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  • Raciste

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

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  • Bordeaux : l’église du Sacré-Cœur taguée, un feu allumé sur le parvis

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une dizaine de tags ont été inscrits dimanche soir sur l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux. Un feu a même été allumé sur son parvis. L’un des tags affirme explicitement que l’église dérange dans le quartier bordelais de la gare Saint-Jean. En plus de ces tags, un feu de détritus avait été allumé devant la porte de l’église du Sacré-Cœur de Bordeaux, dimanche soir.

    «Lucifer à raison», «Diable, emmène-moi avec toi», «Thank you Satan». Les tags se détachent en lettres rouges sur les murs de l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux, dégradés avec un marqueur ou peut-être même un rouge à lèvres. Au-dessus de la référence à la chanson de Léo Ferré surmontée d’un A cerclé, signe de reconnaissance des anarchistes, on peut encore lire : «Brûle tout gratos». Une déclaration suivie d’une intention : les auteurs de ces dégradations ont également allumé un feu de détritus sous le porche de l’édifice religieux. Les flammes, rapidement éteintes par les pompiers, n’ont pas eu le temps de l’endommager.

    Les auteurs de ces détériorations ont également profané son intérieur. «Tout s’effrite, mais on doit ébruiter» et «n*** ta mère» ont été rédigés d’une écriture ronde sur une porte en bois, tandis que la façade présente une autre dégradation visant directement le quartier de la gare Saint-Jean. «Les voisins détestent l’Église», avance ainsi une inscription sur cette paroisse située à 92 mètres du centre Jean-Paul II. Le diocèse de Bordeaux, qui a porté plainte contre X, «partage l’émotion des fidèles catholiques et des habitants choqués par ses actes».

    Une enquête a été ouverte par la Direction départementale de la sécurité publique qui soupçonne des débordements liés à la consommation d’alcool. Les caméras de surveillance doivent être exploitées et des voisins interrogés.

    La municipalité de Bordeaux a réagi à ces profanations indiquant dans un communiqué que «Pierre Hurmic s’émeut des actes de vandalisme et de dégradation perpétrés cette nuit sur l’église du Sacré-Cœur». Le maire de Bordeaux a dépêché Laurent Guillemin, son adjoint aux cultes, «auprès du père Benoît Davos afin de lui apporter le soutien de la Ville». Quelques heures plus tôt, le préfet de la Gironde, Étienne Guyot dénonçait sur Twitter «des tags haineux et des actes intolérables».

    Le Figaro via fdesouche

  • Boissy-le-Châtel (77) : pour échapper à un contrôle, il compose le « 17 » et invente un enlèvement en cours ; un migrant clandestin interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les enquêteurs ont mené des investigations et se sont rendus compte que cette affaire d’enlèvement avait été inventée. Ils ont retrouvé l’homme à l’origine de l’appel qui a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros.

    Une fausse alerte pour tenter d’échapper à un contrôle de police qui se termine par une condamnation. Le 28 février dernier, un homme a composé le 17 pour alerter la police, affirmant qu’il assistait en direct à un enlèvement à Boissy-le-Châtel (Seine-et-Marne) raconte Le Parisien. Selon le requérant, quatre hommes armés de fusils et de battes de base-ball ont arrêté de force un automobiliste avant de l’obliger à monter dans une Peugeot 207 et de s’enfuir.

    Lorsque les policiers sont arrivés sur place, ils ont découvert que le témoin avait disparu et que la zone était déserte. Les techniciens de l’identité judiciaire de la police judiciaire de Meaux sont alors intervenus pour essayer de trouver des indices sur les lieux, mais n’ont rien découvert.

    Le lendemain, les enquêteurs ont repris leurs investigations, mobilisant de nombreux enquêteurs de la PJ de Meaux et de Coulommiers, ainsi qu’un substitut du procureur de Meaux. Ils ont envisagé toutes les hypothèses et ont examiné attentivement une Peugeot 207 qui pourrait correspondre à celle des ravisseurs. Ils ont également exploité le numéro de téléphone ayant contacté les secours.

