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  • Pénuries alimentaires, la guerre à venir ?

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Très intéressant documentaire. A juste titre, le réalisateur Armel Joubert des Ouches se demande comment il est possible qu’un pays comme la France, qui disposait autrefois d’une très importante paysannerie, se retrouve aujourd’hui à la merci de pénuries alimentaires.

     

     
     
  • Scandale judicaire : agression mortelle du chauffeur de bus à Bayonne, les Assises écartées

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Dans l’affaire du conducteur de bus de Bayonne, Philippe Monguillot, le juge d’instruction, en l’occurrence une femme, a décidé de ne pas suivre les réquisitions du parquet. Les deux principaux accusés sont renvoyés devant la cour criminelle pour violences volontaires en réunion, et non devant la Cour d’assises pour meurtre.

    Le conducteur de bus de 58 ans Philippe Monguillot fut tué dans l’exercice de sa profession le 5 juillet 2020 à Bayonne. Ce jour-là, Philippe Monguillot travaillait sur la ligne 1 du Trambus. Vers 19 heures, alors qu’il se trouve au niveau de l’arrêt Balichon, ce dernier sort de sa cabine et souhaite contrôler le titre de transport d’un groupe de personnes. Il leur demande également de porter un masque de protection obligatoire à bord, dans le contexte de pandémie de Covid 19. Une altercation éclate et Philippe Monguillot est frappé plusieurs fois, avant d’être laissé inconscient sur le sol. La victime est transportée à l’hôpital en état de mort cérébrale. Il décèdera le 10 juillet suivant. Le conducteur du tram, a été massacré par Mohamed C., Mohammed A., Moussa B. et Selim Z.  

    Alors que le parquet de Bayonne avait, le mois dernier, transmis ses réquisitions et demandé le renvoi des quatre accusés devant la Cour d’assises, la juge d’instruction a décidé de requalifier les poursuites, apprend-on ces dernières heures.  

    Les deux principaux suspects, âgés de 24 et 25 ans, sont suspectés d’être à l’origine de la mort de Philippe Monguillot. Ils sont désormais poursuivis pour « violences volontaires en réunion ayant entrainé la mort sans intention de la donner » et seront jugés devant la cour criminelle où ils risquent 20 ans de réclusion et non plus la perpétuité. La Cour criminelle est composée de cinq magistrats professionnels et non pas de jurés populaires. Également, la peine maximale dans ce cadre de juridiction est de vingt ans de réclusion, contrairement à la perpétuité dans le cadre d’une cour d’assises conventionnelle. En avril, le parquet de Bayonne avait pourtant demandé le renvoi aux assises pour homicide volontaire aggravé.

    Requalification aussi pour les deux autres hommes de 36 ans et 42 ans poursuivis dans cette affaire. Ils avaient été remis en liberté mais étaient toujours mis en examen pour « non-assistance à personne en danger ». Le trentenaire échappe à toute poursuite. Le dernier est finalement poursuivi pour avoir fourni un logement aux deux principaux accusés après les faits. Le juge d’instruction avait terminé ses investigations en mars dernier, clôturant ainsi l’enquête. Néanmoins, le parquet de Bayonne peut faire appel de cette requalification.

    Interrogée par Le Figaro, « Véronique Monguillot, veuve de la victime et mère de famille, fait part de sa totale incompréhension : « franchement avec un dossier comme ça, comment on peut requalifier les faits ?» s’interroge-t-elle en référence au réquisitoire du parquet. « On a suivi la procédure depuis le début, on est atterré, on est meurtri encore une fois de plus » raisonne-t-elle, avant de citer à nouveau des « arguments forts pour le renvoi, dans le dossier. Il y a des témoignages poignants noir sur blanc, mais cela va devenir une affaire de bagarre qui a mal tourné ? » s’indigne la veuve du chauffeur, la voix nouée. Elle s’interrompt… puis pleure franchement : « Je ne comprends plus rien! Je suis trop anéantie ! Ce matin une de mes filles part à son examen de BTS, à nouveau détruite par ce que l’on apprend ! On ne peut pas nous faire ça ! ». La femme, qui maintient la mémoire de son mari notamment par le biais d’une association, en appelle au gouvernement qui devrait être nommé cette semaine : « Les ministres [des précédents gouvernements] avaient parlé d’un crime abject, avaient dit qu’il fallait punir sévèrement les auteurs ! Il faut que le gouvernement agisse !». »

    Alexandre Novion, l’avocat de madame Monguillot, annonce faire appel de la décision de l’instruction. « L’affaire a soulevé une grande indignation populaire, or l’angle retenu, c’est d’enlever les jurés. Mais quand bien même on arrache les ronces des passions et que l’on se concentre sur les faits, il y a suffisamment d’éléments justifiant que les accusés soient jugés pour meurtre, c’est-à-dire pour obtenir un débat public déterminant si les intentions sont meurtrières. Les faits vont dans le sens d’une mise en doute », explique l’avocat, qui revient sur « la chaîne de violence qui a été constatée, qui montre que ces gens ont été jusqu’au-boutistes, concentrant leurs coups sur le visage. Nous avons également une bande-son démonstrative sur leurs intentions » souligne-t-il.

