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hôpital

  • Violences à l’hôpital… comme partout ailleurs !

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    Marie Delarue 24 mai 2023

    La France est en émoi : une infirmière du CHU de Reims est morte des suites de son agression au couteau par un patient psychiatrisable ; sa collègue, agressée elle aussi, a heureusement survécu à ses blessures. Et l’on semble découvrir la lune…

    Des gens poignardés en pleine rue, il y a en toutes les semaines en France. Des enseignants tués dans l’exercice de leur "sacerdoce" – aujourd’hui c’en est un –, il y en a eu une dizaine depuis 40 ans. Des prêtres, des policiers, des militaires aussi sont décapités… Alors où est la surprise ?

    On feint de croire que l’hôpital est un sanctuaire, mais il n’y a plus aucun sanctuaire aujourd’hui. Coïncidence morbide, le Conseil national de l’ordre des médecins publie au lendemain du drame de Reims son rapport sur la sécurité. Les chiffres font apparaître, en 2022, « une forte augmentation des violences de 23 % depuis l’année 2021 », soit une hausse « inédite » nous dit-on.

    Signalons en passant que d’après le dernier baromètre du climat scolaire, le niveau de violence dans les établissements français a « augmenté lui aussi de près de 20 % en un an ». Quant aux chiffres de l’insécurité et de la délinquance (communiqués par le ministère de l’Intérieur le 31 janvier 2023), ils montrent en 2022 une augmentation des crimes de 8 %, et des coups et blessures volontaires de plus de 15 %. Entre autres.

    Aujourd’hui les projecteurs sont braqués sur l’hôpital, notre "cour des miracles" contemporaine. Mal aimés, mal payés, les soignants sont tout autant victimes de la chienlit administrative et judiciaire que des patients irascibles. L’hôpital est malade, particulièrement le secteur de la psychiatrie, l’école est malade, la justice est malade, la société est malade.

    Au dernier drame, celui de cette infirmière tuée – son meurtrier avait déjà été mis en examen pour violences aggravées mais bénéficiait d’un non-lieu pour « irresponsabilité pénale » – le gouvernement apporte la seule réponse qu’il connaît : un chèque !

    Comme on jette au chien un os à ronger, on balance « une enveloppe » à l’hôpital : 25 millions d’euros pour la sécurité. C’est le ministre de la Santé, François Braun, qui l’a annoncé ce mercredi matin sur BFM TV : cette somme doit servir « pour l'instant, à l'ensemble de cette sécurité. S'il faut plus, nous mettrons plus pour corriger tout ça, mais en tout cas on ne peut plus accepter des systèmes défaillants », a-t-il dit. Et d’annoncer dans la foulée qu'un audit aurait lieu « dans tous les établissements » dès la semaine prochaine afin de lister « Tout ce qui ne fonctionne plus en termes de sécurité, les portes magnétiques qui ne marchent plus, les badges, les machins ». « Je veux que l'on vérifie tout ça, tout de suite, et que l'on répare », a dit le ministre.

     

    Comme si c’était une question de machins… Comme si la folie qui s’est emparée de nos sociétés malades allait se régler avec une burette d’huile. Sans courage politique, incapable de nommer les maux qui nous rongent, le ministre Braun, comme ses collègues de la Justice, de l’Intérieur ou de l’Education, comme le président Macron lui-même, Monsieur Braun fait de la com'. Rien d’autre.

     

    Source : bvoltaire

  • Attaque au couteau à Montauban : 3 personnes poignardées au centre hospitalier par un patient de 26 ans, une femme entre la vie et la mort

    Publié par Guy de Laferrière le 30 mars 2023

    Le suspect a été interpellé et placé en garde à vue. Le syndicat Force Ouvrière indique que plusieurs incidents ont eu lieu ces derniers mois au sein de cet établissement hospitalier.

