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  • Refus d’obtempérer à Bourges (18) : Une voiture fonce sur des policiers et renverse l’un d’entre eux, un agent a ouvert le feu

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    D’après le syndicat de police UNSA, une voiture aurait foncé sur des policiers tôt ce matin à Bourges. L’un d’entre eux aurait été percuté, avenue Jean Jaurès.

    Des policiers auraient été attaqués à Bourges ce samedi 30 juillet, d’après le syndicat de police UNSA. Les faits se seraient déroulés vers 5h45, avenue Jean Jaurès. Les forces de l’ordre effectuaient des contrôles de véhicules à proximité d’une discothèque, quand une voiture serait arrivée soudainement, “moteur hurlant”, précise le syndicat.

    Elle se serait mise à accélérer brusquement vers les policiers. L’un d’entre eux aurait fait usage de son arme et tiré quatre fois en direction du véhicule. Mais les tirs n’auraient pas arrêté le conducteur, qui aurait alors percuté un agent.

    D’après l’UNSA, le policier a été transféré à l’hôpital.

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Tribunal de Perpignan : déjà condamné 10 fois, cet Algérien, arrivé en France comme mineur isolé, détroussait les gens endormis sur la plage

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    Après avoir été reconnu par plusieurs victimes et un témoin, trouvé porteur des objets qui venaient d’être dérobés, il s’obstine à nier. Mal lui en prend.

    (…)

    Le suspect est aussitôt traduit devant le tribunal pour y répondre de l’ensemble de son œuvre car, en plus, il a donné une fausse identité aux forces de l’ordre.

    Il n’a que 20 ans mais son casier judiciaire est déjà noirci de 10 mentions.

    Il ne peut nier avoir été en possession des objets dérobés, mais affirme que deux inconnus l’ont abordé pour lui demander de les garder… S’il a sorti un couteau c’est parce que des gens ont voulu le frapper…

    Face à une procureure qui requiert 6 mois ferme, Me Bretonnet, raconte l’histoire de son client : Algérien, il est arrivé en France en 2016, comme mineur isolé. Mais quand il est devenu majeur, les aides ont cessé, il s’est retrouvé sans ressources. “En 2020, il a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire, je m’étonne qu’elle n’ait pas produit ses effets, on n’en serait pas là ! Maintenant il va être expulsé. Alors la détention est-elle nécessaire ?””

    L’Indépendant via fdesouche

  • Afrique du Sud : accusés de prendre les emplois des Sud-Africains et de nourrir la criminalité, les immigrés zimbabwéens «poussés dehors»

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    La communauté d’immigrés zimbabwéens, estimée entre 1,5 et 3 millions de personnes, est la cible de violences xénophobes mais aussi d’un durcissement de la politique migratoire.

    La première fois qu’on a rencontré Lise, un homme était en train de lui crier qu’elle n’avait rien à faire en Afrique du Sud. Qu’elle ferait mieux de retourner « chez elle », au Zimbabwe. Autour, un attroupement s’était formé. Les regards étaient hostiles. Le groupe avait organisé une opération de « nettoyage » des étrangers dans le township d’Alexandra, à Johannesburg. Son nom : « Opération Dudula » – « pousser dehors », en zoulou. Lise ne s’était pas démontée. C’était en avril. Depuis, les choses n’ont fait qu’empirer.

    Après l’avoir agressée devant des journalistes, les « gens de Dudula » sont revenus jeter le stock de son petit commerce à la poubelle. Au moins 300 euros de vêtements, une fortune dans le quartier. Et puis ils sont réapparus chaque matin pendant quinze jours pour fermer son magasin, à moins qu’elle ne leur donne de l’argent. Dans la rue, la majorité des commerçants étrangers ont cédé. Pas elle. Lise a fini par appeler la police et « les gens de Dudula » ont arrêté. Mais la commerçante vit dans la peur. Souvent, elle n’en dort pas la nuit. « Quand je monte dans un taxi maintenant, je ne dis plus rien jusqu’à ce que je descende », dit-elle. Elle craint d’être repérée à son accent.

    Comme Lise, ils sont des centaines de milliers de Zimbabwéens à voir leur rêve sud-africain s’effondrer. Dans les années 2000, le pays leur a offert l’asile à tour de bras, alors que le Zimbabwe sombrait dans l’autoritarisme et le chaos économique. Leur terre natale ne s’est jamais relevée et le flux ne s’est jamais tari. Ils seraient entre 1,5 et 3 millions dans le pays aujourd’hui – personne ne sait vraiment. Beaucoup n’ont pas de papiers. Mais une chose est sûre : les Zimbabwéens constituent, de loin, la première communauté étrangère en Afrique du Sud. Et la première cible de ceux, de plus en plus nombreux, qui voudraient fermer les frontières de la première destination migratoire du continent africain.

