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  • Covid-19 : Gabriel Attal distingue deux France, les opposants au pass sanitaire, une «frange capricieuse et défaitiste, très minoritaire» et l’autre «laborieuse et volontariste»

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    Après la pédagogie, puis le durcissement des mesures, l’exécutif assène les coups. Dimanche, dans une interview au Parisien, le porte-parole du gouvernement s’en est violemment pris aux manifestations organisées en opposition à l’extension du pass sanitaire, annoncé lundi dernier par Emmanuel Macron et qui sera au menu du Conseil des ministres du 19 juillet.

    Gabriel Attal a ainsi distingué deux France. D’après lui, l’une est “laborieuse et volontariste, [et] veut mettre le virus derrière elle et travailler“. Cette dernière, “largement majoritaire“, est à distinguer d’une autre, “une frange capricieuse et défaitiste, très minoritaire, qui se satisferait bien de rester dans le chaos et l’inactivité“. “Entre les deux, il y a évidemment des Français qui doutent sincèrement, à convaincre“, a-t-il toutefois concédé.

    Pour Gabriel Attal, la lutte face au virus n’est désormais possible qu’à condition de protéger l’ensemble de la vaccination grâce au vaccin. “Il faut être clair : dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral, il n’y a pas d’alternative“.

    LCI via fdesouche

  • 2022 : pourquoi 382 élus locaux LR et PS soutiennent les mesures de Macron

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    Dans une tribune publiée dans le JDD, 382 élus de toutes sensibilités, mais pour beaucoup issus des rangs de la droite, applaudissent le tour de vis sanitaire donné lundi par Emmanuel Macron. Mais pas seulement. “Sur le plan économique, nous partageons également les orientations annoncées, la priorité donnée au travail, à la production et au mérite“, ajoutent-ils. C’est donc désireux “d’agir ensemble pour la France” que ces élus locaux affirment soutenir “les actions que vient d’annoncer” le chef de l’État.

    Notre conviction est que nous vivons un moment de bascule comme l’Histoire en offre parfois. ” affirment les signataires.

    Parmi les signataires, nombre de maires de droite qui avaient déjà fait mouvement vers le Président : Christian Estrosi (Nice), Christophe Béchu (Angers), Karl Olive (Poissy), Caroline Cayeux (Beauvais). Mais d’autres viennent se greffer à ce courant tenté de longue date par le macronisme : le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc ; celui de Limoges, Émile Roger Lombertie ; Stéphane Beaudet, vice-président du conseil régional d’Île-de-France, dirigé par Valérie Pécresse ; la présidente du département des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal ; ainsi que ses homologues de Seine-Maritime, de la Réunion ou de Guadeloupe. À noter : le maire du Havre, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, sollicité, n’a pas signé ; mais plusieurs de ses proches l’ont fait. […]

    La pêche, en réalité, se révèle un peu moins fructueuse à gauche, même si parmi les prises figurent les maires PS de Dijon et de Créteil, François Rebsamen et Laurent Cathala. C’est donc d’abord en direction de la droite que “la poutre travaille” toujours, selon l’expression utilisée par Édouard Philippe pour indiquer que la recomposition politique engendrée par l’élection de Macron n’était pas terminée. De fait, les stratèges de la Macronie persistent à creuser le sillon tracé en 2017. Mais, désormais, sur la base d’un double constat : la faiblesse de La République en marche, la formation présidentielle, constatée à l’occasion des régionales de juin ; le rejet croissant par l’opinion de la forme partidaire.

    Nombre de proches du chef de l’État caressaient, depuis un ou deux ans, l’ambition de bâtir en vue de 2022 une grande “confédération” macroniste, sur le modèle d’une UDF 2.0 : agréger une kyrielle de groupuscules, d’Agir (l’aile droite de la majorité) à Territoires de progrès (son aile gauche) autour d’un môle central, LREM, et de son allié puissant, le MoDem de François Bayrou, afin de ratisser le plus largement possible. Ils ont donc changé leur fusil d’épaule pour miser non sur une formation politique, mais sur un seul homme : le Président. […]

    Texte de la tribune

    le JDD

  • Préparation des prochaines élections

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

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    leblogalupus

  • Nous sommes bistrotiers pas policiers

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

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    leblogalupus

  • L’obligation vaccinale : une nouvelle religion ?

    Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021

    leblogalupus

    Publié par Antonin Campana sur 16 Juillet 2021

     
    L’obligation vaccinale : une nouvelle religion ?

    Si j’ai bien compris l’allocution de l’autre, je ne pourrai plus aller au restaurant, au café ou au cinéma. Je ne pourrai plus prendre le train ou l’avion.

    Je ne pourrai plus aller voir ma mère en EHPAD !!!

    Je ne pourrai plus me faire soigner !

    Et il faudra que j’accepte que mes enfants et mes petits-enfants se fassent bientôt injecter un produit expérimental dont les fabricants ont décliné toute responsabilité en cas de problème à court, moyen ou long terme.

    Putain, on se révolte quand ???

