Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 18

  • « Times of Israël » révèle que Bornstein a été changé en Borne

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Il est toujours surprenant de voir les médias israéliens et le médias communautaires juifs se précipiter pour souligner l’appartenance au judaïsme de telle ou telle personne qui prend de l’importance sur la scène politique, économique ou culturelle. Toute presse non communautaire qui ferait la même chose serait aussitôt taxée d’antisémitisme. Cela rappelle qu’une blague juive racontée par un juif autorise à rire, tandis que la même blague racontée par un non-juif vous impose de prendre un regard désapprobateur car témoigne d’un antisémitisme évident. Et défense de critiquer cette étrange et incohérente ligne de démarcation.

    Nommée Première ministre, Elisabeth Borne, 61 ans, a donc fait l’objet d’un article du Times of Israël que nous nous bornerons à citer.

    Times of Israël écrit qu’Elisabeth Borne « est née le 18 avril 1961 dans le 15e arrondissement de Paris du mariage de Joseph né Bornstein avec Marguerite Lecesne, une pharmacienne du Calvados« .

    En 2015, le journal Libération rapportait que son père était un Juif d’origine russe né dans une famille réfugiée en France en 1939. L’homme a été résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, et a été déporté fin 1943.

    Selon le site ajpn.org (« Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France »), Joseph Bornstein est né le 2 mai 1924, à Anvers, en Belgique. Il a été arrêté le 25 décembre 1943 à l’âge de 19 ans suite à une dénonciation. Il a alors été transféré à Drancy puis emmené à Auschwitz par le convoi 66 le 20 janvier 1944. Il est revenu en France le 11 avril 1945 après la libération du camp nazi.

    Il a opéré en tant que résistant à partir d’avril 1943 dans la région grenobloise, membre du Mouvement de la jeunesse sioniste. De novembre 1943 au 20 décembre 1943, il a été chargé de convoyer des jeunes de Grenoble vers le maquis de Biques.

    Il n’a été naturalisé Français qu’en 1950, et Joseph et Marguerite Borne ont, après la guerre, dirigé un laboratoire pharmaceutique.

    Auprès de Libération, sa fille expliquait avoir ressenti une certaine émotion quand, préfète, elle avait remis pour la première fois à un citoyen son décret de naturalisation. « Que moi, la fille de ce réfugié apatride, qui n’a été français qu’en 1950, j’accomplisse ce geste, cela disait quelque chose sur l’intégration », avait-elle expliqué.

    (…) Divorcée et mère d’un enfant, elle a par ailleurs fait part de son judaïsme dans une courte interview en 2021 au micro de Frédéric Haziza, lors de la soirée d’anniversaire de Radio J.

    « C’est une communauté qui est la mienne, qui a participé à l’histoire de la République, et qui a toute sa place dans la République », avait-elle alors déclaré.

    Sa nomination à Matignon a conduit à plusieurs messages antisémites sur les réseaux sociaux, tandis que Joël Mergui, président du Consistoire de Paris, ou encore Francis Kalifat, directeur du CRIF, l’ont félicitée.

     

    Source : medias-presse.info

     

  • La variole est homophobe

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    La variole est homophobe

    A l’occasion de la journée mondiale pour la promotion des rapports contre-natures, les institutions et autres entreprises rivalisent de drapeaux arc-en-ciel et de chartes LGBT. Mais l’Organisation mondiale de la santé s’inquiète concernant les cas de variole du singe détectés depuis début mai, notamment dans la communauté homosexuelle.

    Après le Royaume-Uni, l’Espagne et le Portugal ont annoncé ce mercredi à leur tour avoir recensé plus d’une quarantaine de cas suspects ou confirmés de variole du singe, une maladie rare en Europe. 23 cas suspects de cette maladie virale (“monkeypox”), endémique en Afrique de l’Ouest, ont été recensés dans la région de Madrid. Il s’agit d’une maladie peu fréquente, qui se manifeste généralement par de fièvre, douleurs musculaires, ganglions lymphatiques enflés et éruption cutanée sur les mains et le visage, comme une varicelle.

    “Généralement, la transmission se produit par voie respiratoire, mais ces 23 cas supposés d’infection laissent penser que la transmission a eu lieu par les muqueuses pendant les relations sexuelles”. “Ces cas, pour la majorité des jeunes, tous de sexe masculin, présentaient des lésions ulcéreuses”.

