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  • Algérie : près de 3.000 migrants subsahariens expulsés en plein désert en 10 jours (Màj : Vidéo)

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    23/03/2023

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    C à Vous du 22/03/2023


    17/03/2023

    Les autorités algériennes ont expulsé 2 852 migrants entre le 23 février et le 5 mars. Les exilés ont été abandonnés en plein désert, à plusieurs kilomètres de la frontière nigérienne, sans eau ni nourriture. Parmi eux, des femmes et des enfants.

    Ils ont été abandonnés en plein milieu du désert, sous un soleil de plomb, sans eau ni nourriture. En seulement 10 jours, 2 852 personnes originaires d’Afrique subsaharienne ont été expulsées d’Algérie vers la frontière nigérienne. Selon Alarme Phone Sahara, qui vient en aide aux exilés dans la région, 993 migrants ont été renvoyés le 23 février, 1 180 le 3 mars et 679 le 5 mars. Parmi eux se trouvaient des femmes et des enfants. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), jointe par InfoMigrants, n’a pas été en mesure de confirmer ces chiffres.

    Ces opérations sont appelées sobrement des “reconduites à la frontière” par les autorités algériennes. Interpellés dans différentes villes du nord de l’Algérie, dans leur appartement, leur travail ou dans la rue, les migrants sont ensuite entassés dans des camions puis déportés vers le centre de refoulement de Tamanrasset, à 1 900 kilomètres de route au sud d’Alger. Là, beaucoup affirment être dépouillés de leurs affaires par les policiers : argent liquide, bijoux, téléphones portables, passeports…

    (…) Les expulsions opérées par les autorités algériennes sont fréquentes dans la région. Le 12 février déjà, 899 personnes avaient été renvoyées à la frontière nigérienne, dans les mêmes conditions. Selon les chiffres de MSF, entre le 11 janvier et le 3 mars 2023, près de 5 000 migrants ont connu le même sort.

    Info Migrants via fdesouche

  • Dans L'actu des bonnes nouvelles :

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Dans L'actu des bonnes nouvelles :

    "La société des Forges de Tarbes voit son activité repartir et veut recruter de nouveaux forgerons. Objectif 2026 : produire 160.000 grands corps creux par an destinés aux obus de 155mm. Un projet français d'envergure : en 2020, les États-Unis en produisaient 160.000/an sur leur territoire."

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    Occasion de répéter pour la énième fois, ce qu'il faudra répéter jusqu'à ce que ce soit devenu réalité :

    UN BUDGET MILITAIRE À 4% DU P.I.B :

    1% POUR CHACUNE DES TROIS ARMES (AIR, TERRE, MER),

    ET 1% POUR LE NUCLÉAIRE, TOUTES ARMES CONFONDUES !

     

    Source : lafautearousseau

  • VIVE LE NUCLÉAIRE !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Les Voix du Nucléaire communique :

    "Le vote solennel à l'@AssembleeNat de la loi sur l’accélération des procédures liées aux nouvelles constructions nucléaires et le fonctionnement des installations existantes a eu lieu 402 voix pour 130 voix contre  adopté !"

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    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

    Source : lafautearousseau

  • Semaine de propagande LGBT au collège Alice Guy à Lyon

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Le collège Alice Guy, à Lyon, impose la propagande LGBT
    Le collège Alice Guy, à Lyon, impose la propagande LGBT

    Au collège Alice Guy à Lyon, tout le mois de mars est consacré à de la propagande en tout genre.  Les élèves doivent notamment subir ces jours-ci un grand lavage de cerveau LGBTQIA+ (la liste des épithètes LGBT ne cessant de s’allonger).

     

    Source : medias-presse.info

  • Sera-t-il bientôt interdit d’annoncer l’Evangile en Israël ?

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Moshe Gafni et Yaakov Asher
    Moshe Gafni et Yaakov Asher

    En Israël, deux membres de la Knesset (le parlement israélien) proposent une législation pour interdire l’annonce de l’Évangile en Israël et envoyer les contrevenants en prison. Cela pourrait-il devenir une loi ?

    Un projet de loi déposé à la Knesset qui interdit d’annoncer l‘Evangile non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux, par courriel et en privé

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, députés de la Knesset et membres de United Torah Judaism (UTJ), un parti politique haredi (hautement religieux) détenant un total de sept sièges sur 120 à la Knesset actuelle, ont présenté la semaine dernière un projet de loi qui interdit de parler de Jésus-Christ non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux et par courriel. Annoncer l’Evangile même via les réseaux sociaux, dire que Jésus-Christ est le Messie de Dieu, équivaudrait à un crime. Dans le projet de loi, les contrevenants seront punis de 1 an de prison et si on s’adresse à un mineur, la peine passera à 2 ans. La conversation privée est également considérée comme un crime.