    Régulièrement secoué par des vagues de violences xénophobes depuis la fin des années 2000, le pays voit désormais le discours anti-étrangers prendre une dimension politique. Les Zimbabwéens, en particulier, sont accusés de « prendre le travail » des Sud-Africains – alors que 35 % de la population est au chômage – et de nourrir la criminalité. Sous pression, le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis la chute de l’apartheid, adopte une politique migratoire de plus en plus dure. En première ligne, les Zimbabwéens vivent en sursis dans un pays qui ne veut plus d’eux.  […]

    Le Monde via fdesouche

  • Condamné pour vol et violence sur conjoint et mineur, il refuse de quitter le territoire français et déclare : “L’intelligence de l’Algérie est de venir en France et de la coloniser, se marier et se multiplier pour convertir le pays à l’islam”

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS

    COUR D’APPEL DE RENNES

    N° 22/217 N° RG 22/00399 – N° Portalis DBVL-V-B7G-S5JW

    JURIDICTION DU PREMIER PRÉSIDENT

    O R D O N N A N C E

    […]

    Statuant sur l’appel formé le 05 Juillet 2022 à 18h55 […] pour :

    M. [N] [J] né le [Date naissance 1] 1993 à [Localité 2] de nationalité Algérienne

    […]

    d’une ordonnance rendue le 04 Juillet 2022 à 19h15 par le juge des libertés et de la détention du Tribunal judiciaire de RENNES qui a ordonné la prolongation du maintien de M. [N] [J] dans les locaux ne relevant pas de l’administration pénitentiaire pour une durée maximale de trente jours à compter du 04 Juillet 2022 à 09h26;

    […]

    M. [N] [J] a fait l’objet d’un arrêté du préfet du 20 juillet 2020 et du Finistere du 9 septembre 2021 prononçant une obligation de quitter le territoire.

    Il a été condamné par le tribunal correctionnel de BREST le 29 octobre 2021 à 8 mois d’emprisonnement et 5 ans d’interdiction de territoire français

    […]

    SUR QUOI,

    […]

    En l’espèce, la préfecture a motivé sa demande de seconde prolongation au motif que le retenu représente une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public.

    Il résulte des pièces du dossier que M. [N] [J] a été condamné pour des faits de vol et violences sur conjoint et mineur, a refusé volontairement de quitter le territoire et déclaré en audition: ‘L’époque où la France baise l’Algérie est révolue maintenant c’est l’Algérie qui baise la France; l’intelligence de l’Algérie est de venir en France et de la coloniser, se marier et se multiplier pour convertir le pays à l’islam, la France peut me refouler je reviendrai avec 18 personnes”.

    Ce motif de menace d’une particulière gravité pour l’ordre public (qui n’est pas discuté en appel) a au demeurant été retenu à juste titre par le premier juge car il entre dans les critères de la seconde prolongation.

    La décision sera confirmée et la demande sur le fondement de l’article 37 de la loi sur l’aide juridictionnelle sera rejetée.

    PAR CES MOTIFS

    statuant publiquement,

    DÉCLARONS l’appel recevable ;

    CONFIRMONS l’ordonnance du juge des libertés et de la détention du tribunal judiciaire de Rennes en date du 4 juillet 2022 ;

    REJETONS la demande sur le fondement de l’article 37 de la loi sur l’aide juridictionnelle;

    LAISSONS la charge des dépens au Trésor Public.

    Fait à Rennes, le 07 Juillet 2022 à 16h

    Cour d’appel de Rennes, 7 juillet 2022, n°22/00399

     

    Source : fdesouche

  • Les théories complotistes se confirmant, Facebook veut un allègement de la politique anti « fake news » sur le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    Concrètement, comme le rapporte BFM TV, la société de Mark Zuckerberg demande à son « conseil de surveillance » d’évaluer la pertinence des mesures adoptées pendant la crise. Elle envisage ainsi de mettre un terme à sa stricte censure, qui a été ouvertement critiquée pendant les deux dernières années.

    Masques, traitements, vaccins… rien n’échappait à l’œil affuté de Facebook, qui supprimait sans vergogne les contenus n’allant pas dans le sens de « la communauté scientifique » — comprendre l’Organisation mondiale de la Santé, en règle générale. « À l’échelle mondiale, plus de 25 millions de contenus ont été supprimés depuis le début de la pandémie. », apprend-on dans le communiqué.

    Meta envisage aujourd’hui de relâcher un peu la bride : « Dans de nombreux pays, où les taux de vaccination sont relativement élevés, la vie revient de plus en plus à la normale. Mais ce n’est pas le cas partout et l’évolution de la pandémie continuera de varier considérablement d’un pays à l’autre, en particulier dans les pays où les taux de vaccination sont faibles et les systèmes de santé moins développés. » Faut-il comprendre qu’une fois vacciné, un pays ne craint plus les « fausses informations », ou bien que les questions sanitaires méritent à nouveau le débat ? Difficile à dire.

    Dans le même communiqué, l’entreprise rappelle que « certaines informations erronées peuvent entraîner un risque imminent de préjudice physique », assurant qu’il « n’est pas facile de résoudre les tensions inhérentes entre la liberté d’expression et la sécurité ». Outre cette remise en question, Meta met en avant son « Centre d’informations sur le Covid-19« , une page sur laquelle l’entreprise relaie la bonne parole des autorités sanitaires. Par ailleurs, si la suppression des contenus pourrait être rangée au placard, la société envisage « d’autres moyens, comme un avertissement ou une rétrogradation des contenus par nos soins ou par des vérificateurs tiers ». Chassez le naturel, et il reviendra au galop.

    Notons que dans le cas où Meta déciderait réellement d’ouvrir le débat, il n’est pas certain que les dirigeants européens laissent faire. La guerre aux informations continue de faire rage ; en avril dernier, Emmanuel Macron n’envisageait ni plus ni moins que le démantèlement de Facebook, assurant qu’il « faut aller plus loin » dans le contrôle.