Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 14

  • LA DAME DU MONOPRIX

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

     
     
    LA DAME DU MONOPRIX
    Hier, au Monoprix, une dame âgée qui pèse bien docilement sa pomme et sa poire, son seul dîner du soir sans doute puisque son cabas était vide. J’ai failli lui proposer de lui offrir une semaine de courses mais je n’ai pas osé de peur d’insulter sa dignité.
    Cette dame eut pu être de ma famille puisque, tout le monde chez moi n’a pas eu ma chance. Elle était de cette France révolue qui ne se plaint pas, qui a bossé une vie durant sans rien attendre sinon un vague repos au moment de la retraite. Ils sont des millions de sa génération qui s’éteint doucement à être les victimes des criminels et des prédateurs qui ont pris, depuis des décennies, nos destins en otage.
    Ce n’est pas aux poubelles qu’il convient de mettre le feu mais aux ordures qui ont conduit à cette tragédie !
    C. Rol
     
    Peut être une image de 2 personnes, personnes debout et costume
     
     
     
     
     
     
     
  • Le Pontet (84) : le député RN Joris Hébrard inaugure une mosquée turque géante avec dôme et minaret, rattachée au gouvernement Erdogan et provoque la polémique. “La France change de visage, il va falloir que Reconquête ! s’y fasse.”

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

    Élu dans la première circonscription du Vaucluse, Joris Hébrard avait posé la première pierre de l’édifice en 2014, alors qu’il était maire du Pontet.

    (…)

    Élu maire du Pontet en 2014, il avait hérité d’un permis de construire délivré par son prédécesseur. Non seulement il n’avait pas tenté de freiner le projet, mais il avait participé à la cérémonie de pose de la première pierre. Il s’engageait pourtant dans son programme électoral à « refuser les constructions de mosquées ». Les temps changent… La mosquée est vaste et voyante. C’est la seule du Vaucluse dotée d’un dôme et d’un minaret. Avec 1 500 m2 de surface, elle peut accueillir 2 700 personnes.

    Lors de l’inauguration, le député RN a croisé le consul général de Turquie à Marseille ainsi que Bayram Demirtas, dirigeant de la branche française de l’Union des affaires religieuses turco-islamiques, ou Ditib. Joris Hébrard peut difficilement ignorer que la Ditib est un relais d’influence officiel d’Ankara, rattaché à l’administration des cultes de l’État turc, le Diyanet. Car il est vice-président du groupe d’amitié France-Turquie de l’Assemblée nationale.

    (…)

    En vain, assure son collaborateur Xavier Magnin. « Joris Hébrard assume totalement. Pourquoi aurait-il refusé de se rendre à l’inauguration, alors qu’en tant que parlementaire, il peut être reçu à l’ambassade de Turquie ? La communauté turque fait partie du Pontet, elle est dynamique, elle compte de nombreux entrepreneurs. La France change de visage, il va falloir que Reconquête ! s’y fasse. »

    (…)

    « Le député adhère à un parti xénophobe et fait du clientélisme local, c’est le RN façon provencal », ironise son adversaire aux législatives de 2022, l’avocat avignonnais Farid Faryssy. « Les Turcs du Pontet votent Hébrard, souligne un bon connaisseur de la vie politique locale. Ils ne sont pas en très bons termes avec les communautés maghrébines et comoriennes, ils viennent de campagnes conservatrices… Deux raisons d’être réceptifs aux discours du RN. » Famille, tradition, respect de l’autorité : un socle de valeurs communes existe depuis longtemps. En 2013, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, devenu Musulmans de France) avait appelé à soutenir la Manif pour tous.

    (…) Le Point via fdesouche

  • L’université de Helsinki décerne un doctorat en théologie à Greta Thunberg

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

    Le changement climatique n’est pas une science mais une religion. Preuve en est le doctorat honorifique de théologie discerné à Greta Thunberg, l’icone de l’écologisme radical-chic.

    Le titre de docteur honoris causa en théologie, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné à Greta Thunberg

    La prestigieuse université d’Helsinki a décidé d’honorer Greta thnumberg, l’activiste du changement climatique : « Comme le veut la tradition, le titre de docteur honoris causa, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné, dans le cadre des cérémonies de remise, à plusieurs personnes. Cette année, un total de 30 personnalités distinguées du monde entier seront conférées en tant que docteurs honoraires. »

    Parmi les personnalités choisies se trouve donc la jeune Greta âgée de 20ans.Le professeur Martti Nissinen a remarqué que la faculté veut élargir l’étendue de sa vision des droits de l’homme et de l’état de la terre : « En choisissant Greta comme Doctor Honoris Causa, nous déclarons que nous voulons être aussi audacieux et influents qu’elle » a-t-il déclaré dans une interview avec Helsingin Sanomat.

    Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais de religion

    Greta, qui a cessé d’aller au lycée à l’âge de 16 ans pour « combattre » le changement climatique, s’est vu ainsi remettre un doctorat honorifique de la Faculté de théologie de l’Université d’Helsinki.

    Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais au rang de religion, religion à laquelle d’ailleurs tout le monde doit croire faute d’être exclu de la société des bien-pensants et des « sachants ». Nous le savions déjà. Cette distinction « théologique » offerte à Greta ne fait que le confirmer.

    La révolution arc-en-ciel est essentiellement une révolution spirituelle.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Union européenne débloque deux milliards d’euros pour livrer des munitions à l’Ukraine

    Publié par Guy de Laferrière le 21 mars 2023

    PAR  · 20 MARS 2023

    Si le sujet des avions de combat a donné lieu à maints débats au cours de ces dernières semaines, les forces ukrainiennes ont des besoins beaucoup plus urgents à satisfaire pour contrer l’offensive russe. Outre les systèmes de défense aérienne, celles-ci doivent impérativement refaire leurs stocks de munitions, notamment d’obus de 155 mm. Et pour cause : en moyenne, elles en tirent entre 10’000 et 20’000 par jour.

    D’ailleurs, Kiev a dit vouloir 350’000 obus par mois pour permettre à ses troupes de contenir les assauts russes maus aussi permettre à ces dernières de lancer des contre-offensives.

    D’où le plan de l’Union européenne [UE], qui, doté de deux milliards d’euros, vise à livrer au moins un million d’obus de 155 mm aux forces ukrainiennes et à regarnir les stocks des pays membres, dont certains sont déjà presque épuisés.

    Ce plan a fait l’objet d’un accord de principe, ce 20 mars, à l’occasion d’une réunion des ministres des Affaires étrangères et de la Défense des Vingt-Sept. Mais il doit encore être approuvé par les chefs d’État et de gouvernement, lors du Conseil européen des 23 et 24 mars.

     

    Dans le détail, il est d’abord question de rembourser, à hauteur de un milliard d’euros, les munitions prélevées dans les stocks des États membres, au prix de « 1000 à 1300 euros » par obus, a précisé une source diplomatique auprès de l’AFP. Or, une telle munition vaut 4000 euros l’unité actuellement…

    Ensuite, un second milliard d’euros sera utilisé pour un achat mutualisé de munitions d’artillerie destinés aux forces ukrainiennes. Au regard des tarifs actuels, cette enveloppe permettra de livrer 250’000 obus à ces dernières. Soit de quoi tenir entre 12 et 25 jours… si la consommation observée jusqu’alors est la même.

    À noter que que le ministre lituanien des Affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis, a affirmé que l’objectif de fournir un million de munitions au cours de l’année prochaine n’était pas gravé dans le marbre » car « il est possible que nous ne puissions pas l’atteindre ».

    D’où le troisième volet de ce plan, lequel parle d’augmenter les capacités de production des industriels européens afin de « reconstituer les stocks des pays de l’UE et continuer à approvisionner les forces ukrainiennes ».

    Image

    « Plus de munitions d’artillerie pour l’Ukraine aussi vite que possible. C’était l’objet principal du Conseil des affaires étrangères de l’UE d’aujourd’hui. Je m’attends à l’adoption rapide de grandes décisions qui renforceront les capacités de l’Ukraine sur le champ de bataille », s’est félicité Dmytro Kouleba, le chef de la diplomatie ukrainienne.

    Les deux milliards d’euros de ce plan proviendront de la Facilité européenne pour la paix [FEP], un fonds abondé par les États membres en fonction de leur PIB. À que l’Autriche, Malte et l’Irlande ne participent au financement de livraisons d’armes. Un accord de principe a également été trouvé pour augmenter de 3,5 milliards d’euros la dotation de cette FEP.

    Cela étant, livrer des obus est une chose… Mais s’assurer que les forces ukrainiennes ont les moyens de les tirer en est une autre. En clair, le maintien en condition opérationnelle [MCO] des pièces d’artillerie qui leur ont été livrées [et d’autres doivent l’être encore] est crucial. Et celui-ci ne sera pas forcément aisé à assurer, compte-tenu de la diversité des canons donnés à Kiev.

     

    Source : opex360