    Trois personnes ont été poignardées mercredi 29 mars à l’hôpital de Montauban dans le Tarn-et-Garonne par un patient, indique une source policière à franceinfo. L’une d’elle est dans un état grave. La victime gravement touchée est un agent de la fonction publique hospitalière, selon la CGT jointe par France Bleu Occitanie. Son pronostic vital est engagé. Il se trouvait dans les allées du bâtiment central au moment de l’attaque. L’agression a eu lieu au rez-de-chaussée de l’hôpital à la pause méridienne. Selon une source policière, l’auteur des coups de couteau est un patient connu des services psychiatriques de l’hôpital. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

    (…) Franceinfo

    Selon nos informations, un jeune homme de 26 ans, aurait pénétré dans les locaux du centre hospitalier avant d’agresser trois personnes sur le site.

    Une femme de 43 ans a été grièvement blessée. Elle a été prise en charge par le SMUR.

    Un homme de 57 ans et une femme de 50 ans ont été légèrement blessés. 

    (…) Actu

  • Pertuis (84) : Abdel Samad Aharram, 13 fois condamné, se faisait passer pour un soignant afin de voler des patients de l’hôpital

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une gourmette en or, un portefeuille, des bijoux, de l’argent liquide… Entre les 16 et 18 février derniers, à Pertuis, Abdel Samad Aharram, 29 ans, est accusé d’avoir commis plusieurs vols auprès de patients de l’hôpital , du personnel soignant et d’une pensionnaire d’une maison de retraite. Quatre plaintes ont été déposées. Placé sous mandat de dépôt le 22 février, il comparaissait vendredi 10 mars devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

    Le mode opératoire était à peu près toujours le même : un individu se présentait, se faisant passer pour un membre du personnel soignant, expliquait que la personne devait passer une radio ou un scanner, et qu’il fallait enlever ses bijoux pendant ce temps. Il partait avec et ne revenait pas.

    Identifié par plusieurs victimes, le prévenu, qui a déjà travaillé comme auxiliaire ambulancier auprès de l’hôpital de Pertuis, ville dont il est originaire, a aussi été filmé par des caméras de vidéosurveillance en compagnie d’un autre individu.

    Avec 13 mentions à son casier judiciaire et une addiction à la cocaïne dont il a du mal à se débarrasser, Abdel Samad Aharram est incarcéré pour la deuxième fois de sa vie.

    (…)

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Saint-Omer (62) : un gendarme grièvement blessé par balle à l’hôpital par un jeune détenu, qui s’est emparé de son arme et a ouvert le feu

    Publié par Guy de Laferrière le 18 novembre 2022

    Un détenu s’est emparé de son arme et a ouvert le feu. Le gendarme a été grièvement blessé à une jambe et ses jours ne sont pas en danger.

    Un gendarme a été grièvement blessé au centre hospitalier de la région de Saint-Omer, situé à Helfaut (Pas-de-Calais) ce jeudi soir vers 18h30. Un détenu s’est emparé de l’arme du militaire et a ouvert le feu explique France Bleu.

    Le détenu, âgé d’une vingtaine d’années et incarcéré à la prison de Longuenesse, a été maîtrisé après le coup de feu et reste hospitalisé pour l’heure.

    Actu 17 via fdesouche

  • Et les hôpitaux français font appel à des soignants venus de Roumanie, de Turquie... 

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    lafautearousseau

    Alors que l'Hôpital craque, par manque de personnel entre autres difficultés, que deviennent ces milliers de soignants français suspendus depuis septembre ? Ils étaient 15.000, et l'on ne dispose pas, pour l'instant, de chiffres mis à jour. Certains s'en vont : en Suisse, par exemple... 

    https://actu.fr/societe/coronavirus/temoignages-covid-19-les-soignants-non-vaccines-reintegres-le-metier-d-infirmiere-c-est-fini_51074762.html

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    En clair, ce Système de folie et en folie exporte les talents français (on avance le chiffre de 200.000 départs de jeunes chaque année...) et importe massivement des populations de cette "françafrique" qu'il dit ne plus "vouloir"...

    Et les hôpitaux français font appel à des soignants venus de Roumanie, de Turquie...