolarisation au nom de la lutte contre le « séparatisme » pour ne pas dire «  ». Et tant pis si le Sénat a reconnu lui-même qu’« aucun chiffre n’a été présenté pour relier l’IEF [instruction en , NDLR] à des pratiques radicalisées ». La bonne santé de la République vaut bien la liberté de choix des parents…

    Le pire est à craindre. L’homme semble être devenu un loup pour l’homme. Notre partisan de l’éolien se défend : « Produire de l’énergie, ça crée des désagréments. Est-ce que, ensemble, on accepte un certain nombre de désagréments pour que tous ensemble nous vivions un peu mieux ? » Voilà bien tout le nœud de l’affaire : quels principes de précaution valent que l’on sacrifie nos libertés sur l’autel de l’intérêt collectif ?

    Or, il viendra bien un jour où tous ces punis, ces parias, ces exclus et ces sanctionnés perdront totalement de vue la nécessité de contribuer à l’effort collectif qui ne les concernera plus. Ils refuseront de payer l’impôt. Et ce gouvernement aura la monnaie de sa pièce.

     

    Sabine de Villeroché

    Juriste

    Source : https://www.bvoltaire.fr/