    Comme l’a rappelé dernièrement au micro d’André Bercoff sur Sud Radio, Pierre-Marie Sève, président de l’Institut pour la Justice, en pointant du doigt l’immigration-invasion et le laxisme proprement scandaleux de la justice :

    « La France est le pays le plus criminogène d’Europe après la Biélorussie ! »

    On comprend pourquoi la France détient ce beau palmarès…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La reddition d’Azovstal est actée… après le 9 mai, jour de la victoire en Russie

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Azovstal, le bastion de la résistance ukrainienne du bataillon Asoz, et en arrière-plan de l’OTAN sous domination des Etats-Unis et de son vassal, l’Union Européenne, est tombée. La reddition de l’aciérie est actée malgré les dénégations des autorités ukrainiennes de ces derniers jours et la prétention de Zelensky, le président de l’Ukraine et des commandants réfugiés dans Azovstal, que les combattants « lutteraient jusqu’à la mort ».

    Aujourd’hui, Moscou annonce qu’un peu plus de 900 soldats ukrainiens ont rendu les armes et se sont constitués prisonniers depuis lundi 19 mai. Parmi eux les blessés graves ont été envoyés dans l’hôpital de Novoazovsk et d’autres soldats vers Olenivka, deux localités du Donbass sous contrôle russe afin de recevoir des soins, ainsi que promis par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov qui a ajouté que les soldats « seront traités en conformité avec le droit international ».

    L’ordre de se rendre, ou l’autorisation de déposer les armes, aux combattants d’Azovstal par Zelensky est arrivé après le… 9 mai, jour symbolique pour la Russie célébrant la victoire sur les armées allemandes en 1945.

    Cette reddition survenue après ce 9 emblématique soulève quelques interrogations. Ce conflit guerrier qui oppose la Russie aux Etats-Unis par pays interposé l’Ukraine, se double d’une guerre médiatique tout aussi belliqueuse. Pour l’OTAN, il fallait empêcher que ce jour-là la Russie puisse revendiquer la conquête de Marioupol, ville symbole du conflit (à tel point que les Ukrainiens, le jour où ils ont capitulé à Azovstal, ont, en même temps, annoncé que la prochaine édition de l’Eurovision s’y tiendrait …).

    Ainsi, alors que la Russie tenait ses réjouissances, les médias occidentaux pouvaient encore parler de la résistance de Marioupol, des « héros » d’Azovstal, du bombardement russe de l’aciérie, etc. Une fois les réjouissances terminées, le gouvernement ukrainien a magnifiquement abandonné les assiégés, qu’il avait soutenus jusqu’à la veille, ces derniers leur promettant de ne jamais abandonner.  

    Le blog de géopolitique italien Piccole Note en dit plus sur cette reddition :

    « Il a fallu quelques jours de plus aux combattants du bataillon Azov pour négocier la reddition, c’est-à-dire tenter de quitter les aciéries en hommes libres ou, alternativement, être traités comme des prisonniers de guerre ordinaires, c’est-à-dire éviter d’être jugés pour crimes de guerre. » En effet, les combattants du Bataillon Azov sont poursuivis par la justice russe pour les atrocités innommables commises entre 2014 et le déclenchement du conflit actuel, avec d’autres chefs d’inculpation survenus pendant la guerre elle-même.

    « A ce jour, on ne sait pas ce qu’il adviendra d’eux, précise l’auteur de l’article. A ce sujet, il convient de noter que ces derniers jours, la narration du pseudo-procès organisé par les autorités ukrainiennes d’un jeune soldat russe accusé de crimes de guerre s’est répandue dans les médias occidentaux.

    « Un théâtre mis en place avec un timing précis : il sert, en effet, à proposer aux Russes un échange de prisonniers (peut-être pas le soldat jugé, dont le sort pourrait maintenant être brûlé, mais d’autres qui pourraient suivre) ; l’échange, c’est-à-dire entre des criminels de guerre réels ou présumés contre des analogues capturés par la partie adverse. »

    Parmi les réfugiés de l’Azovstal, affirme Piccole Note « il semble qu’il y ait aussi des ‘‘volontaires’’ de pays étrangers » dont des pays appartenant à l’Alliance :

    « Aviapro cite des témoignages qui révéleraient la présence de trois soldats britanniques vétérans d’Afghanistan, tandis que David Arakhamia, le conseiller de Zelensky, a déclaré au Times of Israel la présence de ‘‘40 héros juif’’, une annonce qu’un article de Haaretza ensuite mise en doute. »

    En effet cela fait désordre que des juifs aillent combattre à côté d’un bataillon qui se revendique de la doctrine nazie :

    « L’exercice du journaliste du Haaretz est compréhensible : l’annonce d’Arakhamia, en effet, semble quelque peu embarrassante pour Tel-Aviv, à la fois parce que le pays n’est pas formellement en guerre contre la Russie, et à cause de la collaboration de ces héros avec les néonazis d’Azov. »

    Parmi les motifs qui ont conduit à cette capitulation, qui n’aurait pu qu’advenir à court terme sauf à attendre la mort de faim, de soif et de blessures de tous les soldats ukrainiens enterrés dans Azovstal, il faut également souligner la rencontre téléphonique entre les ministres de la Défense russe et américain, Sergej Shoigu e Lloyd Austin le 13 mai dernier, au cours de laquelle il était question d’un « cessez-le-feu ». Même si l’on ne sait pas si la reddition des assiégés a été consentie à cette occasion, elle peut être légitimement présumée.

