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  • Lyon (2e arr.) : des habitants attaqués au mortier, les immeubles d’habitations visés, il s’agirait une “action punitive” contre les riverains qui se plaignaient de l’insécurité dans le quartier

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

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    Ce jeudi matin, LyonMag réalisait le bilan de la nuit de la Fête Nationale, avec notamment des incidents dans l’est lyonnais. Mais selon plusieurs témoins, des débordements ont aussi éclaté dans le quartier de la Confluence, dans le 2e arrondissement de Lyon. 

    Selon nos informations, un groupe de jeunes individus ont d’abord attaqué ce mercredi soir le collège Jean-Monnet situé rue Seguin, à quelques mètres de la caserne de gendarmerie du Général de Division Delfosse. Le groupe serait passé par les rails de la SNCF pour se positionner à l’arrière de l’établissement et caillasser les baies vitrées. Plusieurs d’entre-elles ont été brisées. Les faits se seraient déroulés durant le feu d’artifice tiré à Lyon, pour mieux couvrir le bruit des vitres qui tombaient. 

    (…) Cette fois, ce sont des immeubles d’habitations qui ont été visés avec des tirs de mortiers d’artifice. Des violences filmées par des riverains alors choqués, d’autant que certains étaient la cible directe de menaces de la part des agresseurs.

    (…) Ces attaques pourraient être le résultat d’une “action punitive organisée par une vingtaine de personnes cagoulées” après que des habitants du quartier se soient plaints de nuisances depuis plusieurs mois, et notamment des rodéos et des trafics de stupéfiants. Des plaintes ont été déposées, des enquêtes sont en cours. “On ne peut pas faire venir des milliers de personnes dans le quartier sans mettre un policier, ou des travailleurs sociaux supplémentaires” déplorait un riverain au lendemain des faits. 

    Lyon Mag via fdesouche

     

  • Des Nantais manifestent pour dénoncer l’explosion de l’insécurité dans leur ville et le laxisme de la justice : « Pourquoi les agresseurs sont-ils immédiatement relâchés ? »

    L’insécurité et la justice sont au cœur de leurs actions. (…) Le groupe S2N (Sécurité de Nantes) organise un rassemblement, place Royale, pour « dire stop à l’insécurité » et demander des moyens à la justice de poursuivre et condamner les personnes qui nuisent à la sécurité. Le rassemblement est suivi d’une marche vers le palais de justice.

    « Aujourd’hui, notre ville ne connaît pas une seule journée sans que de multiples agressions se produisent. Vol à l’arraché, vol en réunion, passage à tabac, agression à l’arme blanche, tirs de mortier d’artifice, etc. », dénonce le groupe S2N (Sécurité de Nantes).

    Guillaume, fondateur de l’association S2n ne décolère pas : « Ça continue. C’est même de pire en pire. La semaine dernière, il y a eu des tirs de mortier en pleine terrasse de centre-ville. »

    (…) Les membres de S2N demandent « à la justice, représentée localement par le procureur de la République de Nantes, de réagir. Nous ne pouvons accepter qu’un individu soit arrêté, après de multiples délits, puis immédiatement relâché, et ce plusieurs fois par semaine. Vous pouvez mettre toujours plus de policiers dans les rues, si la justice ne se donne pas les moyens de poursuivre et condamner les personnes qui nuisent à notre sécurité, cette situation n’arrêtera pas de se dégrader ».

    Sur la place Royale, ils se demandent « pourquoi ils ne sont pas punis. Pourquoi ils ne sont pas arrêtés ? Pourquoi ils sont immédiatement relâchés ? Pourquoi il n’y a pas de poursuite ? Pourquoi ? Que fait la justice ? On veut des réponses. » Le mini cortège doit se diriger vers le tribunal.

    (…) Ouest-France via fdesouche

  • 17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular — Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), Unión General de Trabajadores (UGT), Parti communiste d'Espagne (PCE), Confédération Nationale du Travail (CNT), Parti ouvrier d'unification marxiste (POUM) — et la multiplication des exactions, grèves, incendies d'églises plongeant l'Espagne dans le chaos révolutionnaire rouge et noir.
    Soutenue par la Phalange et les organisations carlistes, l'armée d'Espagne prend ses responsabilités.
    Au delà des seules tribunes.
    JFT.
    Peut être une image de 1 personne, position debout, monument et plein air
     
     
     
     
     
  • Covid-19. Chine : interdits d’université, d’hôpital ou de supermarché… les non-vaccinés menacés d’être mis au ban de la société

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

     

    Interdits d’université, d’hôpital ou de supermarché… Des millions de Chinois sont menacés d’être mis au ban de la société s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19, selon des directives adoptées par une vingtaine de collectivités locales.

    La Chine, où le coronavirus a fait son apparition à la fin de 2019, a déjà administré plus de 1,4 milliard de doses de ses vaccins et prévoit d’immuniser totalement les deux tiers de sa population d’ici à la fin de l’année. Mais nombre de Chinois ne sont pas convaincus, soit qu’ils doutent de l’efficacité des vaccins, soit qu’ils ne jugent pas nécessaire de le faire puisque l’épidémie est pratiquement éradiquée dans le pays.

    Mais alors que le variant Delta, plus contagieux, circule dans les pays voisins, plusieurs villes et comtés tentent d’imposer la vaccination à leurs habitants — une démarche qui pourrait annoncer des mesures prises au plan national. Dans le Yunnan, la ville de Chuxiong (510.000 habitants) a ainsi annoncé mercredi 14 juillet au soir que tous les citoyens de plus de 18 ans devraient avoir reçu au moins une dose de vaccin avant le 23 juillet. Les récalcitrants «ne seront pas admis dans les lieux publics tels que hôpitaux, maisons de retraite, écoles, bibliothèques, musées, prisons ou transports publics», a averti la mairie. Un mois plus tard, seules les personnes ayant reçu deux injections pourront accéder à ces lieux.

    Dans le Henan, le comté de Tianhe a pour sa part menacé de licencier les fonctionnaires non vaccinés d’ici au 20 juillet, selon un avis publié lundi. Ces différentes mesures ont été critiquées sur les réseaux sociaux. «D’abord on nous a dit que la vaccination était facultative et maintenant ça devient obligatoire», tempête un internaute sur le réseau Weibo. «Je viens d’avoir ma deuxième dose mais cette politique ressemble à un oukase», se plaint un autre utilisateur.  […]

    Le Figaro via fdesouche