    Depuis le 6 mai, sept cas ont été identifiés au Royaume-Uni, dont quatre cas chez des personnes s’identifiant comme “homosexuelles, bisexuelles ou des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes”.

    Mais que fait SOS Homophobie ?

     

    Source : lesalonbeige

  • La lutte des classes a changé de costume : le « marxisme économique» a muté en un «marxisme culturel», le marxisme est devenu wokisme

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    La lutte des classes a changé de costume : le « marxisme économique»  a muté en un «marxisme culturel», le marxisme est devenu wokisme

    Sur son site, le père Joël Guibert publie une réflexion sur le wokisme. En voici un extrait :

    Nous savons tous que la « lutte des classes » est le principe idéologique sur lequel reposait le marxisme bolchévisme de l’union soviétique. Mais beaucoup pensent à tort que cette fameuse lutte des classes appartiendrait à un passé définitivement révolu, les démocraties libérales actuelles s’étant définitivement débarrassées de ces vieilles lunes. Rien n’est moins sûr comme nous voudrions le montrer. La lutte des classes a seulement changé de costume : le « marxisme économique» de l’Union soviétique a muté en un «marxisme culturel»au sein des démocraties libérales, le marxisme est devenu wokisme. La grille de lecture idéologique demeure la même, le wokisme empruntant les costumes de l’indignation face aux injustices, la lutte contre les discriminations, l’égalitarisme, en somme une « hyper-morale » à la sauce libérale-libertaire.

    Pourquoi prévenir de cette menace de l’idéologie woke ? Tout simplement parce que la Mère de Dieu l’a fait… nous voudrions seulement relayer les mises en garde de ce divin « lanceur d’alerte » qu’est la très sainte Vierge-Marie. Nous nous appuierons pour cela sur deux apparitions majeures qui ont eu lieu au cours du XX° siècle : Fatima au Portugal (1917) et Kibého au Rwanda (1981), toutes deux reconnues officiellement. Après avoir écouté ces avertissements célestes, nous tenterons de pénétrer dans les arcanes du wokisme afin d’en montrer les ressorts secrets et débusquer les subtils et graves dangers. Au terme de notre parcours nous proposerons quelques réflexions pour les catholiques qui ne veulent pas se laisser laminer par ce tsunami dont la vague intimidante s’amplifie de jour en jour comme on le constate dans l’actualité.

    Extrait de la conclusion :

    Notre capacité à souffrir au nom du Christ et de notre foi se teste dès maintenant. En terre démocratique, nous ne sommes pas encore confrontés au martyre du sang, mais à un martyre apparemment plus gentil : le martyre du ridicule, de l’ostracisation, du mépris du monde, « le martyre médiatique », a pu dire un cardinal français lors d’une visite ad limina à Rome il y a quelques années. Aujourd’hui, un catholique qui ne voit pas clairement les subtiles dérives totalitaires des démocraties libérales-libertaires, c’est le signe qu’il est déjà croqué par cet « ami qui lui veut du bien », qu’il est déjà « vendu » au monde. Si nous n’avons pas encore été taxé de rétrograde, d’intolérant ou considéré comme un « sauvage » comme dans le roman d’Aldous Huxley, interrogeons-nous, il est très vraisemblable que les arrêtes de notre foi se soient dangereusement émoussées.

    Patientons, peut-être plus tôt qu’on l’imagine, lorsque l’homme moderne commencera à être fatigué des mensonges de la modernité, la parole de l’Église lui apparaîtra soudainement très moderne : « Le caractère inactuel de l’Église qui cause d’une part ses faiblesses – elle est refoulée à l’écart – peut être aussi sa force. Sans doute les hommes peuvent-ils sentir qu’il est nécessaire de s’opposer à l’idéologie banale dominant le monde, et que l’Église peut précisément être moderne en étant antimoderne, en s’opposant à l’opinion commune. À l’Église incombe un rôle de contradiction prophétique », suggérait le Cardinal Ratzinger il y a plusieurs années.