     

     

    Martin Blachier: « Aujourd’hui il y a une guerre et cette guerre est contre les antivax et je le dis clairement, ce sont des gens qui n’ont aucun scrupule ! Ces gens sont aussi dangereux que d’autres groupuscules ! » (LCI, 14 juillet 2021).

    Ce discours est-il un discours digne d’un médecin, d’un “homme de science“ ? On croirait entendre un militant politique, ou plutôt un Josué prêt à envoyer ses troupes sur Jéricho afin d’y massacrer une humanité perverse, femmes, enfants et vieillards compris. La guerre dont parle Martin serait-elle une guerre de religion ? Une guerre sainte contre des « antivax » par nature malfaisants et dangereux pour la vraie foi vaccinale ?

    En fait, tout montre, dans cette affaire vaccinale, qu’il n’est question que de foi.

    Une foi en un Vaccin, sorte de Dieu jaloux qui, par l’action brutale de ses sectateurs, a renvoyé au rang des mythologies les « faux dieux » que sont l’Hydroxychloroquine ou l’Ivermectine.

    Une foi en un Dieu unique qui a forcé à l’oubli des divinités archaïques : vitamine D, zinc ou plein air.

    Une foi en l’injection, sacrement et baptême par lequel le fidèle affirme publiquement son espérance en la toute puissance du nouveau Dieu.

    Il s’agit bien de foi, et cette toute puissance fait partie du Credo. Mais que sait-on objectivement  de cette puissance ? Sait-on seulement si le Dieu censé la manifester auprès des croyants de la Nouvelle Eglise sera pour ceux-ci un Dieu bénéfique ou bien… un Dieu nuisible ? Mauvaise question pour le nouveau clergé : « croyez en Lui et vous serez sauvés » est un autre article du Crédo.

     Certains disent pourtant que ce Dieu est Satan en personne et qu’il faut à tout prix refuser son baptême maléfique ! Il est vrai que ceux-là sont des grands prêtres d’avant, des sommités des anciennes religions, autrefois couverts d’honneur, aujourd’hui bafoués par de petits bedeaux servant la nouvelle messe sur les écrans de télévision.

    Et puis il y a maintenant la croisade, la guerre sainte, celle qui diabolise l’incroyant, l’avilit, le stigmatise, le condamne, le renvoie à son caractère pervers et « sans aucun scrupule ». Il faut lui interdire les lieux que fréquentent les fidèles, dit Macron (il pourrait les « contaminer »). L’idéal serait sans doute de le confiner et de l’isoler dans quelque ghetto, pense tout bas le Très Saint-Président de la République. Car il est « dangereux » surenchérit le vertueux Martin. Il ne faut pas le soigner s’il est malade affirme l’immaculé Jean-Christophe Lagarde.  

    S’appuyant sur une logique biblique de la pureté et de l’impureté corporelle, les gens du Moyen-âge excluaient de la société les « cagots », qui selon eux étaient susceptibles de véhiculer la lèpre. Pour le philosophe Christian Delacampagne, cette exclusion fut une des « incarnations majeures du racisme médiéval ». Or, Emmanuel Macron a réactivé ce « racisme médiéval » en substituant les non-vaccinés aux cagots. Nous noterons qu’il utilise les mêmes arguties religieuses de la pureté et de l’impureté biologique. Il semblait pourtant qu’elles avaient été définitivement invalidées par la médecine de la fin du XVIe siècle ! Qui a dit que l’histoire ne se répétait pas ?    

    Dieu unique, foi en son infinie puissance, baptême par injection (et non plus immersion), anathème jeté à l’infidèle, exclusion des hérétiques, croisade contre les impies, promesse de paradis (sanitaire) pour les fidèles, enfer (social) pour les infidèles, évangélisation (médiatique), discriminations fondées sur la religion (professions interdites aux infidèles : soignants, restaurateurs, etc.)  : nous sommes bien face à une nouvelle religion hégémonique (et totalitaire),  révélée par des prophètes médiatisés de la Science.

    Pour les inquisiteurs covidistes, faire usage de sa raison et de bon sens, douter en un mot, revient à manifester une sorte de possession démoniaque. Comme la sorcière du Moyen-âge, les inquisiteurs modernes considèrent que par le simple fait d’exister, le non-vacciné inflige des maux au vacciné. Il faut donc faire disparaître les non-vaccinés de l’espace public. Il faut les éradiquer, soit par la conversion (en les « évangélisant » de manière à en faire des vaccinés), soit par l’exclusion (interdictions de certains lieux, de certaines professions, isolement, etc.).

    Ne croyez pas que cette comparaison médiévale soit déplacée. Un Martin Blachier est la version moderne d’un Torquemada. Fondamentalement sa certitude d’être dans le Bien et sa volonté d’éradiquer le Mal sont les mêmes que celles de l’inquisiteur. La Bulle gouvernementale contre l’hérésie antivax le fortifie encore dans sa foi.

    Attention aux bûchers !

    Antonin Campana

    http://www.autochtonisme.com/2021/07/allocution-de-micron-putain-on-se-revolte-quand.html