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, juifs orthodoxes hostiles au christianisme, sont des voix influentes au sein de la coalition gouvernementale de 64 sièges dirigée par Netanyahu. Ils pourraient donc obtenir de nombreux soutiens à leur projet de loi. Si ce dernier était adopté, il pourrait cependant créer un problème majeur pour le gouvernement de Netanyahu en déclenchant un affrontement sérieux avec les chrétiens évangéliques aux États-Unis et dans le monde, qui sont parmi les plus grands partisans de l’État d’Israël.

    « L’ancien ambassadeur américain pour la liberté religieuse internationale Sam Brownback – qui a servi sous l’administration Trump-Pence – est le premier dirigeant américain, peut-on lire dans le quotidien All Israël News, à avertir publiquement que ce nouveau projet de loi constitue une menace massive pour la liberté d’expression, les droits de l’homme et la liberté religieuse.

    Que dit le projet de loi

    All Israel News a analysé le projet de loi :

    « La législation proposée interdirait tous les efforts des personnes d’une même religion qui, de quelque manière que ce soit, veulent discuter ou tenter de persuader des personnes d’autres confessions d’envisager de changer leurs croyances religieuses actuelles. La punition pour cela serait « un an d’emprisonnement ».

    « Ce projet de loi s’appliquerait aux personnes ayant des conversations spirituelles avec des Israéliens de toute religion.

    « Cependant, dans leur explication officielle du projet de loi, les deux législateurs israéliens ont spécifiquement mis l’accent sur l’avertissement d’arrêter en particulier les chrétiens. L’objectif principal du projet de loi semble donc être de rendre illégal pour les disciples de Jésus (« Yeshua » en hébreu) d’expliquer pourquoi ils croient que Jésus est à la fois le Messie et Dieu, dans l’espoir que les Israéliens pourraient envisager de le suivre.

    « Le projet de loi ne fait pas seulement d’une simple conversation personnelle au sujet de Jésus avec une autre personne un crime. Cela rendrait également illégal « quelqu’un qui sollicite une personne – directement, numériquement, par courrier ou en ligne – afin de convertir sa religion ».

    « Ainsi, produire et publier des vidéos en ligne expliquant l’Evangile aux personnes juives ou musulmanes en Israël – et à ceux de toute autre confession religieuse – deviendrait soudainement illégal.

    « La publication de livres, d’autres publications imprimées, d’articles en ligne, de podcasts ou d’autres formes de médias expliquant la vie et le ministère de Jésus et son message trouvé dans le Nouveau Testament deviendrait également illégale.

    « Il en serait de même pour discuter du message de l’Evangile par e-mail, SMS, lettres écrites et/ou sur les réseaux sociaux, y compris en répondant aux questions posées par des personnes qui ne suivent pas Jésus.

    « C’est déjà un crime en Israël d’essayer de faire du prosélytisme avec des mineurs ou de soudoyer des personnes de tout âge avec de l’argent ou des biens matériels pour changer leurs opinions religieuses. »

    Cette nouvelle législation est avant tout anti-chrétienne

    « Parfois, ces tentatives n’impliquent pas de promesses monétaires ou de gains matériels et ne sont donc pas illégales selon la loi en vigueur », note le projet de loi, « mais les nombreuses répercussions négatives, y compris les dommages psychologiques, justifient l’intervention du législateur ».

    « Par conséquent, il est proposé que, parallèlement à l’interdiction d’accorder des faveurs comme incitation à se convertir à la religion, soit également interdit l’acte de sollicitation à se convertir à la religion, lorsqu’il est fait directement à une personne », que ce soit face à face ou par tout autre moyen de communication.

    Les dirigeants juifs évangéliques et messianiques qui ont parlé à All Israel News ces derniers jours « se disent préoccupés par le fait que dans l’environnement politique actuel, la législation introduite par Gafni et Asher pourrait en fait devenir loi. Ils notent que sur les 120 sièges de la Knesset, la coalition gouvernementale actuelle est composée d’un grand nombre de membres orthodoxes et ultra-orthodoxes. »

    Ces derniers pensent que Netanyahu ne peut pas se permettre de perdre leurs voix s’il espère rester Premier ministre et faire avancer ses autres priorités politiques importantes, notamment empêcher le régime iranien de fabriquer des armes nucléaires, faire la paix avec le Royaume d’Arabie saoudite, le renforcement et l’expansion de l’économie israélienne (surtout alors que l’économie américaine ralentit) et l’adoption de réformes judiciaires radicales.

    Ces juifs orthodoxes et ultra-orthodoxes sont « plus agressifs que jamais dans cette session législative » afin de faire pression pour que des législations soient adoptées qui font avancer leur vision théologique du monde : l‘avènement messianique d’un Grand Israël.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info