     

    Source : lesalonbeige

  • La difficile cohabitation des cultures en prison : « Les islamistes regardaient les corses d’un mauvais oeil car ils les associaient à des types attachés à leur terre et à leur culture, pas très accueillants envers l’étranger. »

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Au coeur de ces tensions au sein du milieu carcéral, deux communautés principales se distinguent, mises en lumière lors du meurtre d’Yvan Colonna en mars dernier : les nationalistes corses et les islamistes. (…) “Beaucoup les regardaient d’un mauvais œil, surtout les islamistes, car ils les associaient à des types attachés à leur terre et à leur culture, pas très accueillants envers les étrangers”, abonde David, “convaincu” que l’affaire Colonna va aggraver la situation.

    Les tensions entre ces deux groupes ne sont pas nouvelles. Au milieu des années 1990, l’institution pénitentiaire est confrontée à un processus de “pluralisation religieuse”, avec l’arrivée de détenus islamistes et terroristes. “Ces derniers vont progressivement se constituer en communauté, et remplacer celles des pays de l’Est alors majoritaires, qui n’étaient pas centrées sur la religion”, débute Meyer, chercheur spécialisé dans la lutte contre la radicalisation islamiste en milieu carcéral, qui tient à garder son nom de famille secret, pour des raisons de sécurité. “Une fois installés, ils vont commencer à organiser des prières collectives durant les promenades, se coopter dans les ateliers de travail, et exercer des pressions sur les autres détenus pour encadrer la vie en détention”, complète un ancien directeur de plusieurs établissements pénitentiaires, qui souhaite garder l’anonymat.

    Mais les Corses, eux, ne vont pas céder si aisément. “Ce sont ceux qui ont montré le plus de résistance, et ce alors que beaucoup de détenus se sont convertis à l’Islam, 25 % à partir de 2010”, évalue Meyer, qui tire ces chiffres d’études empiriques menées dans cinq maisons centrales. Depuis, les conflits entre ces communautés perdurent, tout comme le prosélytisme. D’après les chiffres de l’administration pénitentiaire en septembre 2021, sur les quelque 68 000 personnes incarcérées, 600 seraient des détenus “de droit commun suspectés de radicalisation” (DCSR).

    “Créer un rapport de force”

    La dimension religieuse n’est cependant pas la seule à structurer les relations carcérales. Le racisme, par exemple, produit aussi des oppositions. “Dans un établissement pénitentiaire sur lequel je travaillais, les Noirs rejetaient totalement les Arabes, car ils estimaient qu’ils avaient joué un rôle fondamental dans l’esclavage de leurs ancêtres. Dans une autre structure, les Noirs africains s’opposaient cette fois aux Noirs des Dom-Toms, qu’ils accusaient d’être pires que les Blancs concernant le mépris qu’ils portaient sur leur continent”, développe Farhad Khosrokhavar, sociologue et directeur de recherche à l’EHESS. Avant d’ajouter : “La prison peut même créer des formes communautaires qui n’existent pas à l’extérieur. Un détenu blanc m’avait ainsi confié qu’il s’était regroupé avec d’autres Blancs, parce qu’ils étaient minoritaires. Ils se percevaient alors comme les vrais représentants de la nation, contrairement aux autres, qui étaient à leurs yeux des étrangers”.

    (…)

    L’Express via fdesouche

  • Ukraine : Emmanuel Macron promet à Volodymyr Zelensky d’intensifier les livraisons d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

     

    Elles «se poursuivront et gagneront en intensité dans les jours et semaines qui viennent, de même que l’acheminement d’équipement humanitaire», a promis le président français qui, ce faisant, honore des engagements pris en avril dernier.

    A l’époque, Volodymyr Zelensky avait remercié la France pour ses «envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne», et Emmanuel Macron avait assuré que cet appui continuerait. Depuis le début de l’offensive russe, le 24 février, la France a livré plus de 800 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine, dont 13 véhicules de secours additionnels ce week-end.

    Les échanges entre les deux chefs d’Etat ne sont toutefois pas toujours sans reproche. Le 12 mai dernier, Volodymyr Zelensky a ainsi accusé son homologue français de vouloir ménager une «porte de sortie» à Vladimir Poutine dans le conflit. Le président ukrainien estimait alors qu’Emmanuel Macron n’avait «pas besoin de faire de concessions politiques» à la Russie.

    La présidence française avait répliqué que le locataire de l’Elysée «n’a jamais rien discuté avec Vladimir Poutine sans l’accord du président Zelensky» et, ce mardi, la relation entre les chefs d’Etat français et ukrainien semblait à nouveau au beau fixe.

     

    Source : lesmoutonsrebelles