    « Si oui – et c’est le cas soutient Piccole Note – cela signifie que, sur certains aspects essentiels du conflit, les Russes et les Américains, les vrais duellistes de cette guerre par procuration, peuvent encore trouver une convergence. Cela contribuera à la gestion du conflit et, le cas échéant, à favoriser sa résolution (malheureusement pas encore à l’horizon). »

    La conquête d’Azovstal « a donné à Moscou le contrôle total d’une vaste étendue du sud de l’Ukraine, s’étendant de la frontière russe à la Crimée, car les forces russes semblent renforcer leur emprise sur les parties du sud qu’elles avaient initialement conquises lors du début de leur invasion » écrit le New York Times.

    Moscou a ainsi établi une continuité territoriale entre la Crimée et le reste de la Russie (la Crimée est désormais russe, il est inutile d’en discuter) : c’est-à-dire qu’elle a atteint l’objectif premier de l’invasion.

    « Ainsi, si l’Amérique le voulait, analyse le journaliste italien de Piccole Note, la guerre pourrait se terminer ici et maintenant, l’Ukraine reprenant fièrement le contrôle de Karkhiv, ayant prouvé sa valeur – vraie ou prétendue – au monde, et la Russie sécurisant ledit territoire, pouvant revendiquer une victoire, quoique réduite par rapport aux attentes. »

    Mais, car il y a un mais, « cette guerre par procuration est trop lucrative pour beaucoup (voire quelques-uns), tant au niveau géopolitique qu’économique et financier, d’où sa persistance féroce, avec les tragédies mondiales qui en découlent. Ainsi, par exemple, sur la BBC : le président de la Banque mondiale, David Malpass a averti que la guerre pourrait provoquer une ‘‘catastrophe humanitaire’’, car ‘‘la hausse record des prix des denrées alimentaires peut réduire des centaines de millions de personnes à la pauvreté et à la faim’’. »

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Parlement suisse – « Comment se fait-il que Swissmedic autorise un vaccin contenant un composant non autorisé pour l’être humain? », demande une élue

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Suisse – Madame Yvette Estermann, conseillère nationale (UDC/LU), a déposé une interpellation importante.

    « Comment se fait-il que Swissmedic autorise un vaccin contenant un composant non autorisé pour l’être humain? », a-t-elle demandé.

    Le texte de son interpellation :

    https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20223057

    Le processus d’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin est complexe. L’Institut suisse des produits thérapeutiques (Swissmedic) emploie de nombreux collaborateurs à cet effet, placés sous la direction de M. Claus Bolte.

    Un spécialiste a découvert une irrégularité dans le vaccin de Pfizer-BioNTech. La fiche de données de sécurité du fabricant (7 décembre 2021) relative au produit  » Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine  » énumère en effet tous les composants du produit, dont le  » ALC-0315 2036272-55-4 « , un lipide (un corps gras non hydrosoluble) dont le rôle principal est celui de transporteur du principe actif (cf. Klaus Langer, » mRNA- und DNA-Impfstoffe : Nanotechnologie der COVID-19 Vakzinen « , Pharmazeutische Zeitung, 11 avril 2021, p. 4, www.pharmazeutische-zeitung.de/nanotechnologie-der-covid-19-vakzinen-124828).

    Le lipide ALC-0315 peut être obtenu auprès de l’entreprise Cayman Chemical sur le site biomol.de. Dans les informations sur le produit, dans sa description détaillée, on lit l’avertissement suivant en gras sous le titre  » Maniement et sécurité  » (site en allemand et en anglais) :  » Attention. A des fins de recherches et d’analyses de laboratoire uniquement. Ne doit pas être administré à des êtres humains !  » (www.biomol.com/de/produkte/chemikalien/lipide/alc-0315-cay34337-25).

    1. Comment se fait-il que Swissmedic délivre une autorisation de mise sur le marché pour un vaccin qui contient un composant expressément non adapté pour une administration à l’être humain ?

    2. Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Italie – Revirement médiatique et focus sur les effets secondaires des « vaccins » contre le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Impossible de passer devant un kiosque à journaux en Italie, sans tomber sur la revue PANORAMA. Et là gros choc pour les habitués des médias du Système, la couverture du magazine Panorama  est entièrement consacrée aux effets indésirables très nombreux des « vaccins » anti-Covid, effets secondaires non correctement évalués et pire… le plus souvent ignorés. Que vont penser les « vaccinés » de ce revirement ???

     

    Source : medias-presse.info