Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023
Le changement climatique n’est pas une science mais une religion. Preuve en est le doctorat honorifique de théologie discerné à Greta Thunberg, l’icone de l’écologisme radical-chic.
Le titre de docteur honoris causa en théologie, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné à Greta Thunberg
La prestigieuse université d’Helsinki a décidé d’honorer Greta thnumberg, l’activiste du changement climatique : « Comme le veut la tradition, le titre de docteur honoris causa, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné, dans le cadre des cérémonies de remise, à plusieurs personnes. Cette année, un total de 30 personnalités distinguées du monde entier seront conférées en tant que docteurs honoraires. »
Parmi les personnalités choisies se trouve donc la jeune Greta âgée de 20ans.Le professeur Martti Nissinen a remarqué que la faculté veut élargir l’étendue de sa vision des droits de l’homme et de l’état de la terre : « En choisissant Greta comme Doctor Honoris Causa, nous déclarons que nous voulons être aussi audacieux et influents qu’elle » a-t-il déclaré dans une interview avec Helsingin Sanomat.
Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais de religion
Greta, qui a cessé d’aller au lycée à l’âge de 16 ans pour « combattre » le changement climatique, s’est vu ainsi remettre un doctorat honorifique de la Faculté de théologie de l’Université d’Helsinki.
Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais au rang de religion, religion à laquelle d’ailleurs tout le monde doit croire faute d’être exclu de la société des bien-pensants et des « sachants ». Nous le savions déjà. Cette distinction « théologique » offerte à Greta ne fait que le confirmer.
La révolution arc-en-ciel est essentiellement une révolution spirituelle.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info