    Finalement, les policiers ont réussi à contacter l’homme ayant donné l’alerte, qui a fini par leur avouer qu’il avait… tout inventé. Le trentenaire, qui est le patron d’un garage en Seine-Saint-Denis, a ensuite été convoqué par les enquêteurs de la PJ de Meaux. Il ne s’est pas présenté aux deux premiers rendez-vous mais s’est présenté au troisième, ce mercredi.

    En situation irrégulière, sans permis et sous l’empire de la drogue

    Le soir de son appel calomnieux, le gérant automobile était venu chercher une Renault Clio avec deux mécaniciens. L’un des employés a pris le volant, tandis que le second s’est installé à côté. Peu après, le convoi a été arrêté lors d’un contrôle de police. Le conducteur de la Clio était en situation irrégulière, sans permis et était positif aux stupéfiants. Pour tenter de détourner l’attention de la police, le trentenaire a décidé de composer le 17 et d’inventer un enlèvement. La procédure visant ce mécanicien sans-papiers ne s’est pas arrêtée.

    Le gérant a été condamné par le tribunal correctionnel de Meaux ce jeudi, dans le cadre d’une procédure de “plaider-coupable”, à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros. L’article 434-21 du code pénal prévoit une peine de six mois d’emprisonnement et une amende de 7500 euros pour avoir dénoncé de manière mensongère des faits constitutifs d’un crime ou d’un délit qui ont exposé les autorités judiciaires à des recherches inutiles.

    Actu 17 via fdesouche

  • Évreux (27) : un migrant clandestin défavorablement connu de la police, et qui fait l’objet d’une OQTF, soupçonné de viol sur une femme handicapée mentale dans un hôpital psychiatrique

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    L’affaire est pour le moins sordide. Vendredi 10 mars au soir, les policiers ont été appelés par les personnels d’un hôpital psychiatrique d’Évreux (Eure) qui leur ont signalé le viol d’une patiente de 24 ans atteinte d’une lourde déficience mentale. L’homme suspecté des faits est un autre patient qui se serait introduit dans la chambre de la jeune femme avant de la conduire dans la salle de bain, de la déshabiller et de la violer.

    Le suspect, hospitalisé dans une autre aile de l’hôpital sans contrainte particulière pour ses déplacements, est défavorablement connu de la police et de la justice, et fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). 

    Sur demande du parquet, il n’a pas été interpellé avant que la victime ne soit entendue par la sûreté départementale.

    TF1 via fdesouche

  • Pertuis (84) : Abdel Samad Aharram, 13 fois condamné, se faisait passer pour un soignant afin de voler des patients de l’hôpital

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une gourmette en or, un portefeuille, des bijoux, de l’argent liquide… Entre les 16 et 18 février derniers, à Pertuis, Abdel Samad Aharram, 29 ans, est accusé d’avoir commis plusieurs vols auprès de patients de l’hôpital , du personnel soignant et d’une pensionnaire d’une maison de retraite. Quatre plaintes ont été déposées. Placé sous mandat de dépôt le 22 février, il comparaissait vendredi 10 mars devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

    Le mode opératoire était à peu près toujours le même : un individu se présentait, se faisant passer pour un membre du personnel soignant, expliquait que la personne devait passer une radio ou un scanner, et qu’il fallait enlever ses bijoux pendant ce temps. Il partait avec et ne revenait pas.

    Identifié par plusieurs victimes, le prévenu, qui a déjà travaillé comme auxiliaire ambulancier auprès de l’hôpital de Pertuis, ville dont il est originaire, a aussi été filmé par des caméras de vidéosurveillance en compagnie d’un autre individu.

    Avec 13 mentions à son casier judiciaire et une addiction à la cocaïne dont il a du mal à se débarrasser, Abdel Samad Aharram est incarcéré pour la deuxième fois de sa vie.

    (…)

    Le Dauphiné via fdesouche